Gillounet a écrit:haskil a écrit:Difficile de séparer température et hygrométrie.
Alain
Bonjour Alain !
Effectivement, mais surtout ne pas croire que seul l'été est coupable : chez moi, en hiver, s'il est sec bien sûr, le taux hygro atteint des abysses extrêmement pénibles. Nez sec, allergies et cie. En hiver, c'est un comble.
Et le son est lui aussi atteint. Ou sont-ce mes zoreilles ?
En été, dans ma belle zone de campagne, c'est l'ozone qui nous empêche de respirer. Du coup, les musiciens qui sont cachés dans mon système, ben ils étouffent. Plus d'air. Scène sonore rabougrie, crevassée. On regrette presque la visite de Mr Paul ?
Paul Ution ! (Copyright Mr Soon E MC) pour boire une suze cassis sur la terrasse. Avec un paquet de glaçons bien sûr. Et une rasade de Perrier. Quel pied !
Vivement l'hiver qu'on se terre.
Plus il fait froid et moins l'air peut se charger d'humidité : un air en dessous de zéro est très sec.
Plus il fait chaud et plus il peut se charger d'humidité : en Amazonie, dans les régions de Mousson, l'hygrométrie est telle que l'air "mouille" tout corps plus froid que lui !
Evidemment, dans les régions désertiques (que le désert soit chaud comme le Sahara ou le centre de l'Australie ; ou glacé comme l'Arctique ou l'Antarctique), l'air est toujours sec.
En dehors de la bonne hygrométrie en fonction de la température, le matériel souffre d'une humidité trop importante ou d'une trop grande sécheresse (comme les instruments de musique en bois du reste : les violonistes ont tous dans leur étui un hygromètre et certains violonistes emportent des instruments pas chers quand ils tournent dans des pays aux hivers rudes ou quand ils vont en altitude!)...
tandis que dans un air sec les sons se propagent mieux que dans un air humide : on entend pas très bien dans le brouillard, par exemple...
Alain