BennJ a écrit: les joueurs coréens sont l’antithèse de leurs voisins japonais, nettement plus friands de consoles portables - c’est à se demander comment deux pays si proches géographiquement peuvent être aussi opposés dans leurs pratiques du jeu vidéo.
Les coreens et les japonais c'est difficile de trouver deux pays qui se haïssent plus ( a part, peut etre, iran et israel)...
Satoru Iwata était bien connu de son public par ses multiples apparitions en tant que communiquant qui parfois n’hésitait pas à se tourner en dérision pour amuser la galerie. Depuis son décès le 11 juillet dernier, on connaît également mieux son ancien statut d’expert en programmation, lui ayant permis par le passé quelques exploits qui resteront désormais dans la légende. Mais le plus important reste finalement son statut de président de Nintendo qui lui a valu cette légitime médiatisation, et par conséquent la façon dont il a géré, pendant treize années, l’une des plus importantes sociétés de l’industrie du jeu vidéo. Au travers de ses nombreuses déclarations, voici un témoignage de l’homme, sa vision, sa stratégie, avec toujours la volonté première de préserver l’identité et l’héritage d’une entreprise qui a tant compté dans l’histoire du jeu vidéo.
Objet de culte, auteur mégalo, concepteur de génie, troll ou gourou, on a tout entendu sur Hideo Kojima. Ses jeux sont à part, inventifs et excessifs. Mais que ce soit pour ses haters et son employeur, Kojima est aussi quelqu’un qui dérangeait trop. Il est surtout l’un de nous, un fanboy qui a réussi.
L’affaire Hideo Kojima aura eu le mérite de rappeler à tout le monde que certaines personnalités jugées intouchables ne sont plus à l’abri du courroux de l’entreprise qui les emploie. Excessives, audacieuses, parfois gênantes mais souvent très attachantes, les grandes vedettes du jeu vidéo vivent une période sombre, qui pourrait aboutir à leur disparition pure et simple. Et ce n’est pas forcément une bonne idée.
L’une des mamelles du jeu vidéo moderne est le photoréalisme et, avec lui, le rapprochement du cinéma. Mais le cinéma ce n’est pas qu’une question de représentation, c’est surtout des techniques et un langage particuliers. Il voulait être cinéaste, il a fini game designer, Hideo Kojima est parvenu à fusionner ses deux passions avec Metal Gear Solid. Chronique d’un style unique et révolutionnaire.
Rappelez-vous de ce jeu enfantin au principe à la fois simple et riche en possibilité appelé cache-cache. C’est sur ce genre de souvenir et de sensation que se base les jeux d’infiltration et si le genre est presque aussi vieux que le jeu vidéo lui-même, c’est pourtant sur Playstation qu’il va devenir incontournable grâce à Metal Gear Solid.
Alors ayé c'est terminé ca n'a duré que quelques minutes en fait :
Ce qu'il faut retenir : - La chronique de Virgil arrive dans quelques semaines et s'appellera : Virgil mais correct - Les mecs de chez AfterBit après s'être cassé de chez JV.com arrivent chez GK - 2 nouveaux podcasts : un consacré aux jeux PC et l'autre ou ils inviteront un développeur Ils seront comme Gaijin Dash proposé à toutes et à tous, pas uniquement aux Premium donc.
A nos abonnés, nous avions promis une rentrée chargée, avec pas moins de quatre nouveaux programmes à venir dans leur espace Premium. En voici déjà un, sans doute le plus attendu : une toute nouvelle émission mensuelle intitulée After Bit, que d'aucuns connaissent sans doute déjà mais qui revient pour une toute nouvelle formule, étendue, enrichie, plus fouillée et profonde ! Vous souhaitez vous abonner et rejoindre le club des Premium ?On vous offre le premier mois pour essayer !
Durant 26 minutes, Charles et Valentin - les auteurs d'After Bit - exploreront les subtilités et références de la musique dans le jeu vidéo, croisant les influences, détaillant les styles, avec des phases d'écoute qui vous permettront sans doute de redécouvrir vos classiques. Et de classique, il en sera justement question dans cette première de septembre ! Si vous ne voyez pas encore de points communs entre des jeux comme Fatal Fury, Parodius, LOOM, Catherine ou encore Drakengard, ce sera bientôt le cas grâce à ce premier numéro d’After Bit. Qu’elle soit utilisée de manière conventionnelle, excentrique ou complètement hors sujet, la musique classique est présente depuis bien longtemps dans l’univers du jeu vidéo et cet épisode va vous permettre de découvrir comment elle a pu y être associée.
Nous sommes naturellement ravis et fiers de nous entourer de producteurs de contenu aussi talentueux, motivés et intègres, et espérons vous récompenser à juste titre de votre abonnement à Gamekult Premium avec un nouveau rendez-vous que vous ne retrouverez pas ailleurs. Nous avons travaillé ces dernières semaines pour rendre le concept d'After Bit plus riche encore, et pensons que le résultat devrait vous convaincre et vous divertir. Merci à tous pour votre souscription ; nous vous donnons rendez-vous mi-octobre pour le second numéro de cette émission !
C’est depuis un long moment l’annonce espérée à chaque Nintendo Direct : un nouveau F-Zero. Au cours de l’E3 dernier, une fois de plus, le constructeur japonais a laissé les fans de la série orphelins d’une suite à F-Zero GX, sorti en 2003. Mais pourquoi diable la société si habituée à exploiter les mêmes séries encore et encore fait-elle sans arrêt l’impasse sur le célèbre de jeu de course futuriste ?
Un soupçon d’imagination, une bonne dose de communication, une poignée de procédés coercitifs, deux grosses cuillerées de biais cognitifs et vous aurez cuisiné votre premier free-to play à succès. Dans cet article paru dans Games #7 en janvier 2015, Pierre Corbinais (aka Pierrec de L’Oujevipo) décrypte avec humour et lucidité les mécanismes de cette nouvelle économie (et religion ?) qui change toute la façon de faire un jeu vidéo. Cet article, écrit par Pierre Corbinais, est issu des pages de notre super partenaire Games Magazine
Chaque mois, notre journaliste Oscar “business” Lemaire décrypte et commente l’actualité économique du jeu vidéo. Dans Les comptes de M. Lemaire, nous vous proposons une lecture critique des évènements marquants sur le marché, les déclarations insolites et les performances commerciales des dernières sorties. Un rendez-vous indispensable pour ceux qui veulent briller en soirée sur les dernières tendances, se reconvertir en analyste sur les forums du monde entier, ou simplement s’informer sur ce qui se passe chez nos amis en costume-cravate.
Attention, document exceptionnel : dans le cadre du partenariat entre Gamekult Premium et la chaîne Nolife, nous proposons à tous nos abonnés de visionner le long reportage (52 minutes) écrit et tourné aux côtés de Yoshitaka Amano, un monstre sacré que vous connaissez sans doute pour ses travaux sur la série Final Fantasy. A noter que nous proposons ce documentaire jusqu'au 12 décembre à nos abonnés : profitez-en vite !
Voici d'ailleurs quelques codes à la volée pour les radins et/ou curieux.
- Kojima 1D1C79 - After Bit A45D3F - F-Zero 823BC4 - Comment réussir un free to play E72AE5 - Les comptes de Monsieur Lemaire 55A0F8 - Quand les grands noms sortent par la petite porte B7548E
Franchement je ne regrette pas mon abonnement. Les articles sont variés et intéressants. Les chroniques vidéos également et on en attend de nouvelles très prochainement. Ca ne chôme pas et c'est tant mieux !
A l’heure des soldes massifs sur Steam et des bundles/packs à n’en plus finir, peut-être contemplez-vous votre interminable backlog de jeux dématérialisés avec une pointe de fierté. C’est que pour les plus gros gourmands d’entre-vous, une bibliothèque Steam/PS Store/Xbox Live constitue un véritable trésor de guerre, l’achèvement d’une vie de joueur où tombèrent soirées, amis, et probablement quelques milliers d’euros. L’intégrale The Elder Scrolls, les compilations Sega, tous les épisodes de Doom, la Call of Duty collection, le pack Rockstar Games, ou encore les Mirror’s Edge, Half Life ou BioShock que tout le monde s’est payé à deux euros. Il y a de quoi pavaner, c’est vrai. Si seulement vos jeux vous appartenaient vraiment…
Vraiment hâte de lire tout ca même si je sais déjà qu'on a juste une licence d'utilisation et donc que forcément cette licence peut nous être retirée pour une raison x ou y...