Alex.H a écrit:thierryvalk a écrit:Oui, en fait il suffit de prendre n'importe quel ampli intégré et de lui supprimer ses entrées analogiques.
En poussant, on prend un classe A, on lui intègre un DAC et cela devient un FDA.
(sourire), de toute façon tu as toujours été ronchon vis-à-vis de cette techno..,mais bon tu es toujours là... à croire que t'es masochiste... ou que tu aimes particulièrement la friture...
Non, il connais juste le marché:
Cette techno et les circuits intégrés associés sont développés quasiment uniquement pour des besoins simultanés:
- d'optimisation de coûts
- d'optimisation de place
- d'optimisation de coûts
- d'optimisation énergétique
- d'optimisation de coûts
L'optimisation qualitative hypothétique conceptuelle amenée par le "direct" est la dernière des préoccupations des fondeurs.
L'ensemble théorique à appréhender pour une mise en pratique réelle est complexe et délicat. Une réalisation en discret d'un FDA orienté qualitatif et performance est totalement hors de porté du commun des mortels mais est la seule voie actuellement vis à vis de l'offre "circuit intégré dédié".
Cela changera sûrement un jour, mais pas tout de suite. C'est trop un marché de niche dans lequel le classe D viens à peine de débarquer dans le haut de gamme "classique" et toujours avec le des CI maisons spécifiques dédiée (Par exemple le IcePower Pioneer, à l'origine des modules spécifiques B&O et maintenant des circuits dédiés maison)
Concernant les pwm des plateformes ARM, pour avoir quelque chose de performant et complet, il faut partir sur des gammes industrielles de TI, ST, Freescale/NXP pour avoir des IP core PWM assez évolué. Il faut également être prêt à faire de la prog bare-metal ou du driver kernel linux complexe, car même si ça s'améliore , les api user-space PWM linux sont assez limitées et peu performantes. Tout ça pour au mieux faire un bond de plus de 10 ans en arrière sur ce qu'on sait faire en FDA en terme de résultat, même si ça a un intérêt académique et éducatif certain.