Ils nous ont quittés

[starfox]

Mais par contre je suis archi-fan de Michael Lonsdale... une vraie tête de méchant impassible et bien sadique

Oui, et dans Munich aussi il est comme ça ! Au moment de tourner Munich, il a dû se rappeler qu'il avait joué dans Moonraker, il s'est dit "Moonraker était un film d'espions, Munich est aussi un film d'espions, je vais pas me casser le fion, je vais faire pareil", et Spielberg y a vu que du feu, il a même pas remarqué que c'était Drax qui était sur le plateau en fait !

[laurent martiarena]

tu va me dire que dans des dieux et des hommes il nous fait du drax aussi ! dans le nom de la rose, maintenant que j'y pense, il à aussi un petit coté drax quand même !

[Scudabear]

En même temps M. Lonsdale, c'est une "gueule" exceptionnelle...
Pouvoir jouer un méchant fou visionnaire d'une civilisation de surhommes dans l'espace , un savant pince sans rire qui réanime les hibernés et un moine Franciscain, c'est pas donné à tout le monde

[autrichon gris]

http://www.latimes.com/entertainment/mo ... story.html

Auteur du séminal "night of the living dead" George Romero livrait en 1968 une critique féroce de la société américaine derrière la face de l'horror movie.
Le genre ne s'en est jamais remis !

[Robson5]

un précurseur dans son genre, beaucoup ont essayé de l'imiter, beaucoup se sont plantés. Grâce à George Roméro, les films de Zombies ont évolué. je retiendrai la nuit des morts vivants, Zombie, Creepshow et un dernier film en 2003 et Dawn of the dead.
77 ans, je pensais qu'il était plus vieux. un monument qui nous quitte.

[starfox]

Bah flute alors. La sale nouvelle de la journée. Encore une page qui se tourne et pleins de souvenirs qui remontent à la surface.

[laurent martiarena]

RIP mister Romero, it's day of the dead !

[primare21]

J'ai vu Zombie en dvd et Land Of The Dead au cinéma.
Deux bons films de genres avec des zombies et des vrais histoires.

[autrichon gris]

Deux bons films de genres avec des zombies et des vrais histoires.

C'est ce que j'ai aimé dans Night of the living dead, une vraie histoire avec une critique acerbe d'une certaine Amérique raciste et trop bien pensante. Les zombies sont clairement une métaphore qui donne de la chair ( ) à un film finalement politique. Rien que pour ça il méritait d'être salué.

[SuperSniffer]

Le papa des zombies c'est triste...

R.I.P.

[coincarre]

Fable politique intelligente, succès populaire (un des films les plus rentables de l'histoire), originalité formelle (présenté au Moma (musée d'Art moderne de New York) deux ans après sa sortie), Night of the Living Dead a permis au genre horrifique d'être pris au sérieux tout en glaçant le sang de ses spectateurs. Plus qu'un film, un monument.
On n'oubliera pas non plus Zombi/Dawn of the Dead et sa critique acerbe du consumérisme, et Day of the Dead , vigoureuse charge contre l'armée, films qui restent toujours d'une criante actualité, sans oublier excellents The Crazies, Martin et plus récemment Land of the Dead.
G A. Romero restera toujours vivant dans le coeur des passionnés mais aujourd'hui c'est quand même triste

[starfox]

Un mec qui pouvait se vanter d'avoir inventé un genre à lui tout seul. C'est pas banal. Avec des zombies qui ne sont pas juste un décor comme à peu près tout ce qu'on a pu voir ces dernières années...

Le jour où Zach Snyder a fait cavaler ses zombies comme des lapins dans le remake de zombie, c'était foutu. C'est un super réalisateur Zach Snyder, mais avec ce remake, il a ouvert la boite de pandore et a du coup montré le chemin à tout un tas d'ersatz foireux de films ou séries zombiesques qui n'avaient plus rien à dire d'intéressant sur rien du tout.

[Cylon]

Un de mes grands-pères spirituels . Même si la profusion, un peu gavante et pas toujours de bon goût ( ), du film-série-jeu de zombie est parvenue à m'éloigner du genre que j'adorais dans les années 2000, grande époque de sa résurrection ( ) entre Left4Dead, le bon remake de Snyder (je plussoie starfox, mais même s'il a ouvert la boîte de pandore il avait des choses à dire), les 28, et Walking Dead (la BD), je ne me lasse jamais de la patte de Romero, même dans ses métrages considérés comme mineurs. Comme Diary of the Dead, où dans cette époque de zombies rapides, il avait remis le rôle social et politique du zombie au centre. Jamais démodé, et père fondateur devant l'éternel.

[tenia54]

Autant sa disparation m'attriste de par l'impact qu'il a eu sur le cinéma d'horreur indépendant, autant je ne peux m'empêche de me dire qu'au moins, ça l'aura empêché de se fourvoyer dans une énième redite grabataire autour des zombies.

[autrichon gris]

http://www.huffingtonpost.fr/2017/07/21 ... r-homepage

Immense comédien de théatre et de cinéma à la carrière aussi riche que discrète. Salut l'artiste !