4 jours avant le départ, ma titine me fait des siennes ! Direction garage pour elle
.Étant de nature à respecter nos engagements, nous décidons de louer un véhicule pour ne pas annuler ou reporter la visite du showroom.
Pendant les 4h de route qui séparent ces deux belles régions, et après une négociation au bras de fer
, madame veut bien participer au projet, mais seulement pour l’option acoustique...Et même après des négociations digne de la guerre froide (et pendant ce temps mon pote à l'arrière -->
), la taille n'est toujours pas fixer : 2.5m pour moi, 2m MAX pour madame, pour le futur DBC.Allez, un petit resto alsacien, histoire de reprendre des forces pour le showroom et surtout oublier les soucis de ma titine.
Nous arrivons à 15h00 : ça y'est, me dis-je, nous allons en prendre pleins les mirettes ! ("surtout ne craque pour rien d'autres que le DBC, surtout ne craque pour rien d'autres que le DBC...")
Laurent nous ouvres la porte et nous invites à rejoindre Franck à l'étage.
Après un super accueil, on nous proposes de nous asseoir sur des fauteuils vraiment mais alors vraiment confortable (mon ami est d'ailleurs devenu amoureux !
)Laurent nous demandes qu'elle est notre projet, je lui rétorque, que nous sommes venus pour voir un DBC en action et surtout en acoustique.
Madame entre temps, me lance un regard qui veut dire : surtout ne craque pour rien d'autre que le DBC !
La démo commence avec quelques films que nous connaissons bien, sur la toile DBC de plus de 4m avec un Sony VW520ES.
C'est déjà magnifique !
Arrive l'extrait d'Oblivion. Les noirs sont fabuleux ! Malgré la lumière extérieur (15-16h) qui "pollue" encore la pièce.
Un tantinet "insolent" je rétorque à basse voix à mon pote et à madame "les blancs, ils manquent pas légèrement de pèche ?"
(Comment ?!?
" c'est sûrement ce que vous vous dites, lorsque vous lisez cette phrase hein ? J'y reviens plus bas) Laurent nous demandent si nous voulons voir le Cinémask à l’œuvre, mais nous précises bien, que cela peut-être une très mauvaise idée
Et bien oui, allons-y, quitte à faire de la route, voyons voir toutes ces toiles à l’exercice !
Le DBC remonte, et laisse apparaître le Cinémask de "seulement" 3m qui est juste derrière. C'est déjà très beau.
Démo du noir résiduel avec et sans masquage...
Aïe, aïe et re aïe.
Je force mon esprit à ne pas voir la différence. Si je craque pour le Cinémask, madame va me le faire payer (pendant très longtemps).
Et les démos s’enchaînent :
- 4K : bim ! coup droit
- 2K : boum ! uppercut
- FHD : paf ! je suis dans les cordes, mais je tiens bon
- Vas-y que je descend et remonte le DBC... je tremble, mais je suis un chevalier, j'ai promis à ma promise...
Je tourne ma tête, trouvé de la force auprès de madame...
Elle est dans tous ces états !!!
Elle est K.O. !
Quand je pense, que je luttais pour elle, elle m'a salement lâché
Du coup, perdu pour perdu, je me détends, et laisse mes yeux admirer et arrête de me forcer "à ne pas regarder cette écran".
C'est tout simplement magnifique et ultra immersif !
Le DBC est complètement différent, il joue sur la grande taille de la toile pour "perdre" les yeux.
Le Cinémask ? C'est difficile à décrire... Le masquage, "absorbe" le spectateur dans le film. Une dynamique incroyable se fait sentir.
Alors déjà que la démo 4K de Sony sur le DBC est magnifique, mais sur le Cinémask, vous avez un détachement des plans...
En tous cas, à chaque remonté du DBC, et qui donc, laissé la place au Cinémask, mon ami et madame était :
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), après une bonne heure à se faire conter des annedoctes toutes aussi croquantes et génials les unes que les autres !
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