Ceux qui avaient déjà connaissance de la vieille pratique que constitue - l'obsolescence programmée - dont l'origine provient du monde de l'ampoule électrique, ne seront pas étonnés par le contenu de l'émission - Cash Investigation - diffusée hier soir par France 2.
Deux marques de téléviseurs sont particulièrement mises en cause. Notamment une d'autant plus gravement qu'elle est celle qui vend le plus de téléviseurs. Toutes les deux coréennes.
Et, in fine, un réparateur met directement Samsung en cause, car si sur les derniers modèles le positionnement des condensateurs, principale source de panne, a été amélioré, les condensateurs spéciaux utilisés sur ces derniers modèles ne permettent plus la réparation qui était possible pour une vingtaine d'euros sur leurs prédécesseurs.
Donc, direct poubelle.
Quant à moi, si je n'ai heureusement jamais été séduit par les Samsung au point de ne jamais en avoir eu ni en avoir offert. J'ai par contre observé qu'ils sont en très grand nombre dans mon entourage.
Mais, que le taux de pannes rapidement survenues constaté confirme très bien le contenu de l'émission d'hier.
Pendant que notre premier TV LCD Panasonic de 2002 a duré 8 ans. Que le Sony 26T3000 acheté à une petite-fille a 5 ans, tout comme le 26S2020 depuis offert à une jeune nièce.
Bon week-end.
PS: ces défectuosités prématurées constituent une évidemment manne providentielle, source de profit supplémentaire, pour les enseignes qui "poussent" à l'extension de garantie.
Et bien, pas le moindre soucis jusqu'à présent.
) pour respectivement 50 000 et 60 000 heures de fonctionnement.
, car il s'agissait d'un excellent reportage. 
