kyoshok a écrit:undweller a écrit:sans oublier les tours de pass-pass
A oui celui là je l'ai oublié mais je savais que tu allais me rattraper
je te suis pass à pass mon ami kiauchoque
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kyoshok a écrit:undweller a écrit:sans oublier les tours de pass-pass
A oui celui là je l'ai oublié mais je savais que tu allais me rattraper
undweller a écrit:kyoshok a écrit:undweller a écrit:sans oublier les tours de pass-pass
A oui celui là je l'ai oublié mais je savais que tu allais me rattraper
je te suis pass à pass mon ami kiauchoque
ajds a écrit:drumx a écrit:ogobert a écrit:> A bas niveau l ampli classe AB travaille en classe...A !
Pas de généralisaiton abusive...
c'est à dire ??
Outre la distorsion de croisement qui n'existe pas, un des grands avantages de la classe A est de traiter l'intégralité du signal (alternances positives et négatives) avec un même transistor (ou groupe de transistors). Dans un ampli classe AB, on peut réduire la distorsion de croisement mais chaque alternance est traitée par un transistor (ou un groupe de transistors) différents. Si ces derniers ne sont pas bien appairés, cela implique un comportement différent de l'ampli selon le sens de l'alternance : pas joli, joli
antonyantony a écrit:Ce que tu dis pour la classe AB est vrai pour la classe B.
La classe AB utilise les deux transistors du push-pull pour tous les signaux faibles. Un bon classe AB reste en classe A jusqu'à des niveaux importants, qq Watts. Cela veut dire que sur 99.99% des signaux tu es en classe A et que sur le reste tu as plus de dynamique qu un ampli de classe A de prix equivalent grace au meilleur rendement thermique
ajds a écrit:Oui tout à fait, comme tu dis, si tu monte le courrant de bias, les signaux faibles seront gérés simultanément par un groupe de transistors NPN d'un coté et un groupe de PNP de l'autre. Sur une classe A, les 2 alternances sont traitées par un groupe de transistors du même type (NPN en général) et ca, c'est carrément la définition d'un ampli classe A. Dire qu'un ampli classe AB fonctionne en classe A sur les signaux faibles grace a un courant de repos important est faux, c'est un abus de langage utilisé par les constructeurs pour dire qu'ils fonctionnent presque comme un classe A mais c'est pas de la vraie classe A.!
fast freddy a écrit:C'est comme tout
Il y a des bons amplis en classe a ...............et des mauvais
Il y a des bons amplis à lampe ....................et des mauvais
etc...
Ne jamais généraliser.
Si il suffisait d'appliquer une technologie pour faire des bons amplis, tout le monde ferait la même chose.
ajds a écrit:antonyantony a écrit:Ce que tu dis pour la classe AB est vrai pour la classe B.
Pas de courrant de bias en classe B donc distorsion de croisement systématique.
En classe B comme en classe AB, chaque alternance est traitée par un transistor différent, dans des conditions normales d'utilisation.
Le but premier du courant de repos d'une classe AB est d'annuler la distorsion de croisement.La classe AB utilise les deux transistors du push-pull pour tous les signaux faibles. Un bon classe AB reste en classe A jusqu'à des niveaux importants, qq Watts. Cela veut dire que sur 99.99% des signaux tu es en classe A et que sur le reste tu as plus de dynamique qu un ampli de classe A de prix equivalent grace au meilleur rendement thermique
Oui tout à fait, comme tu dis, si tu monte le courrant de bias, les signaux faibles seront gérés simultanément par un groupe de transistors NPN d'un coté et un groupe de PNP de l'autre. Sur une classe A, les 2 alternances sont traitées par un groupe de transistors du même type (NPN en général) et ca, c'est carrément la définition d'un ampli classe A. Dire qu'un ampli classe AB fonctionne en classe A sur les signaux faibles grace a un courant de repos important est faux, c'est un abus de langage utilisé par les constructeurs pour dire qu'ils fonctionnent presque comme un classe A mais c'est pas de la vraie classe A.
Par ailleurs, je ne suis pas d'accord sur le chiffre de 99,99% du signal.
Même sur un classe AB très fortement polarisé, prends un signal audio standard de 50 dB de dynamique écouté à mi-puissance de l'ampli, on sera très très loin de ce chiffre !
antonyantony a écrit:
pour les 99.99% : Imaginons que j ecoute avec un niveau moyen de 75db et des cretes à 100 db ( niveau deja suffisant pour faire distordre tous les HP d enceintes bibliotheques, avec une distorsion en % ou gemir bcp de caissons avec une distorsion en 10zaine de % à 20 Hz. Autant dire que le son de l ampli....). Disons 2 enceintes à rendement moyen, 90 db / 1 W/ 1m. Avec les deux HP, à un metre on a deja 93db. Le son est afaiblit par la distance superieure à 1 m de l auditeur mais amplifié par les resonnaces de la piece. Conservons donc 90 db pour les 2 enceintes en service dans la piece. La pointe à 100 db demande 8 W. On est encore en classe A avec un bon ampli. Le niveau moyen de 75db demande 0,03 W c'est completement en classe A.
C'est bien 99.99% du signal en classe A
Si j ecoute tres fort, disons des cretes à 115 db. il me faut alors plus de 250 W. Ce que fournit mon ampli classe AB. L ampli classe A, 50 W, vent dans le dos, produit alors une distorsion insuportable.
Autre problematique de l ampli classe A : les charges complexes ou à basse impedance. Une Nautilus est un bon exemple. 3Ohm d impedance, bcp de phase. L ampli classe A ne fournit plus que 25 W en classe A sous 4 Ohm ( a courant de repos egal). Et si la charge est capacitive ( 50deg de phase sur une Nautilus...) alors... que reste il de la classe A? 10 W?
antonyantony a écrit:J adore discuter avec toi.
Juste une question comment tu passes de 92 avec une enceinte à 98 avec 2? Doublement de la puissance = +3 db non? Doublement de la tention = +6 db
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