frgirard a écrit:Themisto a écrit:frgirard a écrit:Alors pourquoi ces plaintes ?
Sur le plan pratique, est-ce que les différentes plate-formes de ventes ont ou auraient les moyens de vérifier ce qu'ils vendent ?
Francois
Non, mais elles peuvent engager la responsabilité de leurs fournisseurs (les éditeurs) en cas de litige. Visiblement, ce n'est pas le cas encore.
il faudrait que des textes fixants des normes existent . est-ce le cas ?
Francois
Il y avait un texte législatif pour fixer ce qu'est la stéréo artificielle, la gravure universelle ? Non.. et pourtant un grand éditeur, du temps du LP, a dû pilonner beaucoup de disques et coller des étiquettes sur tous ceux qu'il ne voulait pas pilonner... car il vendait des bandes monos stéréophonisées artificiellement sans le dire précisément. Mais en laissant planer le doute en utilisant le fameux gravure universelle... la justice l'y a contraint... sur plainte d'un consommateur s'estimant lésé. Bon tu me diras, le plaigant était un juge de paix à la retraite ou un avocat retraité et mélomane : j'ai oublié...
Bon, je sens qu'on va passer la journée la dessus.
Alors autant arrêter tout de suite. Il n'est pas besoin de texte lesgislatif, surtout en terre anglosaxone !, pour qu'un juge écoute les parties en présence et dise : qu'il y a ou pas tromperie sur la marchandise, en ayant récupéré par ailleurs tous les documents afférents. Et ces documents bien évidemment prennent en compte les données objectives publiées dans les catalogues, listings et sites.
Si un enregistrement originel en analogique de 1960, annoncé comme tel, est vendu sous forme de fichiers en 24/96 : aucun problème. Si ce n'est pas annoncé : ça se discute. Et un juge, surtout en terre anglosaxone, peut aller visiter le site et se faire son opinion sur la façon dont sont présentées les chose.
Et le fait que tout un chacun trouve ça meilleur ou pas est un autre problème qui relève de l'appréciation personnelle et des conditions d'écoute.