Les origines de vendeur de lessive snobinard de Scott sont en train de remonter à la surface. Avec Gladiator, pourtant, j’avais cru que les bulles de la pourriture publicitaire ne viendraient plus éclater à la surface du lac artistique de son œuvre...
C’était confiant que j’avais abordé le dvd.
Au bout de 45 minutes de réclame pour l’Italie, l’ennui a commencé à m’assaillir.
Au bout d’une heure de vision de ce clip convenu et édulcoré pour ado pré-pubère, j’ai fini par user le cadran de ma montre avec mes coups d’œil furtifs répétés.
Sont-ce les effluves du vin de Californie que je bus auparavant pour mon dîner ou sont-ce les effets de l’Actifed qui firent que je sombrai dans un profond sommeil au bout de 90 minutes de ce brouet indigeste ?
Toujours est-il que je me réveillai pour la fin (et la faim) à bord de l’avion.
10 F de location chez Vidéo-futur, c’est pas cher payé pour un somnifère !
Je suis allé vite fait me coucher et me suis endormi en pensant qu’il fallait que j’achète des cartouches de cadrans de montres si ça devait continuer comme çà. Déjà hier avec l’Empire contre-attaque, j’ai sombré dans les bras de morphée...
Tupeutla,
Dormeur satisfait.
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