chrisB68 a écrit:au détriment du client final qui, à la base, est censé les faire vivre
........ en achetant leurs produits. (je schématise à l'extrême..)
L'extrême c'est que le proverbe chinois prend toute sa valeur :
Baisé deux fois ... honte sur moi.
Comment penser que les dégâts ne sont pas irréversibles ? Je serai étonné que les pénalisés rachètent la marque d'une main ferme.
A chaque fois que j’attrape la zapette j'ai la main tremblante.
Pour l'anecdote, j'utilise un logiciel qui est développé par un type qui emploie un seul support.
Ses ventes vont vers tous les pays du monde.
Les questions peuvent être dirigées vers le support ou bien vers le forum de la User's List.
Les réponses fusent dans la journée de la part du support, les correctifs de bugs sont inexistants tellement le mec est bon.
Comme il suit les commentaires du forum, les améliorations sont traitées et une évolution est publiée chaque trimestre.
Ce type a trouvé un modèle commercial remarquable avec un usage optimisé de l'internet.
Il connait les fonctionnalités et les performances de la concurrence sur le bout des doigts. Ses concurrents sont à la rue.
Bien entendu pas de support téléphonique qui serait une perte de temps et un retour vers le passé.
Question par Email, réception confirmée automatisée, réponse humaine personnalisée dans la demi journée.
Il s'agit d'un langage de programmation propriétaire basé sur des calculs par matrices. On est proche de la vitesse de la lumière.
Le logiciel est ouvert à tous les langages, aucun bridage car nous parlons d'informatique de la vraie de vraie. Pas celles des grands comptes à cost killing qui brident tout pour vendre une flopée de machines dédiées ultra limitées. Avec incompatibilité d'une version à l'autre pour forcer les gens à placer leurs données sur leur serveurs nuageux.
A chaque version, nous pouvons sauvegarder le répertoire. Pour un downgrade, rien de plus simple, on recopie la sauvegarde et c'est tout. Pas d'ennui avec des registres ou autres données manquantes.
Alors quand on connaît cela et qu'on est amené à rebooter le DTR trois fois pour regarder un docu d'une heure, le nervousse braikdone n'est pas loin.
Je crois de moins en moins à un correctif tellement c'est surréaliste, seule la joie de les voir se casser la figure et de payer cher leurs approximations peut me maintenir à flot. Vive la lecture.