Bonjour,
Merci à Rif hi-fi
de m'avoir permis de revoir mon ancienne mandoline (exactement identique) qui est depuis maintenant deux heures, la propriété d'un général italien excellent chanteur et cuisinier.
Elle repart demain dans son pays d'origine, mais cette fois plus au nord de Naples.
Quant au combat des Horaces et des Curiaces à propos d'un éventuel désaccord sur l'aigu du superbe Utopia. Il n'aura cette fois pas lieu pour plusieurs raisons. La première, prioritaire, parce que je ne vous apprendrai rien en indiquant qu'il faut pousser davantage les tests avant de lancer un avis définitif de valeur personnelle, lorsqu'on fait une estimation de ce qu'on apprécie ou pas, plus ou moins, d'une partie ou de l'ensemble d'une reproduction musicale. Et, qu'il vaudra mieux l'établir à partir des "outils" de contrôle qu'on utilise habituellement pour cet exercice.
Or, puisque ce ne fut pas dans ce cadre que j'ai pu tester l'Utopia chez Pierre le 2 octobre dernier, je me garderai bien d'avancer définitivement ce que j'ai perçu et indiqué lors de l'écoute d'un seul extrait de musique nouveau pour mes oreilles qui n'entrait donc pas dans mes critères d'évaluation soulignés dans le paragraphe précédent
et pas sur d'autres.
Ne croyez cependant pas qu'il s'agit du commentaire d'un diplomate prudent, puisque c'est seulement celui que toute personne un peu expérimentée devrait, me semble-t-il, tenir ici si elle souhaite conserver un peu de crédibilité.
De plus pour ceux qui croient que les grands esprits se rencontrent et j'ai très longuement eu le dernier au téléphone hier. Je suis depuis plusieurs années un dossier comprenant deux personnes dont l'origine du patronyme est identique à celui des deux familles de Vérone.
Mais, comme je connais désormais la voie romaine qui mène jusqu'aux arènes de Nîmes. Il serait étonnant que je ne fasse pas davantage connaissance avec l'aigu de l'Utopia dans un avenir plus ou moins proche.
En attendant, il se prépare quelque chose entre Nîmes et Cannes, mais...vous n'en saurez rien avant que les mignardises n'arrivent.
Bon week-end.
PS: du caractère un peu timide, feutré pour reprendre les adjectifs utilisés à propos de ce que j'avais perçu sur l'extrait écouté. J'aurais tout aussi bien écrire, policé. Mais, certainement pas aseptisé.
Je pense que l'Abyss devrait bien se débrouiller avec la symphonie n°3 de Camille St Saëns.