En Ce Moment Je Joue À ...

[team24H]

J'ai gardé un goût amer de darksiders. Si les 3 preimers quarts du jeu sont excellents, le dernier quart m'a pourri le jeu. Je n'ai même pas réussi à la terminer. Les phases prises de têtes ou il fallait jouer avec les mirroirs (de mémoire) m'ont gaché le jeu :evil: A croire qu'ils ont voulu ajouter sur la fin une partie d'énigmes à la va vite et franchement ça a mal était fait

Je suis bien d'accord sur cette phase de mirroir qui semblait de ne pas en finir et qui entachait la fin du jeu... heureusement que cela se passe à la fin, autrement, si dès le début c'était ça, j'aurai laché l'affaire

[elgwen]

C'est clair que le design bourrin colle plus aux combats qu'aux enigmes, le mélange des genres est assez bizzare. D'autant qu'elles sont surtout longues dans l'execution (ICO sous steroids) que brillantes dans les idées. Bon j'aurais ptet pas du me faire Limbo entre deux chapitres

[Squall777]

Darksiders, ça ressemble vachement plus à un Zelda-like qu'à un BTA...

D'ailleurs je n'ai jamais compris toutes ces plaintes à propos des énigmes de la fin : je n'ai absolument pas le souvenir de qqchose de compliqué...

[elgwen]

Darksider ca ressemble surtout à un pot pourri. Pas evident de faire prendre la sauce avec autant de references.. deja que le 1 fait limite plagiat parfois ( le stygian vs le dirge de SOTC ) Mais en fait non, ils tataient juste le terrain ... dans darksider 2 ils s'embarassent plus de détail et repompent tel quel POP et SOTC On entre dans l'ère des videogame jockeys et du copier coller pur et dur ! vivement vj zeldra pour mixer un bon bootleg

[Squall777]

Fini The Witcher : Enhanced Edition sur PC

Un excellent RPG, qui n'a pratiquement pas vieilli... Un très bon 16/20

Les + :
- Très joli graphiquement (en 1080p, tous détails à fond...)
- Géralt, un héros ultra classe et charismatique
- La bande-son
- l'Histoire, fouillée et mature, complètement non-manichéenne, avec de nombreux choix à faire
- Les quêtes annexes, nombreuses, intéressantes et très bien écrites
- Les cartes (pour ceux qui comprennent... )

Les - :
- Un peu de tearing dans les cinématiques
- les PNJs se ressemblent tous
- La mise en scène pas top pendant les cut-scenes
- QQs animations un peu raides

[sopor]

Fini The Witcher 2 (360) en normal en une grosse quarantaine d’heures je dirais…

Un indispensable 360 (et PC bien sûr) et un must du RPG. Les polonais de CD Projekt se foutent de la mode de la liberté chérie, de l’open world ou de la création de persos avec 0 charisme. Ils ont choisi un autre chemin : celui de l’ultra scénarisation quitte à réduire l’espace de jeu, du choix permanent et de la caractérisation marquée des personnages.
The Witcher 2 ressemble à ces bibelots charmants enfermés sous une cloche de verre. Tout se passe à l’intérieur sans qu’on soit tenté d’en tester les limites géographiques. Le jeu maintient un bon équilibre entre environnements restreints et découverte permanente (chaque acte – trois + un prologue – a son environnement), liberté du joueur et ligne directrice forte. Le background est tellement riche et travaillé que le jeu peut se permettre d’évoquer seulement d’autres temps ou d’autres lieux, sans que le joueur les visite.

The Witcher 2 propose d’incarner Geralt avec son caractère, sa complexité et surtout ses choix. Et c’est là que CD Projekt fait fort. Chaque choix, même minime, a un poids, une importance ou une conséquence plus ou moins directe (on a 3 ou 4 grands tournants et une multitude de petits virages). On se sent constamment concerné par la quête de Geralt ou par le destin du monde. Mature dans son écriture, ses thèmes, la façon dont il les traite, le jeu ne rabaisse jamais le joueur en lui demandant d’effectuer des choix façon dichotomie bien / mal qui pullulent dans le JV. Ici, on parlera subtilité, de savoir si ce qu’on gagne vaut ce qu’on perd. Le choix cornélien appliqué au JV, en quelque sorte.

Le jeu n’est pas exempt de défauts : quelques bugs, parfois trop bavard ou trop didactique (c’est rare quand même), mal équilibré dans sa difficulté (à voir dans les autres niveaux) ce qui donne des pics de difficulté suivis de mornes plaines où l'on pourra bourriner sans mal. L’équipement déçoit également : peu d’armes et d’armures intéressantes dans la première moitié du jeu pour se retrouver avec pléthore dans le dernier acte.
Mais le jeu a une telle rejouabilité, propose des quêtes secondaires parmi les meilleures jouées, se paye le luxe de plusieurs scénarios différents qu’on y reviendra forcément pour quelques quêtes manquées ou ratées ou pour s’essayer à d’autres choix.

Techniquement, CD Projekt a fait un boulot remarquable et si on est loin d’un gros PC, on se situe dans le haut du panier 360. Du bel ouvrage. Entre les combats à l’épée, les signes, l’alchimie, le craft, les mini jeux, le gameplay est suffisamment varié et riche pour passionner une cinquantaine d’heures (en faisant toutes les quêtes et les différentes voies). Dommage que la difficulté ne soit pas plus progressive.

J’y reviendrai dans quelques semaines pour faire la voie de Iorveth, tester quelques choix différents et peut-être me refaire le jeu en mode Ténèbres (tout du moins essayer).

[Final_Goodbye]

Fini Gravity Rush sur psvita

Les points positifs :

- Techniquement pas grand chose à reprocher , quelques "petits" ralentissements sur toute l'aventure ( vraiment anecdotique ) aliasing ( pour moi c'est beaucoup plus supportable que du tearing ou des chutes de framerate ) , ça rejoint UC/Wipeout dans le haut du panier
- Le gameplay. Un des plus jouissifs de cette gen / un des plus jouissifs tout court. La sensation de liberté via la gravité ( merci le chat ) la puissance au fur et à mesure avec les améliorations , incroyable du début à la fin. Dans le même style , inFamous m'avait mit une grosse claque ( inattendue ) en 2009 , avec la confirmation en 2011
- La DA juste hallucinante , somptueuse
- Le level design
- Kat , jeune demoiselle sexy , attachante avec ces discours clichés/attitudes de "fille" Les autres personnages ne sont pas en reste
- L'univers
- L'histoire
- La narration via les bd, qui là encore, ont eu le droit à un travail exemplaire.
- L'aspect anime jap
- L'originalité , pas vu depuis longtemps
- La musique

Les points négatifs :

- L'histoire , beaucoup trop de choses en suspens , qui laisse quand même supposer qu'une suite est déjà envisagée , d'ailleurs je crois avoir lu une déclaration dans ce sens au moment de la sortie jap ou peu de temps avant.
- La caméra qui peut faire des siennes + la désorientation dû à la gravité , dans des grands espaces , ça passe encore mais dans des endroits nettement plus petits ( 2 boss optionnels ) ça pose problème
- La glissade tactile + gyro : ça sert à rien et c'est super mal géré. C'est dommage parce que le gyro peut être utile lors de combats pour ajuster ( même si le stick reste la solution première)


Véritable bijou , Gravity Rush est le titre original , frais , très travaillé qu'il fallait à la vita pour lui donner une identité. Bravo. GOTY 2012

Vivement la suite

[Tithom34]

Terminé également Witcher 2 sur 360.

Globalement satisfait par l'expérience de jeu décrite plus haut par Sopor mais avec une impression plus mitigée.

Quand on a pas lu les livres, ni joué au premier, c'est vraiment pas simple de suivre l'histoire avec ses multiples rebondissements, trahisons, lieux, personnages, etc. Du coup, on passe à côté de la plus grande qualité du jeu : sa narration qui est vraiment exceptionnelle et mature.

C'est bien dommage je trouve. Si un jour j'achète un PC, j'y retournerai peut-être mais en commençant par le un.

A+

[Final_Goodbye]

Fini le dlc L'asile d'Escape Plan sur psvita

18 niveaux supplémentaires ( comme le premier dlc ) toujours dans la même lignée. Il me manque 2 étoiles pour le sans fautes mais j'arrive pas à les choper

[Squall777]

Fini Portal / Portal 2 sur PC

Comment changer des FPS classiques en mixant puzzles et réflexions, excellents tout simplement... 17/20

Les + :
- Le concept excellent
- L'ambiance oppressante et malsaine
- L'humour acide et grinçant
- GLaDOS et Wheatley
- La réalisation très propre
- La fin de Portal 2

Les - :
- Durée de vie bien trop courte (Portal)

[perfo]

Crysis 2 : bien aimé les spécificités de l'armure qui permettent de proposer un gameplay assez riche. Par contre, la DA m'a laisser bien froid. J'ai pas non plus été oubli par la réalisation, carré et plutôt relevée mais rien de révolutionnaire à mon goût.

[sopor]

Terminé Lollipop Chainsaw (PS3) en normal et en difficile en 10-12h je dirai…

Rendre justice à la dernière production de Suda Goichi serait de dire que Lollipop Chainsaw est un hommage aux BTA old school, ceux d’avant Devil May Cry, en 2D, qui envoyaient deux frères ou trois amis se disputer la même fille (petite copine, sœur ou autres) et, accessoirement, débarrasser tout ce que la ville comptait de racailles. Même si Lollipop Chainsaw est en 3D, il se situe loin des productions Kamiya, technique, profonde et pleine de style. Il renvoie à des plaisirs simples, Arcade, où l’on martèle les boutons face à des nuées d’ennemis et où le gameplay brille plus par la variété de ses situations que par sa recherche, sa profondeur ou son skill. De Double Dragon à Renegade, de Final Fight à Burning Fight, Lollipop ressort du grenier les jeux à 6 niveaux, les couloirs, les à-côtés décalés, les boss et les sous boss. Son fun, sa simplicité, la courte durée de chacun de ses stages sonnent comme sa plus grande force (plaisir jouissif, régressif et enfantin) et forcément comme sa limite immédiate. Les BTA 2D était fun mais conçus avant tout comme des bouffe-pièces pour machines d’arcade.

Les défauts de Lollipop sont ceux des productions Suda51 : technique dépassée, caméra qui ne suit pas toujours l’action frénétique, what the fuck permanent qui ne plaira pas à tout le monde et qui devient un peu trop systématique au fil des sorties de son studio (No More Heroes aussi décalé soit-il maintenait une ligne directrice franche sans nécessité de passages LSD), durée de vie courte si on l’entend du générique de début à celui de fin (en normal sur un premier run, ça peut se finir en 6-7 heures je pense).

Des défauts rédhibitoires pour la plupart mais compensés, pour les fans, par les qualités des jeux Suda51. La direction artistique a un vrai parti pris avec son cell shading qui masque la faiblesse technique et l’esprit punk souffle toujours plus fort que sur les productions AAA grises et ampoulées (même si Suda serait bien inspiré d’essayer de nouveaux tons). C’est donc gore, violent façon BD ou comme un bon épisode de Daria (le couple Juliet/Nick calque le couple crétin cheerleader/footballeur du DA), grossier (même si le duo fonctionne moins bien que celui de Shadows of the Damned), ultra référencé en séries B et en bonne musique, donc parfaitement recommandable à celui que le gris désespère et qui n’en peut plus du dubstep. Le style musical offre le grand écart parfait entre Human League, Children of Bodom et MSTRKRFT, donc entre new wake, disco, rock, metal, electro et punk pour des collaborations nombreuses parmi lesquelles le compositeur désormais maison Yamaoka (Silent Hill).

Moins réussi que NMH, Lollipop Chainsaw évite l’écueil Shadows of the DAMNED qui une fois fini pouvait rejoindre l’étagère ou la revente. Les niveaux et les environnements sont bien plus variés (mention spéciale à la salle d’arcade et à ses hommages à Pacman ou Rolling Thunder) et surtout les amateurs de collectionnite et de scoring seront ravis : impossible de tout débloquer au bout d’une ou deux parties (certains costumes sont même proposés à des prix indécents) et le mode défi avec classements se prête très bien à la construction du jeu et ses niveaux courts.
Malgré son gameplay assez simple, on a plaisir à refaire les niveaux en Défi ou en difficulté Impossible (qu’on débloque une fois le jeu fini). C’est du New Game + et les nombreux combos à acheter raffine un peu l’expérience et la variété des approches.

Enfin depuis NMH et son combo d’assassins cultes, les boss de Lollipop Chainsaw sont parmi les meilleurs jamais créés (éclipsant aisément le casting paresseux des gentils). Symbolisant une influence ou un courant musical majeur (punk, metal, rockabilly, psyché…), ils interviennent aussi bien dans le niveau par petites touches que bien sûr en fin de parcours. Inspirés, déjantés, avec des punchlines cultes, coriaces (en difficile évidemment), avec un thème musical qui colle souvent au cerveau, ils participent grandement à l’esprit du jeu.

Moins surprenant qu’un NMH ou moins profond qu’un Bayonetta, Lollipop Chainsaw aura sans doute du mal à trouver son public. Dommage car le jeu gagne en sympathie et même en finesse (sans pour autant renoncer à son approche un rien bourrine) au fil des heures, des combos achetés et des situations variées et décalées. A moins que les formes de la jolie dinde, Juliet, lui assurent quelques ventes supplémentaires ? C’est tout le mal que je lui souhaite (après tout, moi aussi, je le veux le costume bikini à 80 pièces !)

[Han Solo]

Tu as un blog sopor ?
Tu aurais du succès
Super test !

[julienctr]

J'ai également fini Lollipop Chanisaw sur x360 en normal.
Globalement, je partage les impressions de Sopor sur ce jeu. Il l'a si bien écrit, que je ne vais pas détailler davantage.
En gros, le gameplay est un peu brouillon, mais l'expérience reste globalement très intéressante. Le jeu est complètement barré et rien que pour ça, il vaut la peine d'être fait.
Ce que j'ajouterai au retour de Sopor, c'est les cinématiques, qui en cell shading, sont très jolies. En fait, avec cette technique, c'est pas la peine d'avoir une technique à la pointe derrière pour avoir un résultat très plaisant.
Ce qui est certain, c'est que je referai le jeu.

Petite question Sopor, on fait comment pour changer les tenues de la miss?? J'en ai acheté quelques unes, mais impossible via l'interface, de trouver où changer les tenues.

[sopor]

Pour le changement des tenues j’ai un doute, de mémoire. Je ne sais plus si c’est lors du premier écran (celui où on voit une moto vue de haut et où on change la difficulté) ou lors du second écran sur la carte des stages. Je crois que c’est sur le second. Tu appuies sur Triangle – Juliet’s House – (enfin le bouton équivalent sur 360) et tu arrives à l’écran avec les classements et un truc qui s’appelle Mes fringues. Là tu sélectionnes ta tenue. J’en ai quelques-unes. Mais si j’avais su j’aurais gardé mes pièces pour les tenues les plus chères et les plus sympas

J’ai commencé le jeu en Impossible (juste le prologue) et c’est assez tendu avec une seule sucette (contre 3 en Difficile et 5 en Normal). En difficile j’ai surtout galéré au début quand mon perso n’était pas boosté. Après, rien de bien difficile.
Par contre battre les scores de Papa c’est chaud. Réussi que sur les deux derniers niveaux.

Là je ne sais pas trop à quoi jouer, soit j’essaie de rincer le jeu (difficulté Impossible, succès et vider le magasin) avant de le revendre (mais bon pas grand-chose qui sort en ce moment), soit j’attaque un autre jeu (Gravity Rush, Shadow of the Colossus, Metroid Other M, From Dust…) ou je reprends Witcher 2 dans la seconde voie ou Kid Icarus. Là je joue seulement à Pullblox et à Mario Kart 7 sur 3DS. J’a toujours une période de flottement après avoir fini un jeu

Sinon, pas de blog. J’aime bien le côté « publié et oublié » des forums. Mais c’est sympa à toi