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Films (débats, critiques), personnalités (acteurs, réalisateurs), prochaines sorties, les salles, la presse spécialisée...

► CRITIQUES des derniers films vus

Message » 28 Mar 2015 18:48

Pour certains ce film est une apologie de la dénonciation (je ne prend pas parti sur ce point de vue) , car Kazan a été un des rares a avoir balancer ses petits camarades lors du Maccarthysme .
jhudson
 
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Message » 29 Mar 2015 2:53

Vu ce soir, "kingsman "en famille (je ne pensais pas pouvoir y amener ma moitié et ma fille de 20a. ,mais la BA a joué son rôle !)
Superbe film de divertissement qui ne se prend pas au sérieux et qui reste efficace jusqu'au bout: bcp d'humour,d'action,de références
aux films d'espionnage.Colin firth ,représentant du flegme britannique, Samuel L Jackson affublé d'une diction perturbée comme s'il portait un
appareil dentaire...il y a même un certain Mark Hammill
Très bonne soirée ciné pour terminer ma carte U.C
DR NO
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Message » 29 Mar 2015 12:19

jhudson a écrit:Pour certains ce film est une apologie de la dénonciation (je ne prend pas parti sur ce point de vue) , car Kazan a été un des rares a avoir balancer ses petits camarades lors du Maccarthysme .

C'est effectivement ce dont on pense pendant tout le film , une forme de constriction pour justifier ce passé
n'empêche je reste impressionné par la modernité de ce film.
On est sur les quais avec ces mecs et cette omerta

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Et je regardai, et je vis apparaitre un cheval couleur pale, et son cavalier se nommait la Mort, et l'enfer le suivait...Bigre c'est terrifiant tout çà !!
rann
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Message » 29 Mar 2015 15:34

Heu... Contrition, non? :siffle:

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Fafa
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Message » 29 Mar 2015 17:33

Fafa a écrit:Heu... Contrition, non? :siffle:

vouiiiiiii :oops:

je veux pas chercher d'excuse mais p'taing de correcteur ortho ..
je n'ai pas relu et je ne lui avais rien demandé

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Message » 29 Mar 2015 17:53

:wink:
Mon côté éduc-nat fait que je suis souvent obligé d'éditer mes posts, parfois plusieurs heures après, lorsque je constate une faute en me relisant.

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Fafa
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Message » 02 Avr 2015 6:29

Cherchez Hortense, hier soir sur Arte, de Pascal Bonitzer, avec JP Bacri, K Scott Thomas (plus parisienne que jamais), I. Carré et C.Rich.

Une comédie bourgeoise parisienne douce amère comme le cinéma français adore les faire ! JP Bacri est absolument excellent, (César pour ce rôle) Claude Rich en père cynique et fielleux s'impose aisément. Joli moment suspendu !

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Message » 02 Avr 2015 20:00

Vu The Equalizer
avec Denzel et CHloe Grace : je regarderais les quincailleries d'un autre oeil...

les combats sont vraiment d'un autre genre que ceux de John Wick, plus lisibles mais moins chorégraphiés

Gravity : je préfère Sandra en culotte que Sigourney dans Alien
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Message » 04 Avr 2015 23:34

autrichon gris a écrit:Cherchez Hortense, hier soir sur Arte, de Pascal Bonitzer, avec JP Bacri, K Scott Thomas (plus parisienne que jamais), I. Carré et C.Rich.

Une comédie bourgeoise parisienne douce amère comme le cinéma français adore les faire ! JP Bacri est absolument excellent, (César pour ce rôle) Claude Rich en père cynique et fielleux s'impose aisément. Joli moment suspendu !


J'ai trouvé cela sympa, mais ça aurait du être plus un moyen métrage qu'un long, ce film est complétement anecdotique .

Si c'est cela le cinéma français de maintenant alors qu'en 1947 c'était :

Quai des Orfèvres de Henri-Georges Clouzot ,c'est quand même autre chose, Clouzot prend le spectateurs de la premiére image et il ne lâchera qu'au mot fin ,une galerie de personnages incroyables avec des dialogues qu'ils ils assènent comme des coup de poings.

Genre :" il a été mal élevé, c'est un bourgeois il voit du mal partout !" !

Brillant de bout en bout et de l'audace a foison , la façon qu'il filme ses actrices , un montage au cordeau ,ect..

Bref ce qu'on ne trouve plus dans le cinema Français sauf par accident !

Superbe Copie HD qu'a passé ARTE présenté par Bertrand Tavernier , il reste encore Le Corbeau a remastériser ....

Image

Dire que des réalisateurs comme Guitry ou Pagnol, leur films ne sont toujours pas remastérisés par manque d'argent ... :grr:

Sur TCM, ils diffusent petit a petit en HD la filmo de Billy Wilder autre grand cinéaste, dernier en date : Irma la douce et Témoin à charge , 2 pièces de théatre que Wilder a complétement réécrit en les adaptant pour le cinema, car qui se souviens des pièces d'origine ?

Si j'avais a choisir quelles cinéastes je devais prendre les films sur une ile déserte Wilder et Clouzot en seraient , car je les ai presque tout déja vu , et revu !

Un autre bon film sur TCM que j'ai aimé revoir .

The Browning version (L'hombre d'un homme en VF) de Anthony Asquith de 1951 adapté par Terence Rattigan de sa pièce .

Dialogues Brillants et moments très émouvants venant de Michael Redgrave tout bonnement Génial de retenu et de dignité , mais copie SD malheureusement , mais de bonne qualité fournir par Criterion !

Il y a eu un remake en 1994 avec un Albert Finney qui ne faisait pas dans la subtilité donc franchement inférieur .
jhudson
 
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Message » 05 Avr 2015 12:30

J'ai vu Astérix, le domaine des Dieux d'Astier et Louis Clichy.
A défaut de retour au cinéma français qui avait de la gueule, au moins la débilité gauloise y est très bien exposée pas de problèmes.
genre :
-Les romains vous ont rendu bêtes et cupides
-Ah non désolé : bête on l'était déjà avant les romains et cupides, on sait même pas ce que ça veut dire :lol:

Bon ce n'est pas la septième merveille du monde non plus mais c'est la seule adaptation d'Astérix qui ressemble à peu près à quelque chose.
Chez cléopatre avec Alain Chabat dans le rôle de César et Jamel dans celui de numérobis il y avait des moments marrants mais on ne retrouvait pas ces débiles de gaulois à ce point là.
Je ne parlerais pas des autres portages d'Astérix à l'écran qui sont à mes yeux d'une débilité crasse affligeante à un milliard d'années de l'esprit de la BD.
Alors qu'ici, surtout lors de la première moitié du film, la BD est parfaitement respectée dans son fond et son esprit -celui d'une tentative d'absortion culturelle des primitifs gaulois.
Lorsque la forme est modifiée, c'est d'une manière qui sert l'esprit de la BD et va même jusqu'à l'approfondir en des lieux où on ne l'attend pas.

Le moment où le sénateur romain (je crois qu'il s'appelle travaillerpluspourgagnerplus) se définit lui-même comme un individu qui, par l'usage de la parole, a pour fonction d'empêcher les esclaves de devenir libres et de les faire travailler, qu'ils soient esclaves de leurs chaines ou du salariat putain quand-même :o


La deuxième partie est un poil moins réussie :
Je ne comprends pas pourquoi César, qui a été habile jusqu'ici au point de triompher, pête subitement un cable et décide de ravager le village gaulois déserté, seule façon de les réveiller et mettre fin à leur "romanisation".
Cela n'a aucun sens à ce stade du récit, sauf à penser que César a une crise, un élan psychopathe :mdr:
Mais alors il aurait fallu plus insister et le montrer la bave aux lèvres en train de délirer, rappeller comme il en a bavé avec les Gaulois, voir ses conseillers essayer de le dissuader de faire cette erreur mais non...
Il est vrai que les hommes de pouvoir ont tendance à se comporter parfois -notamment en France- comme des crétins élaborant des stratégies totalement contre productives mais tout de même...on a jamais vu par exemple les Etats-Unis vouloir saccager les nations qu'ils ont culturellement et économiquement conquises
Dernière édition par Boc21 le 05 Avr 2015 13:31, édité 1 fois.
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Message » 05 Avr 2015 12:40

jhudson a écrit:Le Dernier pub avant la fin du monde d'Edgar Wright

En 1990, cinq amis célèbrent la fin de leurs années de lycée par une tournée des douze pubs très alcoolisée dans leur village de Newton Haven. Mais la virée tourne mal et le dernier bar n'est jamais atteint, de sorte que Gary King, le meneur du groupe, s'en trouve très frustré. Vingt ans plus tard, Il vit encore dans le souvenir de cette nuit et décide de rappeler ses amis pour les sortir de leur vie rangée afin de parvenir à ce qu'ils n'ont pas pu faire plus jeunes : achever leur tournée en parvenant jusqu'au fameux bar The World's End.

Simon Pegg en looser est génial, ça commence comme un film "normal" pour monter en puissance a chaque nouvelle scéne, et ça fini en apothéose.

Plus il y a des problémes, plus ils sont souls et font des choix des plus incongrus ,et on lieux d’arrêter de boire continue a boire !

Un film qui donne soif!

Délirant ,bourré de trouvailles, les combats sont du genre KUN FU style et dépote pendant les scénes d'action !

Nombre de réalisateurs Anglais ont essayé en vain de copier le style d'Edgar Wright aucun ne lui arrive a la cheville, alors que lui mélange les genres avec une facilité déconcertante

Vu sur Canal , j’achète le blu ray dés que je le trouve pas trop cher.


C'est de très loin le film que j'ai le moins aimé de la trilogie.
Mais il est vrai que j'ai adoré les deux autres au-delà de tout superlatif disponible dans les langues françaises et Alien :wink:
Celui-ci, je l'ai juste beaucoup aimé.
Même si son final est tout simplement grandiose, mais alors vraiment-vraiment-vraiment grandiose :love:
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Message » 05 Avr 2015 20:20

Boc21 a écrit:
jhudson a écrit:Le Dernier pub avant la fin du monde d'Edgar Wright

En 1990, cinq amis célèbrent la fin de leurs années de lycée par une tournée des douze pubs très alcoolisée dans leur village de Newton Haven. Mais la virée tourne mal et le dernier bar n'est jamais atteint, de sorte que Gary King, le meneur du groupe, s'en trouve très frustré. Vingt ans plus tard, Il vit encore dans le souvenir de cette nuit et décide de rappeler ses amis pour les sortir de leur vie rangée afin de parvenir à ce qu'ils n'ont pas pu faire plus jeunes : achever leur tournée en parvenant jusqu'au fameux bar The World's End.

Simon Pegg en looser est génial, ça commence comme un film "normal" pour monter en puissance a chaque nouvelle scéne, et ça fini en apothéose.

Plus il y a des problémes, plus ils sont souls et font des choix des plus incongrus ,et on lieux d’arrêter de boire continue a boire !

Un film qui donne soif!

Délirant ,bourré de trouvailles, les combats sont du genre KUN FU style et dépote pendant les scénes d'action !

Nombre de réalisateurs Anglais ont essayé en vain de copier le style d'Edgar Wright aucun ne lui arrive a la cheville, alors que lui mélange les genres avec une facilité déconcertante

Vu sur Canal , j’achète le blu ray dés que je le trouve pas trop cher.


C'est de très loin le film que j'ai le moins aimé de la trilogie.
Mais il est vrai que j'ai adoré les deux autres au-delà de tout superlatif disponible dans les langues françaises et Alien :wink:
Celui-ci, je l'ai juste beaucoup aimé.
Même si son final est tout simplement grandiose, mais alors vraiment-vraiment-vraiment grandiose :love:


Peu être pas la meilleur ,mais vu la qualité des films qui sortent en ce moment, ça reste très au dessus du lot .

Vu comment ça commence dans la banalité la plus complète , on ne s'entend pas du tout a cette fin ainsi la façon dont ils sauvent le monde avec des remarques d'ivrogne...

Le film est inspiré des Profanateurs de sépulture entre autre,
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Message » 05 Avr 2015 20:29

Boc21 a écrit:J'ai vu Astérix, le domaine des Dieux d'Astier et Louis Clichy.
A défaut de retour au cinéma français qui avait de la gueule, au moins la débilité gauloise y est très bien exposée pas de problèmes.
genre :
-Les romains vous ont rendu bêtes et cupides
-Ah non désolé : bête on l'était déjà avant les romains et cupides, on sait même pas ce que ça veut dire :lol:

Bon ce n'est pas la septième merveille du monde non plus mais c'est la seule adaptation d'Astérix qui ressemble à peu près à quelque chose.
Chez cléopatre avec Alain Chabat dans le rôle de César et Jamel dans celui de numérobis il y avait des moments marrants mais on ne retrouvait pas ces débiles de gaulois à ce point là.
Je ne parlerais pas des autres portages d'Astérix à l'écran qui sont à mes yeux d'une débilité crasse affligeante à un milliard d'années de l'esprit de la BD.
Alors qu'ici, surtout lors de la première moitié du film, la BD est parfaitement respectée dans son fond et son esprit -celui d'une tentative d'absortion culturelle des primitifs gaulois.
Lorsque la forme est modifiée, c'est d'une manière qui sert l'esprit de la BD et va même jusqu'à l'approfondir en des lieux où on ne l'attend pas.


Il n'y a que 4 films live, il faut dire que Uderzo a bloqué la production des suivants pendant un moment .

– Astérix et Obélix contre César, sorti en 1999 Assez raté on ne trouve quasiment rien de ce qui a fait le succès de la BD, frustrant
– Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, sorti en 2002 ; Le préféré de Fans
– Astérix aux Jeux olympiques, sorti en 2008. Je trouve qu'on bien trop Bashé ce film qui est loin d’être nul , souvent drôle et délirant , c'est vraiment le plus spectaculaire de tous ,méme si nos héros sont un peu en retrait. Benoît Poelvoorde fait le show et ne se ménage pas, ainsi que certains guest (José Garcia mange vraiment des vers vivants),un film mal aimé
– Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté, sorti en 2012. La vraiment nul proche du téléfilm ,pas drôle la plupat du temps ,le pire de tous
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Message » 06 Avr 2015 18:29

MAGIC IN THE MOONLIGHT

Synopsis : Années 20 : Un "magicien" à succès accepte pour l'un de ses amis de visiter une riche famille en villégiature sur la côte d'Azur, pour démasquer si possible une jeune "médium" et sa mère, suspectée de berner leur entourage par leurs prétendus dons de voyance. Son avis sur la question va-t-il évoluer au contact de la troublante voyante ?

Très agréable "petit" Woody Allen, diablement charmant, avec le trop discret acteur Colin Firth (Lord Wessex de Shakespeare in Love) d'une élégance anglaise magistrale. Le scénario est vif, intelligent, sans détours. Les joutes verbales sont mémorables, les situations finement ciselées. Un très bon moment, jazzy quand il peut, du toujours talentueux Woody.

16/20
alcatol
 
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Message » 06 Avr 2015 18:38

alcatol a écrit:MAGIC IN THE MOONLIGHT

Synopsis : Années 20 : Un "magicien" à succès accepte pour l'un de ses amis de visiter une riche famille en villégiature sur la côte d'Azur, pour démasquer si possible une jeune "médium" et sa mère, suspectée de berner leur entourage par leurs prétendus dons de voyance. Son avis sur la question va-t-il évoluer au contact de la troublante voyante ?

Très agréable "petit" Woody Allen, diablement charmant, avec le trop discret acteur Colin Firth (Lord Wessex de Shakespeare in Love) d'une élégance anglaise magistrale. Le scénario est vif, intelligent, sans détours. Les joutes verbales sont mémorables, les situations finement ciselées. Un très bon moment, jazzy quand il peut, du toujours talentueux Woody.

16/20


Idem. J'y mets même un 17/20. :oldy:
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