cladane a écrit:Sans aller parler comme @BL89 d'un son numérique, qui à mon sens se rapporte plus à un ampli transistors qui 'clippe', j'ai noté après l'écoute du DA2 que les DACs très résolvants effectivement séparent si bien les registres et même les instruments dans les registres que, au casque, je ressens un vide de matière dans l'atmosphère (clarté) alors que le rendu est parfait aux enceintes.
Attention aussi à tous ces tubes qui suivent d'autres tubes donnant l'impression de l'analogique et étant plutôt de la coloration, une belle rondeur, au final.
Je taquinais à propos du son numérique, Cladane (quoi que !) comme la tarte à la crème que l'on peut faire du son vinyle, du son tube ou du son machin bref les caricatures qui veulent tout et rien dire... je connais des bidules à totors qui sonnent plus tube que le plus tube des tubes et inversement, en prenant les termes conventionnés. les daubes et les merveilles n'ont pas encore choisis leur camp, apparement et puis si la musique est là, elle est là et pis c'est tout sans neccessairement son cortège de clichés, surtout sans lui, justement !
En revanche ce qui me semble aquis, c'est que le signe de reconnaissance le plus sûr d'une source source saine, équilibrée et musicale, Dac ou autres, humble ou THDG c'est qu'elle s'intègre à minima jusqu'a transcender parfois, toute ou grande partie des systèmes dans laquelle on la place. J'ai parfois rencontré des Dacs comme celui dont tu décris les symtomes, qui au-dela de leur haute résolvance, souffraient surtout d'un manque patent de légato et de respect de la temporalité de la musique et j'ai fait un large détour, pas mon truc... mais bon je chipote