yijing a écrit:Oui mais pas écoutées...
Au fait pour mon CR, tout le monde l'aura relativisé à l'aune de l'absence de rodage : surtout pour PMC et Aurum CANTUS : car un grave défaillant sur PMC ce serait aussi hérétique que de parler de rondeur sur Triangle...
Je viens de repasser à la Fnac Digitale Boulevard Saint Germain Paris 6 ème... et réécouter les même PMC avec le dit rodage...
Platine CD Rotel 1072 à 900 €
Amplificateur 2*45 watts à 1 250 €
vous savez la résurrection de ONYX !
ION OBELISK ?Enceintes PMC TB 1 (les moyennes biblio)
J'étais sur le cul tous les éléments servaient de faire valoir aux autres sans pour autant qu'ils puissent exploiter le maximum de leur potentiel respectif :
la Rotel quand elle est bien canalisée permet une superbe aération et n'empêche aucune douceur à l'écoute.
l'ampli était malheureusement un chouille court : il permet néanmoins de montrer une spacialisation certaine en largeur, hauteur et profondeur de la scène sonore (mais celà manquait de puissance sur les impacts et d'un chouille de définition sur le médium) mais quelle matière sur le piano.
les enceintes ne sont plus bouchonnées : on peut enfin entendre le son glisser sur les cymbales l'extinction de note est enfin audible. Elles demandent à faire du grave mais bon l'ampli (sa puissance) et la pièce ne s'y prêtent pas particulièrement (cube de verre et sol en linoléum...)
J'étais vraiment surpris par l'aération et la cohérence de la scène sonore : celà ne montait pas particulièrement mais il y avait une telle transparence, une telle fluidité, une telle douceur dans le médium que brrr j'en ai encore des frissons dans le dos.
A noter pour moi un médium très particulier : pas trop en avant, no trop défini "harmoniques" "micro informations" mais quelle douceur, et quelle présence quelle "charnalité"...
Titres écoutés :
1er mouvement de la 5 ème de Mahler,
Castillan Drums de Dave Brubeck, Batterie et piano
Rich Sand (Robert Plant)
Lover et Alleluiah de Jeff Buckley
Santana ("fluete"...)
