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France: Coût du soutien public au renouvelable
AFP parue le 16 juill. 2018 à 15h34 -
Le gendarme de l'énergie a évalué à 7,78 milliards d'euros pour 2019, en hausse de 4% par rapport à la prévision pour 2018, le montant des charges qui permettent notamment de financer le soutien public aux énergies renouvelables.
Ces charges de service public de l'énergie (CSPE) sont évaluées par la Commission de régulation de l'énergie (CRE) et doivent servir à couvrir les missions de service public assurées essentiellement par l'opérateur historique EDF, dont celles liées au rachat à un prix bonifié de l'électricité d'origine renouvelable, et à la péréquation tarifaire en outre-mer.
Dans sa délibération publiée lundi, la CRE note aussi que ce montant de 7,78 milliards d'euros représente une hausse de 12% comparé au montant constaté au titre de l'année 2017.
Dans le détail, 68% du total correspond au soutien aux énergies renouvelables, dont 33% pour le solaire photovoltaïque et 17% pour l'éolien, 20% correspond à la péréquation tarifaire dans les zones non interconnectées (outre-mer, etc.), 9% au soutien à la cogénération (production de chaleur et d'électricité), 2% au soutien à l'injection de biométhane dans les réseaux de gaz, 1% à l'effacement et 0,5% pour les dispositifs sociaux.
La hausse du soutien aux énergies vertes résulte surtout "d'une anticipation du développement des filières photovoltaïques et cogénération", mais elle est limitée par l'augmentation des prix de marché de l'électricité et du gaz qui induit un besoin de soutien public complémentaire moins important pour le courant produit par les énergies renouvelables, explique la CRE.
Par ailleurs, elle table sur un "doublement" des charges liées au biométhane, du fait de la progression attendue des raccordements d'installations.
En revanche, la partie de la CSPE finançant jusqu'à présent le soutien aux ménages précaires est attendue en forte baisse. Le chèque énergie, qui remplace les tarifs sociaux, n'est en effet pas financé via la CSPE.
A ce montant doit aussi s'ajouter la régularisation de charges avancées par EDF par le passé, et non encore remboursées par l'Etat, ainsi que diverses actualisations.
Au total, la CRE évalue donc à 8,970 milliards d'euros le montant total des charges à compenser en 2019.
C'est au Parlement, dans le cadre de la loi de Finances, de déterminer à quelle hauteur ce montant sera effectivement financé par le budget de l'Etat.
A+
Le gendarme de l'énergie a évalué à 7,78 milliards d'euros pour 2019, en hausse de 4% par rapport à la prévision pour 2018, le montant des charges qui permettent notamment de financer le soutien public aux énergies renouvelables.
Ces charges de service public de l'énergie (CSPE) sont évaluées par la Commission de régulation de l'énergie (CRE) et doivent servir à couvrir les missions de service public assurées essentiellement par l'opérateur historique EDF, dont celles liées au rachat à un prix bonifié de l'électricité d'origine renouvelable, et à la péréquation tarifaire en outre-mer.
Dans sa délibération publiée lundi, la CRE note aussi que ce montant de 7,78 milliards d'euros représente une hausse de 12% comparé au montant constaté au titre de l'année 2017.
Dans le détail, 68% du total correspond au soutien aux énergies renouvelables, dont 33% pour le solaire photovoltaïque et 17% pour l'éolien, 20% correspond à la péréquation tarifaire dans les zones non interconnectées (outre-mer, etc.), 9% au soutien à la cogénération (production de chaleur et d'électricité), 2% au soutien à l'injection de biométhane dans les réseaux de gaz, 1% à l'effacement et 0,5% pour les dispositifs sociaux.
La hausse du soutien aux énergies vertes résulte surtout "d'une anticipation du développement des filières photovoltaïques et cogénération", mais elle est limitée par l'augmentation des prix de marché de l'électricité et du gaz qui induit un besoin de soutien public complémentaire moins important pour le courant produit par les énergies renouvelables, explique la CRE.
Par ailleurs, elle table sur un "doublement" des charges liées au biométhane, du fait de la progression attendue des raccordements d'installations.
En revanche, la partie de la CSPE finançant jusqu'à présent le soutien aux ménages précaires est attendue en forte baisse. Le chèque énergie, qui remplace les tarifs sociaux, n'est en effet pas financé via la CSPE.
A ce montant doit aussi s'ajouter la régularisation de charges avancées par EDF par le passé, et non encore remboursées par l'Etat, ainsi que diverses actualisations.
Au total, la CRE évalue donc à 8,970 milliards d'euros le montant total des charges à compenser en 2019.
C'est au Parlement, dans le cadre de la loi de Finances, de déterminer à quelle hauteur ce montant sera effectivement financé par le budget de l'Etat.
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- Robert64
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Le nucléaire c est dangereux, les énergies renouvelables c'est sans danger
https://www.lemonde.fr/asie-pacifique/a ... _3216.html
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- jujulolo
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Encore plus fort (les campagnes de désinformation finissent par porter leurs fruits.)
Ici, on est proche du mur du çon:
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Route solaire : le désastre annoncé est consommé
Les experts se sont trompés, la route solaire est un désastre financier.
Par Michel Gay.
Le désastre financier prévisible, et annoncé, de la « route solaire » inaugurée en grande pompe par Ségolène Royal en Normandie le 22 décembre 2016, est consommé.
Et il est même pire qu’anticipé car les « experts » se sont trompés sur la production prévue d’électricité.
Elle n’est pas de 767 kWh par jour en moyenne mais de seulement 409 kWh (soit tout de même presque deux fois moins…).
Cette surface a donc produit 150 mégawattheures (MWh) d’électricité sur un an (uniquement en milieu de journée).
Les 2800 m2 constituant le kilomètre de « route solaire » normande ont coûté 5 M€ hors taxes au contribuable français, soit près de 1800 € / m2 (contre 5 € / m2 pour l’asphalte).(NDLR : voire note perso)
Pour information, la même route solaire chinoise coûte presque quatre fois moins cher (environ 420 € / m2).
Dans ces conditions, espérer exporter cette technologie relève du rêve.
Le coût d’achat sur le marché de l’électricité étant d’environ 40 € / MWh, la valeur de cette production ressort à 6000 € par an soit environ 0,01% de rendement sur investissement…
Si la durée de vie de cette portion de route solaire est de 10 ans, elle délivrera au total 1500 MWh ce qui correspond à 3400 €/MWh (85 fois le prix du marché !).
Et il est probable que des frais supplémentaires d’entretien viendront s’ajouter, compte-tenu des contraintes physiques que la route solaire doit subir (notamment le passage des véhicules). Il a déjà fallu remplacer 5% de la surface (gratuitement ?).
De plus, qui va payer pour nettoyer la route de « l’encrassement » qui voile la lumière des panneaux ?
Ce genre de pompe à fric permet à quelques industriels malins de se gaver de subventions publiques (peut-on leur reprocher de répondre à une demande officielle et de se servir si la loi le permet ?) et d’offrir de belles inaugurations à des élus fiers de leur réalisation.
Par l’intermédiaire de décisions hasardeuses, voire stupides, de certains de ses représentants, le contribuable peut-il se permettre longtemps de telles gabegies financières ?
Source : https://www.contrepoints.org/2018/08/10 ... t-consomme
Les experts se sont trompés, la route solaire est un désastre financier.
Par Michel Gay.
Le désastre financier prévisible, et annoncé, de la « route solaire » inaugurée en grande pompe par Ségolène Royal en Normandie le 22 décembre 2016, est consommé.
Et il est même pire qu’anticipé car les « experts » se sont trompés sur la production prévue d’électricité.
Elle n’est pas de 767 kWh par jour en moyenne mais de seulement 409 kWh (soit tout de même presque deux fois moins…).
Cette surface a donc produit 150 mégawattheures (MWh) d’électricité sur un an (uniquement en milieu de journée).
Les 2800 m2 constituant le kilomètre de « route solaire » normande ont coûté 5 M€ hors taxes au contribuable français, soit près de 1800 € / m2 (contre 5 € / m2 pour l’asphalte).(NDLR : voire note perso)
Pour information, la même route solaire chinoise coûte presque quatre fois moins cher (environ 420 € / m2).
Dans ces conditions, espérer exporter cette technologie relève du rêve.
Le coût d’achat sur le marché de l’électricité étant d’environ 40 € / MWh, la valeur de cette production ressort à 6000 € par an soit environ 0,01% de rendement sur investissement…
Si la durée de vie de cette portion de route solaire est de 10 ans, elle délivrera au total 1500 MWh ce qui correspond à 3400 €/MWh (85 fois le prix du marché !).
Et il est probable que des frais supplémentaires d’entretien viendront s’ajouter, compte-tenu des contraintes physiques que la route solaire doit subir (notamment le passage des véhicules). Il a déjà fallu remplacer 5% de la surface (gratuitement ?).
De plus, qui va payer pour nettoyer la route de « l’encrassement » qui voile la lumière des panneaux ?
Ce genre de pompe à fric permet à quelques industriels malins de se gaver de subventions publiques (peut-on leur reprocher de répondre à une demande officielle et de se servir si la loi le permet ?) et d’offrir de belles inaugurations à des élus fiers de leur réalisation.
Par l’intermédiaire de décisions hasardeuses, voire stupides, de certains de ses représentants, le contribuable peut-il se permettre longtemps de telles gabegies financières ?
Source : https://www.contrepoints.org/2018/08/10 ... t-consomme
- Robert64
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de la rigolade à coté de l aide financière octroyé aux pays sous développé
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Moulins à vent(s)
La baisse des subventions menace l’emploi dans l’industrie éolienne outre-Rhin
Rien ne va plus dans l’éolien allemand. Confronté à une baisse des commandes, le premier constructeur
d’éoliennes terrestres du pays, Enercon, a décidé de se concentrer sur l’international, entraînant la suppression
de 835 postes chez ses sous-traitants. Ses principaux concurrents, Nordex, Senvion ou encore Siemens
Gamesa, ont eux aussi réduit la voilure outre-Rhin. Des usines entières mettent même la clé sous la porte,
comme les sites de Powerblades et Carbon Rotec près de Brême.
Selon le syndicat IG Metall, plus de 2000 emplois ont déjà été détruits depuis 2017. Quelque 24 000 postes
supplémentaires sont menacés. « Les conséquences pour les employés sont dramatiques, s’alarme Meinhard
Geiken, directeur régional du syndicat IG Metall dans le nord de l’Allemagne, la région la plus touchée. Avec ces
coupes franches dans les effectifs, la filière perd aussi un savoir-faire important. » Selon la fédération de la
filière éolienne (BWE), l’installation de turbines sur le sol allemand a baissé d’un tiers sur un an et devrait
continuer de chuter.
Pour le BWE, la crise a été déclenchée par la réforme du système de subventions aux énergies renouvelables
mis en place il y a un an et demi. Auparavant, Berlin soutenait tous les projets avec un prix fixe de rachat
d’énergie. Cela a dopé le secteur, faisant de l’Allemagne le leader européen de l’éolien. La capacité installée
d’éoliennes sur le territoire (51 gigawatts, GW) dépasse même celle des centrales à charbon. Mais cette
politique coûtait cher, trop cher aux yeux du gouvernement qui est passé à un système d’appels d’offres.
Pression sur les prix
Désormais, seuls les projets les plus compétitifs sont soutenus financièrement. Contrairement à la France, qui a
adopté ce système uniquement pour les grands parcs éoliens, l’Allemagne a choisi de ne faire aucune exception.
Résultat, une très forte pression sur les prix qui se répercute sur l’ensemble du secteur. La situation est d’autant
plus difficile pour le secteur que le gouvernement a réduit les volumes concernés. Il prévoit ainsi d’attribuer 2,80
GW d’éolien terrestre par an, bien moins que les 4,6 GW installés en moyenne avant la réforme.
À cela s’ajoute le fait que plus de 90 % des appels d’offres ont été remportés en 2017 par des projets dits
« citoyens », à la réalisation incertaine. « Ces projets ont pu participer aux appels d’offres sans autorisation de
construire préalable, explique Matthias Zelinger, président de la fédération allemande des constructeurs
d’éoliennes (VDMA). Une fois emporté l’appel d’offres, l’installation des turbines tarde en attendant les
autorisations. Ainsi, « sur un an, les commandes ont baissé de 70 % », poursuit Matthias Zelinger, qui précise
que cette « erreur du gouvernement » a été depuis corrigée.
Le ministère de l’Énergie refuse d’endosser la responsabilité des difficultés de la filière. Il assure que les
suppressions d’emploi sont causées par « un renforcement de la concurrence internationale ». De leur côté, les
professionnels de l’éolien appellent le gouvernement à lancer rapidement les « appels d’offres exceptionnels »
(Le Figaro)
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Rien ne va plus dans l’éolien allemand. Confronté à une baisse des commandes, le premier constructeur
d’éoliennes terrestres du pays, Enercon, a décidé de se concentrer sur l’international, entraînant la suppression
de 835 postes chez ses sous-traitants. Ses principaux concurrents, Nordex, Senvion ou encore Siemens
Gamesa, ont eux aussi réduit la voilure outre-Rhin. Des usines entières mettent même la clé sous la porte,
comme les sites de Powerblades et Carbon Rotec près de Brême.
Selon le syndicat IG Metall, plus de 2000 emplois ont déjà été détruits depuis 2017. Quelque 24 000 postes
supplémentaires sont menacés. « Les conséquences pour les employés sont dramatiques, s’alarme Meinhard
Geiken, directeur régional du syndicat IG Metall dans le nord de l’Allemagne, la région la plus touchée. Avec ces
coupes franches dans les effectifs, la filière perd aussi un savoir-faire important. » Selon la fédération de la
filière éolienne (BWE), l’installation de turbines sur le sol allemand a baissé d’un tiers sur un an et devrait
continuer de chuter.
Pour le BWE, la crise a été déclenchée par la réforme du système de subventions aux énergies renouvelables
mis en place il y a un an et demi. Auparavant, Berlin soutenait tous les projets avec un prix fixe de rachat
d’énergie. Cela a dopé le secteur, faisant de l’Allemagne le leader européen de l’éolien. La capacité installée
d’éoliennes sur le territoire (51 gigawatts, GW) dépasse même celle des centrales à charbon. Mais cette
politique coûtait cher, trop cher aux yeux du gouvernement qui est passé à un système d’appels d’offres.
Pression sur les prix
Désormais, seuls les projets les plus compétitifs sont soutenus financièrement. Contrairement à la France, qui a
adopté ce système uniquement pour les grands parcs éoliens, l’Allemagne a choisi de ne faire aucune exception.
Résultat, une très forte pression sur les prix qui se répercute sur l’ensemble du secteur. La situation est d’autant
plus difficile pour le secteur que le gouvernement a réduit les volumes concernés. Il prévoit ainsi d’attribuer 2,80
GW d’éolien terrestre par an, bien moins que les 4,6 GW installés en moyenne avant la réforme.
À cela s’ajoute le fait que plus de 90 % des appels d’offres ont été remportés en 2017 par des projets dits
« citoyens », à la réalisation incertaine. « Ces projets ont pu participer aux appels d’offres sans autorisation de
construire préalable, explique Matthias Zelinger, président de la fédération allemande des constructeurs
d’éoliennes (VDMA). Une fois emporté l’appel d’offres, l’installation des turbines tarde en attendant les
autorisations. Ainsi, « sur un an, les commandes ont baissé de 70 % », poursuit Matthias Zelinger, qui précise
que cette « erreur du gouvernement » a été depuis corrigée.
Le ministère de l’Énergie refuse d’endosser la responsabilité des difficultés de la filière. Il assure que les
suppressions d’emploi sont causées par « un renforcement de la concurrence internationale ». De leur côté, les
professionnels de l’éolien appellent le gouvernement à lancer rapidement les « appels d’offres exceptionnels »
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- Robert64
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selber schuld
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Robert64 a écrit:Encore plus fort (les campagnes de désinformation finissent par porter leurs fruits.)
Ici, on est proche du mur du çon:
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Comme quoi, la sensation d'être entouré de 95% d'abrutis n'est pas si fausse que ça .
- poilau
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poilau a écrit:Robert64 a écrit:Encore plus fort (les campagnes de désinformation finissent par porter leurs fruits.)
Ici, on est proche du mur du çon:
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Comme quoi, la sensation d'être entouré de 95% d'abrutis n'est pas si fausse que ça .
Abrutis, je ne sais pas, mais je constate une sévère carence en esprit critique.
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jujulolo a écrit:Le nucléaire c est dangereux, les énergies renouvelables c'est sans danger
https://www.lemonde.fr/asie-pacifique/a ... _3216.html
et ca continue , un barrage craque en birmanie, 60 000 personnes evacués le nombre de mort n'est pas encore connu.
a quand un prinicipe de precaution pour les energies renouvelables
http://www.rfi.fr/asie-pacifique/201808 ... re-mousson
- jujulolo
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Nota: ce document est antérieur à Fukushima
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Nota: ce document est antérieur à Fukushima
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- Robert64
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S’il n’était pas déjà parti, Nicolas Hulot aurait eu d’autres couleuvres à avaler. L’ex-ministre avait fustigé l’énergie nucléaire lors de l’annonce de sa démission au micro de France Inter. Le journal Les Échos révèle dans son édition de ce jeudi qu’un rapport commandé par Bercy et le ministère de la Transition énergétique prône en effet la construction de six nouveaux réacteurs nucléaires de type EPR.
Le rapport est le résultat d’une mission lancée par les deux ministres concernant « le maintien des capacités industrielles de la filière nucléaire en vue de potentielles nouvelles constructions de réacteurs », affirme le quotidien économique, qui cite la lettre de mission à l’origine du rapport mais pas ce dernier.
Début de la construction dès 2025
Contactés par l’AFP, Bercy n’a pas souhaité commenter ces informations, tout comme l’entourage de l’ex-ministre.
Après avoir dénoncé en juin une « dérive » de la filière nucléaire, Nicolas Hulot a, lors de l’annonce de sa démission mardi, fustigé l’énergie atomique, « cette folie inutile économiquement, techniquement, dans laquelle on s’entête », alors qu’EDF plaide pour la construction rapide d’un deuxième réacteur de troisième génération (EPR), après celui de Flamanville (Manche).
Yannick d’Escatha, ancien administrateur général du Commissariat à l’énergie atomique (CEA) et actuel conseiller du président d’EDF, et Laurent Collet-Billon, ex-délégué général à l’armement, étaient chargés respectivement des volets militaire et civil de ce rapport.
Selon le journal, ce rapport plaide pour la construction d’un premier lot de six nouveaux EPR à partir de la prochaine décennie. La construction d’un premier exemplaire démarrerait en 2025 pour une entrée en service en 2035. La construction d’un deuxième réacteur serait lancée deux ans après le premier, et ainsi de suite pour construire les six premiers réacteurs.
Un autre rapport important sur la PPE attendu courant septembre
La France prépare actuellement sa « programmation pluriannuelle de l’énergie » (PPE) pour les périodes 2018-2023 et 2024-2028.
Un débat public a été organisé en juin dernier sur ce sujet complexe afin de recueillir les avis de la population au travers de réunions publiques, d’un questionnaire et d’un site internet, ou encore d’un panel de 400 citoyens réunis à l’Assemblée nationale pour exprimer leurs opinions. Le rapport concernant la PPE doit être remis courant septembre.
Source : https://www.ouest-france.fr/environneme ... pr-5941427
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Le rapport est le résultat d’une mission lancée par les deux ministres concernant « le maintien des capacités industrielles de la filière nucléaire en vue de potentielles nouvelles constructions de réacteurs », affirme le quotidien économique, qui cite la lettre de mission à l’origine du rapport mais pas ce dernier.
Début de la construction dès 2025
Contactés par l’AFP, Bercy n’a pas souhaité commenter ces informations, tout comme l’entourage de l’ex-ministre.
Après avoir dénoncé en juin une « dérive » de la filière nucléaire, Nicolas Hulot a, lors de l’annonce de sa démission mardi, fustigé l’énergie atomique, « cette folie inutile économiquement, techniquement, dans laquelle on s’entête », alors qu’EDF plaide pour la construction rapide d’un deuxième réacteur de troisième génération (EPR), après celui de Flamanville (Manche).
Yannick d’Escatha, ancien administrateur général du Commissariat à l’énergie atomique (CEA) et actuel conseiller du président d’EDF, et Laurent Collet-Billon, ex-délégué général à l’armement, étaient chargés respectivement des volets militaire et civil de ce rapport.
Selon le journal, ce rapport plaide pour la construction d’un premier lot de six nouveaux EPR à partir de la prochaine décennie. La construction d’un premier exemplaire démarrerait en 2025 pour une entrée en service en 2035. La construction d’un deuxième réacteur serait lancée deux ans après le premier, et ainsi de suite pour construire les six premiers réacteurs.
Un autre rapport important sur la PPE attendu courant septembre
La France prépare actuellement sa « programmation pluriannuelle de l’énergie » (PPE) pour les périodes 2018-2023 et 2024-2028.
Un débat public a été organisé en juin dernier sur ce sujet complexe afin de recueillir les avis de la population au travers de réunions publiques, d’un questionnaire et d’un site internet, ou encore d’un panel de 400 citoyens réunis à l’Assemblée nationale pour exprimer leurs opinions. Le rapport concernant la PPE doit être remis courant septembre.
Source : https://www.ouest-france.fr/environneme ... pr-5941427
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- Robert64
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Robert64 a écrit:Pour mémoire:
Nota: ce document est antérieur à Fukushima
Un graph de 2011 sur le Wiki :
- tfpsly
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Robert64 a écrit:Pour mémoire:
Nota: ce document est antérieur à Fukushima
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Chiffres complètement bidon concernant le nucléaire. Les 31 morts concernent les victimes retenues par l'UNSCEAR (lobby pro nucléaire) pour la catastophe de Tchernobyl seulement. Qui peut croire ça!
Le nombre de morts direct est plutôt de 4000 à 10000 selon l'ONU. Et les morts survenue ou à venir (cancers etc...) sont estimé entre 100000 et 400000!
Et on ne prends pas en compte les problèmes à venir avec la détèrioration du sarcophage. Bref les chiffres continueront d'augmenter.
Pour infos, Fukushima à un bilan de 1700 morts, et ce chiffre augmentera de manière dramatique dans le temps.
Pour mémoire, a+
- Jetro
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