la crise : suite
Bernard Arnault achète encore du Christian Dior
Le PDG du groupe de luxe a acquis pour 11,2 millions d’euros d’actions entre le 27 octobre et le 7 novembre.
.../...
Bernard Arnault avait déjà acheté entre le 25 septembre et le 22 octobre pour 30,4 millions d’euros d’actions.
.../...
Ce qui porte le total des achats à 41,6 millions depuis la fin de l’été.
http://www.lerevenu.com/coulisses/bernard-arnault-achete-du-christian-dior
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Et pour mémoire, la Charte HCFR est directement consultable ici : Charte Forum HCFR
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La Grande Crise !
» 17 Nov 2014 18:20
- baldabiou
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» 17 Nov 2014 18:54
Pendant que certains se retrouvent sans salaire et d'autres voient des baisses, ces pingouins continuent d'engranger des profits par million et ne savent plus quoi faire de leur fortune....
Je ne me pose plus de question pour savoir pourquoi nous avons une crise financière. C'est comme si nous étions à table en famille et qu'un de nous mange tout le plat en ne laissant que des miettes tout en accusant la cantinière de ne pas avoir prévu assez pour tous et son frère de n'avoir pas été acheté le pain.
Je ne me pose plus de question pour savoir pourquoi nous avons une crise financière. C'est comme si nous étions à table en famille et qu'un de nous mange tout le plat en ne laissant que des miettes tout en accusant la cantinière de ne pas avoir prévu assez pour tous et son frère de n'avoir pas été acheté le pain.
- Keron
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- adpcol
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» 17 Nov 2014 19:05
adpcol a écrit:Aucun rapport mais situ le dis
Phil
Ben oui, j'ose le dire.
Et je ne suis ni raciste ni homophobe en disant cela, je le précise au cas où 
- Keron
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» 17 Nov 2014 19:09
2500 MDS d'engagements hors bilan pour l'état (en plus de 2000 mrds de dettes) dont 1500 mrds pour payer les retraites des fonctionnaires...cherches l'erreur, Arnaud fais ce qu'il veut de son pognon : pas moi j'ai pas le choix
Phil
Phil
- adpcol
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» 17 Nov 2014 19:27
La configuration dans mon profil
Attention, il se peut que ce post comporte des private joke navrantes, des poils de troll, voire des morceaux de boulets. Employé de l'année 2015. Aussi connu comme Admin dada. M'embêtez pas.
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Betekaa - Membre d'Honneur
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» 18 Nov 2014 9:09
adpcol a écrit:2500 MDS d'engagements hors bilan pour l'état (en plus de 2000 mrds de dettes) dont 1500 mrds pour payer les retraites des fonctionnaires...cherches l'erreur, Arnaud fais ce qu'il veut de son pognon : pas moi j'ai pas le choix
Phil
Ben oui, faut choisir : avoir encore des consommateur ou avoir encore plus de chomage.
- dinococus
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» 04 Déc 2014 14:42
Le Royaume-Uni s'arme d'une «taxe Google» à 25%
ZDNet.fr
"L'activité réelle sera fiscalisée, avant de sortir du pays "
http://www.zdnet.fr/actualites/le-royaume-uni-s-arme-d-une-taxe-google-a-25-39810751.htm
on ne peut plus rien entreprendre dans ces pays communistes !
ben quoi ?
ZDNet.fr
"L'activité réelle sera fiscalisée, avant de sortir du pays "
http://www.zdnet.fr/actualites/le-royaume-uni-s-arme-d-une-taxe-google-a-25-39810751.htm
on ne peut plus rien entreprendre dans ces pays communistes !
ben quoi ?
- baldabiou
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» 04 Déc 2014 15:47
attends, c'est encore pire que ça
http://lci.tf1.fr/france/societe/l-ejac ... 28608.html
Une liste d'actes nouvellement interdits dans les films pornographiques a été mise en circulation au Royaume-Uni. Fessée, éjaculation féminine... La plupart de ces actes sont jugés obscènes ou violents. Si l'origine de cette liste reste pour l'instant floue, les professionnels de l'industrie eux ne comprennent pas, d'autant que cette liste semble principalement viser les actes à l'origine du plaisir féminin...
L'industrie du porno britannique est dans la tourmente. Un amendement du Communications Act, signé en 2003 et ayant pris effet le 1er décembre, interdit l'apparition dans une production pornographique made in UK de toute une série d'actes sexuels jugés trop obscènes ou violents. La nouvelle directive indique que désormais les services de vidéo à la demande spécialisés dans la pornographie doivent appliquer les règles déjà instituées par le British Board of Film Censors (BBFC) en ce qui concerne la vente de DVD pornographiques dans les sex-shops. Le but du BBFC, l'équivalent britannique du CSA, est de protéger les mineurs contre des contenus audiovisuels inappropriés .
Parmi les actes jugés ‘inacceptables' par le BBFC (p.23 de ses recommandations) : la fessée, le fait de fouetter son ou sa partenaire de façon agressive, la pénétration par un objet "associé à la violence", les agressions physiques ou verbales (même si consenties), l'urolagnie (érotisation sexuelle des fonctions urinaires), mais aussi le facesitting (le fait de s'asseoir sur le visage de son partenaire), le fisting (la pénétration du poing dans le corps) et l'éjaculation féminine...
Betekaa
admindom
http://lci.tf1.fr/france/societe/l-ejac ... 28608.html
Une liste d'actes nouvellement interdits dans les films pornographiques a été mise en circulation au Royaume-Uni. Fessée, éjaculation féminine... La plupart de ces actes sont jugés obscènes ou violents. Si l'origine de cette liste reste pour l'instant floue, les professionnels de l'industrie eux ne comprennent pas, d'autant que cette liste semble principalement viser les actes à l'origine du plaisir féminin...
L'industrie du porno britannique est dans la tourmente. Un amendement du Communications Act, signé en 2003 et ayant pris effet le 1er décembre, interdit l'apparition dans une production pornographique made in UK de toute une série d'actes sexuels jugés trop obscènes ou violents. La nouvelle directive indique que désormais les services de vidéo à la demande spécialisés dans la pornographie doivent appliquer les règles déjà instituées par le British Board of Film Censors (BBFC) en ce qui concerne la vente de DVD pornographiques dans les sex-shops. Le but du BBFC, l'équivalent britannique du CSA, est de protéger les mineurs contre des contenus audiovisuels inappropriés .
Parmi les actes jugés ‘inacceptables' par le BBFC (p.23 de ses recommandations) : la fessée, le fait de fouetter son ou sa partenaire de façon agressive, la pénétration par un objet "associé à la violence", les agressions physiques ou verbales (même si consenties), l'urolagnie (érotisation sexuelle des fonctions urinaires), mais aussi le facesitting (le fait de s'asseoir sur le visage de son partenaire), le fisting (la pénétration du poing dans le corps) et l'éjaculation féminine...
Betekaa
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Betekaa - Membre d'Honneur
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» 04 Déc 2014 15:49
pas pres de refoutre les pieds a londres moi
- Analogeek
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» 04 Déc 2014 16:24
Analogeek a écrit:pas pres de refoutre les pieds a lourdes moi
même sous Biroute?
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Betekaa - Membre d'Honneur
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» 04 Déc 2014 16:27
Betekaa a écrit:Analogeek a écrit:pas pres de refoutre les pieds a lourdes moi
même sous Biroute?
- Analogeek
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» 04 Déc 2014 20:18
Qui à dit foutre ???
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» 30 Déc 2014 10:11
23 décembre 2014, par Georges Ugeux
La finance est devenue impuissante à résoudre les problèmes économiques et sociaux.
La crise financière aux Etats-Unis et la crise de l’endettement bancaire et souverain en Europe ont mis en exergue certaines des maladies et des perversions de la finance. Un effort considérable a été effectué mobilisant la dette publique et explosant les bilans des banques centrales. Des dizaines de milliers de pages de règlementation financière ont été proposées, débattues, médiatisées et politisées pour tenter de donner une structure plus stable à la finance. L’avenir nous dira si ces nouvelles règles du jeu seront suffisamment solides pour endiguer la prochaine crise financière lors de la hausse des taux d’intérêt.
Le citron a été pressé jusqu’à l’absurde dont le dernier témoignage est la déclaration de Mario Draghi d’augmenter le bilan de la BCE de 1.000 milliards d’euros sans expliquer ni pour quoi ni pour qui. Cela nous vaut une dissension sérieuse au sein du Comité de Direction de la banque centrale. Une fois de plus les Allemands s’opposent à une mégalomanie dangereuse.
La Commission européenne, utilisant tous les artifices de la communication manipulatrice, nous a fait croire que 315 milliards d’euros allaient être injectés pour financer la croissance : en fait elle n’y mettra que 30 milliards et rêve d’un effet de levier de 10 fois son intervention pour croire à ce chiffre. On se demande qui lui a fait avaler cette couleuvre. Au maximum, les 30 milliards de la BCE génèreront une capacité d’emprunt de 150 milliards. Qui plus est, ce projet a été conçu comme un amalgame de 2000 projets dans les cartons des Etats Membres, qui ont choisi les plus difficiles à financer. Bref, on est dans la politique la plus basse : la comptabilité des Etats Membres. On aurait aimé un objectif économique plus sérieux. 300 milliards pourraient être essentiels à la digitalisation de l’Europe qui est en retard sur les autres continents.
Derrière tout cela, la rhétorique se perd. Il n’y a plus rien à attendre de la finance. Les banques se sont recapitalisées, font des bénéfices remarquables, ne se restructurent pas et continuent à avaler de la dette souveraine comme des drogués ou des paresseux. Bref le système entre les Etats et la finance est bouclé.
Il faut maintenant se centrer sur l’économie. Les réformes sont essentielles si nous voulons redonner de la croissance en Europe. Les vraies questions sont devant nous :
■Comment les pays de l’Union parviendront-ils à être concurrentiels au niveau international? Sur 227 milliards de surplus de la balance des paiements de l’UE, 207 proviennent d’Allemagne. Cela veut dire que les 28 autres Etats génèrent 20 milliards de surplus avec des déficits majeurs pour certains. Rien à voir avec l'Euro: le déficit britannique est de 87 milliards.
■Pourquoi la structure sociale de nos économies ne s’accompagne-t-elle pas de création d’emplois ? Il est impossible d’avoir une croissance anglo-saxonne avec un système politique et social méditerranéen. Ici aussi les réformes sont cruciales : ce n’est pas d’austérité que nous parlons, mais de pérennité de nos économies. Ce ne sont pas des grèves qui résoudront le problème dans un monde où les syndicats, au lieu d’être forts, sont devenus obsolètes et n’ont pas évolué depuis 50 ans.
■La sclérose du patronat a rendu les grandes entreprises européennes réticentes à toute prise de risque. Ce sont souvent de gigantesques administrations qui n'échappent pas aux faiblesses du Vatican. Seules les petites et moyennes entreprises continuent à se battre sur tous les fronts : les « cadeaux » fiscaux vont chez les grands et les aides et crédits sont tellement bureaucratisés qu'elles ne peuvent se les permettre. Une prise de conscience du rôle économique des chefs d’entreprise ne serait pas superflue. La croissance financière est devenue leur principale préoccupation, et nourrit les rémunérations exorbitantes de nombreux d'entre eux.
La finance ne peut résoudre ces problèmes. Avec des taux proches de zéro en Europe, le quantitative easing de la BCE consiste à asperger une pelouse déjà inondée. Comme le montre le graphique, l'impact économique est nul. Malheureusement, les banques et les banques centrales se sont embarquées dans un processus dans lequel les égos et les considérations politiciennes ont plus d’importance que la réalité économique. Nos dirigeants prétendent résoudre les problèmes par l’argent facile et la fiscalité. Ce sont des outils qui peuvent soutenir un effort, pas s’y substituer. On en a largement abusé. Il va falloir arrêter de se focaliser sur les jeux financiers et de se bercer d'illusions pour attaquer les vrais problèmes de notre société au lieu de se voiler la face.
Cela demande du courage.
http://finance.blog.lemonde.fr/
La finance est devenue impuissante à résoudre les problèmes économiques et sociaux.
La crise financière aux Etats-Unis et la crise de l’endettement bancaire et souverain en Europe ont mis en exergue certaines des maladies et des perversions de la finance. Un effort considérable a été effectué mobilisant la dette publique et explosant les bilans des banques centrales. Des dizaines de milliers de pages de règlementation financière ont été proposées, débattues, médiatisées et politisées pour tenter de donner une structure plus stable à la finance. L’avenir nous dira si ces nouvelles règles du jeu seront suffisamment solides pour endiguer la prochaine crise financière lors de la hausse des taux d’intérêt.
Le citron a été pressé jusqu’à l’absurde dont le dernier témoignage est la déclaration de Mario Draghi d’augmenter le bilan de la BCE de 1.000 milliards d’euros sans expliquer ni pour quoi ni pour qui. Cela nous vaut une dissension sérieuse au sein du Comité de Direction de la banque centrale. Une fois de plus les Allemands s’opposent à une mégalomanie dangereuse.
La Commission européenne, utilisant tous les artifices de la communication manipulatrice, nous a fait croire que 315 milliards d’euros allaient être injectés pour financer la croissance : en fait elle n’y mettra que 30 milliards et rêve d’un effet de levier de 10 fois son intervention pour croire à ce chiffre. On se demande qui lui a fait avaler cette couleuvre. Au maximum, les 30 milliards de la BCE génèreront une capacité d’emprunt de 150 milliards. Qui plus est, ce projet a été conçu comme un amalgame de 2000 projets dans les cartons des Etats Membres, qui ont choisi les plus difficiles à financer. Bref, on est dans la politique la plus basse : la comptabilité des Etats Membres. On aurait aimé un objectif économique plus sérieux. 300 milliards pourraient être essentiels à la digitalisation de l’Europe qui est en retard sur les autres continents.
Derrière tout cela, la rhétorique se perd. Il n’y a plus rien à attendre de la finance. Les banques se sont recapitalisées, font des bénéfices remarquables, ne se restructurent pas et continuent à avaler de la dette souveraine comme des drogués ou des paresseux. Bref le système entre les Etats et la finance est bouclé.
Il faut maintenant se centrer sur l’économie. Les réformes sont essentielles si nous voulons redonner de la croissance en Europe. Les vraies questions sont devant nous :
■Comment les pays de l’Union parviendront-ils à être concurrentiels au niveau international? Sur 227 milliards de surplus de la balance des paiements de l’UE, 207 proviennent d’Allemagne. Cela veut dire que les 28 autres Etats génèrent 20 milliards de surplus avec des déficits majeurs pour certains. Rien à voir avec l'Euro: le déficit britannique est de 87 milliards.
■Pourquoi la structure sociale de nos économies ne s’accompagne-t-elle pas de création d’emplois ? Il est impossible d’avoir une croissance anglo-saxonne avec un système politique et social méditerranéen. Ici aussi les réformes sont cruciales : ce n’est pas d’austérité que nous parlons, mais de pérennité de nos économies. Ce ne sont pas des grèves qui résoudront le problème dans un monde où les syndicats, au lieu d’être forts, sont devenus obsolètes et n’ont pas évolué depuis 50 ans.
■La sclérose du patronat a rendu les grandes entreprises européennes réticentes à toute prise de risque. Ce sont souvent de gigantesques administrations qui n'échappent pas aux faiblesses du Vatican. Seules les petites et moyennes entreprises continuent à se battre sur tous les fronts : les « cadeaux » fiscaux vont chez les grands et les aides et crédits sont tellement bureaucratisés qu'elles ne peuvent se les permettre. Une prise de conscience du rôle économique des chefs d’entreprise ne serait pas superflue. La croissance financière est devenue leur principale préoccupation, et nourrit les rémunérations exorbitantes de nombreux d'entre eux.
La finance ne peut résoudre ces problèmes. Avec des taux proches de zéro en Europe, le quantitative easing de la BCE consiste à asperger une pelouse déjà inondée. Comme le montre le graphique, l'impact économique est nul. Malheureusement, les banques et les banques centrales se sont embarquées dans un processus dans lequel les égos et les considérations politiciennes ont plus d’importance que la réalité économique. Nos dirigeants prétendent résoudre les problèmes par l’argent facile et la fiscalité. Ce sont des outils qui peuvent soutenir un effort, pas s’y substituer. On en a largement abusé. Il va falloir arrêter de se focaliser sur les jeux financiers et de se bercer d'illusions pour attaquer les vrais problèmes de notre société au lieu de se voiler la face.
Cela demande du courage.
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- astrorock
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- Localisation: Jurassien rural du 9.3 néo breton.
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» 30 Déc 2014 17:17
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Seul problème: c'est beaucoup trop court
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- Joich
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