les 30's et 40's.
La chevauchée fantastique. 1939. John Ford. http://www.imdb.com/title/tt0031971/
L’étrange incident. 1943. William A Wellman. http://www.imdb.com/title/tt0036244/
La poursuite infernale. 1946. John Ford. http://www.imdb.com/title/tt0038762/
La charge heroique. 1949. John Ford. http://www.imdb.com/title/tt0041866/
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» 10 Déc 2011 15:58
La chevauchée fantastique. 1939. John Ford. http://www.imdb.com/title/tt0031971/
Les Indiens sont sur le sentier de la guerre. Une diligence est prête à partir en emmenant entre autres : un joueur professionnel, une femme enceinte cherchant à rejoindre son mari officier, un médecin ivrogne, une prostituée (Dallas, rejetée par la « bonne société ») et Ringo Kid (un hors-la-loi tout juste évadé de prison).
D'emblée ford pose les fondations du western avec ses personnages qu'on retrouveras tout au long du genre: le doc alcoolique, la fille perdue au grand coeur, le clan des affreux, le hero sans peur, le bourgeois intolerant, la dame comme il faut coincee mais gentille, le joueur ayant pour tout bagage son jeu de cartes, bref une societe en miniature. Les themes aussi sont fixés, la vengeance, la redemption par l'amour, la marginalité repoussée vers l'ouest par l'avancee de la civilisation, la piste (la route, theme americain par excellence). Le film demeure un modele 80 ans apres, avec un travail formidable sur la lumiere, des cadrages innovants, et toujours ce formidable humanisme de ford qui ne porte jamais de jugement moral sur les motivations des personnages. Et puis il y a ce soin maniaque dans le choix des seconds roles qui sont tous "bigger than life". Il est d'ailleurs amusant de noter qu'on vas les retrouver 30 ans plus tard dans le quasi dernier film de ford et chef d'oeuvre de l'histoire du cinema "l'homme qui tua liberty valence", belle preuve de fidelite s'il en fut. Bref, voyez, revoyez, dissequez car c'est une lecon de cinema.
[youtube]llv0Tgwhy_c[/youtube]
Les Indiens sont sur le sentier de la guerre. Une diligence est prête à partir en emmenant entre autres : un joueur professionnel, une femme enceinte cherchant à rejoindre son mari officier, un médecin ivrogne, une prostituée (Dallas, rejetée par la « bonne société ») et Ringo Kid (un hors-la-loi tout juste évadé de prison).
D'emblée ford pose les fondations du western avec ses personnages qu'on retrouveras tout au long du genre: le doc alcoolique, la fille perdue au grand coeur, le clan des affreux, le hero sans peur, le bourgeois intolerant, la dame comme il faut coincee mais gentille, le joueur ayant pour tout bagage son jeu de cartes, bref une societe en miniature. Les themes aussi sont fixés, la vengeance, la redemption par l'amour, la marginalité repoussée vers l'ouest par l'avancee de la civilisation, la piste (la route, theme americain par excellence). Le film demeure un modele 80 ans apres, avec un travail formidable sur la lumiere, des cadrages innovants, et toujours ce formidable humanisme de ford qui ne porte jamais de jugement moral sur les motivations des personnages. Et puis il y a ce soin maniaque dans le choix des seconds roles qui sont tous "bigger than life". Il est d'ailleurs amusant de noter qu'on vas les retrouver 30 ans plus tard dans le quasi dernier film de ford et chef d'oeuvre de l'histoire du cinema "l'homme qui tua liberty valence", belle preuve de fidelite s'il en fut. Bref, voyez, revoyez, dissequez car c'est une lecon de cinema.
[youtube]llv0Tgwhy_c[/youtube]
- astrorock
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» 13 Déc 2011 13:22
Ouep, et comme tes images le montre, Ford utilise déjà, et pour la première fois, Monument Valley en paysage. Tu nous montre aussi le John Wayne cadré en plan américain dans la pure tradition photographique des western des années 30 et du cinéma amricain de l'époque en général. A noter aussi, que l'histoire est une très libre adaptation du Boule de suif de Maupassant.
Vive les astrotopics
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- Unjeff
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» 13 Déc 2011 13:27
Ford c'est vraiment sublime, j'ai revu récemment "l'homme qui tua Liberty Valance" et je pense que c'est mon préféré, limite aussi le plus important sur la notion de légende et de mythe, donc quelque part sur l'Amerique. Très fort.
Faudrait que je me fasse une grosse session Ford, car il y en a quand même pas mal que je n'ai pas vu (en même temps vu sa filmo immense..) un peu comme Hawks et d'autres.
Faudrait que je me fasse une grosse session Ford, car il y en a quand même pas mal que je n'ai pas vu (en même temps vu sa filmo immense..) un peu comme Hawks et d'autres.
- Nikolai
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» 13 Déc 2011 13:34
Je profite de mon passage par ici pour signaler que j'ai découvert il y a quelques jours un Western épatant de 1957 en NB avec Antony Quinn, Western dont l'histoire est solide, bien menée quoique un peu simple dans son déroulement. Mais alors la photo, les plans, l'interprétation sont remarquables. Je vous le conseille !
The Ride Back (ou the Way Back), La Chevauchée du Retour in french, de Allen Miner.
http://forum.westernmovies.fr/viewtopic.php?t=1060
The Ride Back (ou the Way Back), La Chevauchée du Retour in french, de Allen Miner.
http://forum.westernmovies.fr/viewtopic.php?t=1060
- syber
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» 13 Déc 2011 16:31
Unjeff a écrit:Ouep, et comme tes images le montre, Ford utilise déjà, et pour la première fois, Monument Valley en paysage. Tu nous montre aussi le John Wayne cadré en plan américain dans la pure tradition photographique des western des années 30 et du cinéma amricain de l'époque en général. A noter aussi, que l'histoire est une très libre adaptation du Boule de suif de Maupassant.
Vive les astrotopics
on veras dans "la poursuite impitoyable" que sergio leone l'a pompe en quasiment tout, c'est reelement etonnant!
- astrorock
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» 13 Déc 2011 16:58
Nikolai a écrit:Ford c'est vraiment sublime, j'ai revu récemment "l'homme qui tua Liberty Valance" et je pense que c'est mon préféré, limite aussi le plus important sur la notion de légende et de mythe, donc quelque part sur l'Amerique. Très fort.
Faudrait que je me fasse une grosse session Ford, car il y en a quand même pas mal que je n'ai pas vu (en même temps vu sa filmo immense..) un peu comme Hawks et d'autres.
l'homme qui tua Liberty Valance est un des plus grand film de l'histoire du cinema, c'est bouleversant, j'en parlerais quand on arriveras aux annérs 60, le film est de 62 et c'est l'avant dernier film de ford si ma memoire est bonne.
- astrorock
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» 14 Déc 2011 19:29
astrorock a écrit:Nikolai a écrit:Ford c'est vraiment sublime, j'ai revu récemment "l'homme qui tua Liberty Valance" et je pense que c'est mon préféré, limite aussi le plus important sur la notion de légende et de mythe, donc quelque part sur l'Amerique. Très fort.
Faudrait que je me fasse une grosse session Ford, car il y en a quand même pas mal que je n'ai pas vu (en même temps vu sa filmo immense..) un peu comme Hawks et d'autres.
l'homme qui tua Liberty Valance est un des plus grand film de l'histoire du cinema, c'est bouleversant, j'en parlerais quand on arriveras aux annérs 60, le film est de 62 et c'est l'avant dernier film de ford si ma memoire est bonne.
J'ai même pas tenté de le faire de mémoire, j'ai regardé wiki et en fait il en a encore fait 7 dont Les cheyennes qui est probablement le plus connu si on exclut La conquête de l'ouest qui est co réalisé à 3 avec Hattaway et (après vérif) Marshall.
http://fr.wikipedia.org/wiki/John_Ford
L'homme qui tua Liberty Valence est mon premier grand souvenir de western. C'est un supermidable film. D'ailleurs si quelqu'un pouvait m'expliquer pourquoi il passe loin derrière La prisonnière du desert dans les différents classements de cinéma, je suis preneur, moi pas comprendre.
- Unjeff
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» 14 Déc 2011 20:13
C'est très étonnant, je trouve, les qualités de plasticité proposées par le cadre du Western. On peut y tourner quasiment n'importe quel genre de film du drame à la comédie (Blazing Saddles ... sans compter les Westerns Spaghettis), jusqu'à l'étrange (et assez peu convainquant il faut dire) Cowboys et Envahisseurs, et y adapter les classiques, les tragédies.
Peut-être que le style policier s'y prête un peu moins bien. Encore que je dis cela car j'ai revu il y a quelques jours "5 cartes à abattre" de Hathaway avec Dean Martin et Robert Mitchum qui reprenait dans ce film son personnage de La Nuit du Chasseur, et ma foi le résultat est maladroit. L'enquête policière n'est pas captivante, on devine très rapidement les coupables, les motivations des personnages sont mal définies ...
Peut-être que le style policier s'y prête un peu moins bien. Encore que je dis cela car j'ai revu il y a quelques jours "5 cartes à abattre" de Hathaway avec Dean Martin et Robert Mitchum qui reprenait dans ce film son personnage de La Nuit du Chasseur, et ma foi le résultat est maladroit. L'enquête policière n'est pas captivante, on devine très rapidement les coupables, les motivations des personnages sont mal définies ...
- syber
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» 15 Jan 2012 11:20
L’étrange incident. 1943. William A Wellman. http://www.imdb.com/title/tt0036244/
Dans les années 1880, dans une ville du Nevada, Kincaid, un éleveur de bétail est tué, semble-t-il. Le shérif n'est pas là, la milice, créée pour l'occasion et menée par le major Tetley, poursuit trois hommes qui ont été vus avec du bétail de l'éleveur. Arrêtés en pleine nuit, la milice veut les lyncher immédiatement. En effet, leur chef, Donald Martin, prétend avoir acheté les bêtes, mais ne peut produire aucun reçu prouvant ses dires. Un des habitants de la ville, Arthur Davies, essaie de faire entendre la voix de la raison et demande à la foule d'attendre le retour du shérif pour leur donner un procès équitable. Ils ne seront que sept de cet avis, les trois hommes seront pendus. Ils étaient innocents, l'éleveur n'avait même pas été attaqué.
Voila, emmanuel a tout dis avant que je vous livre mon avis. Rien a ajouter et a voir absolument, tant la secheresse de la mise en scene est au service du sujet.
[youtube]UIDfzCzdjcs[/youtube]
Dans les années 1880, dans une ville du Nevada, Kincaid, un éleveur de bétail est tué, semble-t-il. Le shérif n'est pas là, la milice, créée pour l'occasion et menée par le major Tetley, poursuit trois hommes qui ont été vus avec du bétail de l'éleveur. Arrêtés en pleine nuit, la milice veut les lyncher immédiatement. En effet, leur chef, Donald Martin, prétend avoir acheté les bêtes, mais ne peut produire aucun reçu prouvant ses dires. Un des habitants de la ville, Arthur Davies, essaie de faire entendre la voix de la raison et demande à la foule d'attendre le retour du shérif pour leur donner un procès équitable. Ils ne seront que sept de cet avis, les trois hommes seront pendus. Ils étaient innocents, l'éleveur n'avait même pas été attaqué.
Emmanuel Piat a écrit:Excellent film sur la justice expéditive et son absurdité. C'est austère, glacial, implacable.
Voila, emmanuel a tout dis avant que je vous livre mon avis. Rien a ajouter et a voir absolument, tant la secheresse de la mise en scene est au service du sujet.
[youtube]UIDfzCzdjcs[/youtube]
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» 15 Jan 2012 11:50
La poursuite infernale. 1946. John Ford. http://www.imdb.com/title/tt0038762/
1882, à Tombstone (Arizona). Les frères Earp convoient un troupeau de bétail. Un vieil homme du nom de Clanton leur fait une proposition de rachat. Wyatt Earp la refuse. Dans la nuit, alors que les frères vont prendre du bon temps à Tombstone, le bétail est volé. Le plus jeune des Earp, qui en avait la garde, est tué. Wyatt Earp accepte alors de devenir le shérif de la ville et enquête.
Terrassant! pas une seconde, pas un plan, pas une scene, n'est inutile dans ce film parfait de bout en bout. Il faudrais parler de tout pendant des heures; du travail sur la lumiere; du cadrage ou l'on vois que sergio leone s'est largement inspire de de film; du choix maniaque des seconds roles ou il faut citer J. Farrell MacDonald, linda darnell et Jane Darwell. Les roles principaux sont sublimement incarne: walter brennan livre l'interpretation la plus intense de sa carriere, cathy dowds toute en douceur, victor mature, torture par ses demons, campe a tout jamais doc holliday et henry fonda livre une prestation toute en sobriete, en finesse, en lenteur avec cette demarche legendaire. Le theme du film c'est la classique fin de "l'ouest" avec la mort du clan clanton symbole de la liberte et de la violence et l'arrivee de clementine qui apporte la civilsation de l'est. Je voudrais citer deux scenes representative du cinema de ford: le bal qui suit l'inauguration de l'eglise ou ford filme des gens simples qui apres une dure semaine de labeur s'adonnent au plaisir de la danse, c'est d'une justesse et d'une sobriete bouleversante. L'autre scene est la fusillade finale: on dirais du sergio leone, ou plutot le contraire. Ah et puis bien evidement cette scene finale d'une imense tendresse. Le pire c'est de se dire qu'il vas faire mieux encore quasiment 20 ans plus tard. Ce type est le plus grand metteur en scene de l'histoire du cinema. Tout simplement.
evitez TOUS les remake sauf celui de 1956 qui arrive a se hausser a la cheville de ce film, mais tout juste....
[youtube]2WTaci5qIJ0[/youtube]
1882, à Tombstone (Arizona). Les frères Earp convoient un troupeau de bétail. Un vieil homme du nom de Clanton leur fait une proposition de rachat. Wyatt Earp la refuse. Dans la nuit, alors que les frères vont prendre du bon temps à Tombstone, le bétail est volé. Le plus jeune des Earp, qui en avait la garde, est tué. Wyatt Earp accepte alors de devenir le shérif de la ville et enquête.
Terrassant! pas une seconde, pas un plan, pas une scene, n'est inutile dans ce film parfait de bout en bout. Il faudrais parler de tout pendant des heures; du travail sur la lumiere; du cadrage ou l'on vois que sergio leone s'est largement inspire de de film; du choix maniaque des seconds roles ou il faut citer J. Farrell MacDonald, linda darnell et Jane Darwell. Les roles principaux sont sublimement incarne: walter brennan livre l'interpretation la plus intense de sa carriere, cathy dowds toute en douceur, victor mature, torture par ses demons, campe a tout jamais doc holliday et henry fonda livre une prestation toute en sobriete, en finesse, en lenteur avec cette demarche legendaire. Le theme du film c'est la classique fin de "l'ouest" avec la mort du clan clanton symbole de la liberte et de la violence et l'arrivee de clementine qui apporte la civilsation de l'est. Je voudrais citer deux scenes representative du cinema de ford: le bal qui suit l'inauguration de l'eglise ou ford filme des gens simples qui apres une dure semaine de labeur s'adonnent au plaisir de la danse, c'est d'une justesse et d'une sobriete bouleversante. L'autre scene est la fusillade finale: on dirais du sergio leone, ou plutot le contraire. Ah et puis bien evidement cette scene finale d'une imense tendresse. Le pire c'est de se dire qu'il vas faire mieux encore quasiment 20 ans plus tard. Ce type est le plus grand metteur en scene de l'histoire du cinema. Tout simplement.
evitez TOUS les remake sauf celui de 1956 qui arrive a se hausser a la cheville de ce film, mais tout juste....
[youtube]2WTaci5qIJ0[/youtube]
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- astrorock
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» 15 Jan 2012 11:55
L’étrange incident. 1943.
Excellent film sur la justice expéditive et son absurdité. C'est austère, glacial, implacable.
@+
Emmanuel
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» 15 Jan 2012 13:37
A chaque fois, les trucs d'astro me coûtent un max 
Car je partage son enthousiasme et à chaque fois je veux revoir les films en question
Car je partage son enthousiasme et à chaque fois je veux revoir les films en question
La configuration dans mon profil
Et je regardai, et je vis apparaitre un cheval couleur pale, et son cavalier se nommait la Mort, et l'enfer le suivait...Bigre c'est terrifiant tout çà !!
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» 15 Jan 2012 15:40
La charge heroique. 1949. John Ford. http://www.imdb.com/title/tt0041866/
« 1876 : après la défaite de Custer à Little Big Horn, la tension s’intensifie sur les frontières de l’Ouest où les tribus indiennes commencent à se regrouper pour partir en guerre. Dans un poste isolé, le capitaine Nathan Brittles (John Wayne), à la veille de prendre sa retraite, doit faire face à ce soulèvement. Ami d’un vieux chef, il fera tout pour éviter que le sang soit versé en effectuant un raid audacieux mais totalement inoffensif. Entre temps, nous assistons au déroulement de la vie quotidienne au Fort, deux jeunes lieutenants se disputant les faveurs de la nièce du commandant (Joanne Dru) ; celle-ci arbore un ruban jaune (le yellow ribbon du titre), symbole dans la tradition de la cavalerie américaine que son cœur est déjà pris.
ford a fais trois films sur la cavalerie us et si les deux autres sont anecdotiques ( Le massacre de Fort Apache et Rio Grande) celui ci vaut le détours. C'est tres hagiographique mais la succession de scenes pittoresques portees par les seconds roles (exceptionnels Victor McLaglen et Mildred Natwick) et le charme de joanne dru touche sa cible: le spectateur. Pas indispensable mais hautement recommandable.
_-3.jpg)
qu'est ce que c'est que ce chien? ah un setter irlandais! 
[youtube]zHeiNUbaG7o[/youtube]
« 1876 : après la défaite de Custer à Little Big Horn, la tension s’intensifie sur les frontières de l’Ouest où les tribus indiennes commencent à se regrouper pour partir en guerre. Dans un poste isolé, le capitaine Nathan Brittles (John Wayne), à la veille de prendre sa retraite, doit faire face à ce soulèvement. Ami d’un vieux chef, il fera tout pour éviter que le sang soit versé en effectuant un raid audacieux mais totalement inoffensif. Entre temps, nous assistons au déroulement de la vie quotidienne au Fort, deux jeunes lieutenants se disputant les faveurs de la nièce du commandant (Joanne Dru) ; celle-ci arbore un ruban jaune (le yellow ribbon du titre), symbole dans la tradition de la cavalerie américaine que son cœur est déjà pris.
ford a fais trois films sur la cavalerie us et si les deux autres sont anecdotiques ( Le massacre de Fort Apache et Rio Grande) celui ci vaut le détours. C'est tres hagiographique mais la succession de scenes pittoresques portees par les seconds roles (exceptionnels Victor McLaglen et Mildred Natwick) et le charme de joanne dru touche sa cible: le spectateur. Pas indispensable mais hautement recommandable.
qu'est ce que c'est que ce chien?
ah un setter irlandais! [youtube]zHeiNUbaG7o[/youtube]
Dernière édition par astrorock le 15 Jan 2012 18:07, édité 1 fois.
- astrorock
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» 15 Jan 2012 17:24
Je ne parle pas d'un pur chef d'oeuvre, la riviere rouge, car introuvable en dvd..... 
La riviere rouge. 1948. Howard Hawks. http://www.imdb.fr/title/tt0040724/
Tom Dunson a construit un empire du bétail avec son fils adoptif, Matthew Garth. Ensemble, ils partent avec un troupeau de dix mille bêtes à convoyer du Texas au Missouri. La tyrannie de Tom pousse Matthew à se rebeller, reprenant alors seul la tête du convoi. Mais Tom le retrouvera...
scenario beton, acteurs charismatiques (le meilleur role de monty amha), actrices a se damner (sutout colleen gray
), seconds roles exceptionnels (re walter brennan), mise en scene carre: le resultat est un immense western comme il y en a peu.
[youtube]f7M9YdQ0QlQ[/youtube]
finalement j'en parle quand meme...
La riviere rouge. 1948. Howard Hawks. http://www.imdb.fr/title/tt0040724/
Tom Dunson a construit un empire du bétail avec son fils adoptif, Matthew Garth. Ensemble, ils partent avec un troupeau de dix mille bêtes à convoyer du Texas au Missouri. La tyrannie de Tom pousse Matthew à se rebeller, reprenant alors seul la tête du convoi. Mais Tom le retrouvera...
scenario beton, acteurs charismatiques (le meilleur role de monty amha), actrices a se damner (sutout colleen gray
), seconds roles exceptionnels (re walter brennan), mise en scene carre: le resultat est un immense western comme il y en a peu.[youtube]f7M9YdQ0QlQ[/youtube]
finalement j'en parle quand meme...
Dernière édition par astrorock le 15 Jan 2012 18:04, édité 2 fois.
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