JérômeB a écrit:DaveStarWalker a écrit:matthieu77 a écrit:Bonjour,
Je possède un Mc Intosh MA6500 associé avec une platine Jolida tweaké et une paire de Tannoy Stirling.
Hélas, je n'ai pas encore mis mon systéme en place, mais les essais ont l'air d'être pas trop mal à mon oreille.
Sinon, pour le Mc Intosh,adolescent j'ai dû être impressioné un jour devant cet ampli.
On pourrait passer des heures à regarder les Vu-métres.
A bientôt,
Le vrai problème, ce sont les vu-mêtre "bleu lagon"
...
Ils sont tellement beaux et hypnotiques (j'adore quand j'écoute un disque peu compressé, de jazz par exemple, voir mes Mc501 battre la mesure
... j'en oublie presque d'écouter la musique
) que l'on pardonne tout à ces amplis (là où on serait impitoyable chez les concurrents tout gris par exemple, comme du Kr... oups !
).
Et comme ya vraiment pas grand chose à pardonner
...
Je rebondis sur ton post pour adresser une question à tous ceux qui, comme toi, ont une électronique Mc Intosh récente donc achetée au prix "fort", j'imagine ...
Au vu de l'offre pléthorique de Mc Intosh en occasion, des appareils mythiques que cette marque a produite en plus de 50 ans et des tarifs parfois très attractifs sur le marché de l'occasion ... qu'est-ce qui te/vous a néanmoins incité à acheter un Mc Intosh récent?
JérômeB
Justement, je ne l'ai pas du tout acheté à prix fort. Bon environ 8000 euros (neuf, en Angleterre) avec une revente de mon Mc500 à 5000 euros, donc 3000 euros à sortir. CA allait.
Ce qui m'a incité à les acheter ?
Ce que j'ai entendu (et non pas leur son, ou "le son Mcintosh" comme j'aurai pu te répondre avec le 500 et la plupart des Mc plus anciens)... et ce que j'ai vu (ILS SONT BEAUX. POINT).
Pour moi (enfin je suis pas le seul à le penser), parmi les meilleurs produits solid state que l'on puisse rêver, toutes catégories de prix confondues, quelque soit la technique d'amplification utilisée (classe A, AB, numérique, ma grand-mère en short, etc.) :
les qualités d'un ampli de faible puissance (naturel des timbres, silence de fonctionnement, finesse, micro-dynamique ciselée) avec celle d'un ampli de forte puissance (forte puissance - ça tombe bien
- , transitoires ultra-rapides, dynamique réaliste, scène sonore prodigieuse d'extension et de stabilité, etc.).
C'est vraiment un produit qu'il faut écouter, Mcintosh ou pas d'ailleurs, et TRES largement supérieur au Mc500 (que j'aurai gardé si j'avais pu : je L'ADORE ce BIG MAC
).
Ceci dit, je n'ai rien contre les Mc vintages, mais, pour l'instant, je ne suis pas dans un trip de collectionneur. Tout simplement.
Je suis venu aux Mc avec le Mc300 il y a bientôt dix ans. Puis j'ai eu mon Mc500 (ke de souvenirs
) et j'ai eu le malheur (
) d'apprécier pendant un temps un 402... j'ai donc naturellement acheté une paire de 501 (évolution néo-darwinienne, selon la théorie bien connue des équilibres ponctués kôa...
) .
Mc501 + source (et/ou préamp) à tube = bonheur (presque?) ultime sans se prendre la tête
Je défends à fond l'option "ampli solid state + préamp tubes" plutôt que celle "ampli tubé", association qui, comme chacun sait chez les aficionados Mcintosh, est particulièrement payante avec les "gros" Mc solid state du fait de l'utilisation de transfo de sortie : quasiment tous les avantages du tube sans les inconviénients, notamment de maintenance, et concessions vraiment minimales sur la musicalité.
Cordialement,
David.