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Au fait, qu'est devenu Shadowone????

Message » 15 Mai 2009 15:27

Betekaa a écrit:fais divers/d'hiver (et donc le printemps, pas les galeries lafayette... dans mon cerveau, il se passe tjrs qqchose 8) )

oui oui pour moi rien d'alarmant, je suivais. :lol: (ça fout les jetons, je sais :mdr: )
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Message » 15 Mai 2009 15:32

Betekaa a écrit:
ELECTRE a écrit:
Betekaa a écrit:nan, je déconne (rapport au fait d'hiver (mais au printemps, mais pas aux galeries layaitte, je me comprends, je me comprends8) ) entre un frcs et sa femme russe :-? 8)


Ben put1, t'es bien le seul....

en général analogeek me suit (je sais, ça fout les jetons :-? 8) )

tu l'as faite exprès celle là? si non, tu es vraiment un génie. 8) :mdr:
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Message » 15 Mai 2009 15:36

oui, et sans bouillir 8)

Peut-on encore parier sur le génie ?


« C’est génial ! », locution moderne s’il en est, qui s’emploie aussi bien pour désigner l’agrément ressenti que la qualité inhérente à telle œuvre ou tel événement.
Cette double acception est à rapprocher de la confusion établie entre le néologisme « génial », relié au latin genius, « se livrer à ce qui plaît », et le nom latin ingenium, « esprit, génie ».

Étymologiquement, le terme « génie » est défini en grec comme la production mais, en latin, il désigne des esprits, bons ou mauvais, qui président à la destinée de chaque homme, puis dans les langues germaniques, des personnages féeriques. On voit là toute la dimension magique de ce concept, où l’humain serait soumis à d’impalpables créatures au pouvoir extraordinaire, comme si toute une part de son devenir lui échappait. On évoluerait alors non pas dans un déterminisme préétabli mais à la merci des facéties et des caprices de ces gnomes.
Il paraît intéressant de penser que, dès l’Antiquité, on envisageait cette part d’inconnu que l’on attribuait aux génies et que l’on pourrait considérer aujourd’hui, à l’aune de la théorie psychanalytique, comme l’expression de l’inconscient, qui présiderait de même au destin de chacun…
Au sens figuré, le Littré nous décrit le génie comme un « talent inné, disposition naturelle à certaines choses, néologisme latin en lien avec les qualités brillantes attribuées aux génies ».
Voltaire, quant à lui, expose que ce terme de génie « semble devoir désigner non pas indistinctement les grands talents, mais ceux dans lesquels il entre de l’invention » (in Voltaire, Dictionnaire philosophique, 1770, article « génie »).

Ainsi se pose la question de savoir ce qu’est le génie : une production, définie et reconnue comme telle par l’environnement, qui validerait sa dimension « brillante » ? Une force intérieure ou dépendante d’un génie, qui ferait se développer des aptitudes ? Une concentration des deux dans laquelle les « enzymes-génies » s’associeraient au travail manuel pour permettre un lavage efficace (à quelle température ?).
Nombreux sont les « génies » méconnus de leurs contemporains, valorisés comme tels parfois bien après leur mort... Que représentaient-ils en leur temps qui fit leur désaveu ? Si les lois de la physique reposent sur le postulat que la Terre tourne sur son axe et autour du Soleil, c’est bien grâce aux géniales déductions de Galilée, que l’on prenait pourtant pour un fou, hérétique. Il semble que les travaux ou les théories que l’on glorifie après les avoir conspués soient ceux dont le caractère novateur dérange l’ordre ou la pensée communément établis ; l’inconscient collectif ne peut supporter ce regard différent. Boileau écrit : « Un travail dit ‘‘de génie” est inspiré par la propre invention de l’auteur, et quelquefois en s’écartant des règles communes » (Les Satires, VII). Il faut donc du temps social, parfois historique pour accorder à cet apport intellectuel, scientifique ou culturel le sceau de « nouvelle norme », que l’on peut reconnaître, puis utiliser pourquoi pas comme socle de référence, voire comme idéal. Le veau d’or est toujours d’actualité…
Il est remarquable de constater la prégnance de ce facteur temporel au déroulement irrégulier, soumis aux mouvements groupaux ; la résistance au changement est telle que ce qui est rejeté ou dévalorisé pendant des années, voire des décennies, peut soudain, en quelques mois ou semaines, devenir un courant puissant de création, porté par toutes les institutions.
Ce sur quoi on ne parierait pas un centime devient tout à coup précieux, voire indispensable. Certains « découvreurs de tendance » d’aujourd’hui en font d’ailleurs leurs choux gras ; au moins peut-on leur reconnaître le « génie » de supputer les œuvres d’art, les nouveaux écrivains, les courants susceptibles d’attirer, immédiatement ou demain, l’intérêt de la majorité, bien que le génie ne se mesure probablement pas en « audimat » ni en nombre d’entrées... quoique cette question se pose parfois…
En effet, si l’on observe l’atmosphère de grand-messe dans des lieux dédiés aux concerts de rock ou d’étoiles de la musique, on peut se dire qu’il y a là un « génie » à fasciner les foules, qui peut être aussi bien dangereux si l’on pense aux monstrueux « génies » illuminés de leurs folles et destructrices théories qui réussirent à mobiliser, à subjuguer, à hypnotiser... N’y a-t-il pas là un « génie » sur lequel je n’ai pas envie de parier mais dont on ne peut éviter le spectre ?
Il s’agit bien ici des dangers des phénomènes « de société » liés à l’illusion groupale de ne faire qu’un en étant réunis autour de valeurs communes. Danger de fusion et de rejet, voire d’élimination du différent qui est son corollaire, avec toutes les dérives que l’on connaît : autodafés, exterminations. Dirait-on alors que ce qui serait génie résisterait à la désidéalisation ? On brûle parfois les idoles sur l’autel de leurs œuvres…
Ainsi Freud, génie créateur de la théorie des rêves et de la lecture de l’inconscient comme source de l’être intime, fut réfuté de son temps par ses pairs, idolâtré dans l’élan de la libération sexuelle des Seventies, puis décrié violemment dans Le Livre noir de la psychanalyse. La fureur parfois exprimée par les auteurs de cet ouvrage contemporain me semble proportionnelle à leur rancœur à l’égard de celui qui fut leur « maître à penser » pendant un temps ; certains d’entre eux ont en effet suivi un parcours psychanalytique, semble-t-il malheureux. Leur désillusion fait le lit de ce rejet sans digestion qui entérine à mon avis par opposition la pertinence et la puissance de l’œuvre de Freud, confirmant s’il en était besoin sa dimension historique.
Mozart est un modèle d’étude du génie dans ses diverses acceptions. Prodige virtuose à 5 ans, ce qui pouvait lui conférer l’aura de « génie d’obéissance » aux hautes exigences paternelles (et maternelles ?), il développa une prolifération créatrice qui le voua tout d’abord aux gémonies puis suscita les convoitises, donc les critiques. Mû par sa puissance et sa dynamique inventives, il osa, innova, quitte à choquer, s’exposant aux controverses et aux attaques de ses détracteurs, attirant même parfois la vindicte de ses admirateurs et mécènes. On peut penser que ce jeu plus ou moins conscient avec les limites du « royalement correct » correspondait à une quête désespérée d’une identité en rivalité avec un père tout puissant et menaçant. Et pourtant, cette appétence, qui ne lui laissa aucun répit dans la jouissance de ses talents, a probablement représenté le ferment le plus profond de son extraordinaire et immense œuvre. En effet, comment s’arrêter de créer si l’énergie de vie s’inscrit dans une urgence identitaire portée tout entière par le processus créatif ? Seule la mort pouvait interrompre ce combat sans merci entre une personnalité toujours à la recherche de la reconnaissance paternelle et une imago si dangereuse magistralement figurée par la statue du Commandeur dans Don Giovanni.
Dans ce contexte, le génie trouverait sa source dans un intime besoin. Il n’est que de voir certains des plus grands peintres tels Vincent Van Gogh ou Francis Bacon, pour envisager à quel point ce qui serait « de génie » aurait son origine dans des abîmes de souffrance, serait comme une ultime issue à une puissance invisible et indicible. Se pourrait-il dès lors que des « génies maléfiques » asservissent les esprits et influencent leurs inventions ? Camille Claudel, fascinée par son maître et amant, déchargea toute sa rage et sa passion dans son art, réceptacle de ses folies destructrices. Or ses sculptures sont aussi sensuelles et puissantes que celles de son mentor Rodin qui semblait maîtriser bien davantage ses pulsions, n’étant pas mû par cette passion dévorante. Alors, où donc le génie puiserait-il ses forces secrètes ?
Freud est un grand génie en ce qu’il a pu bouleverser les modes de pensée, créant de nouveaux codes qui ont ouvert tout un champ de connaissances. Le jeune Sigmund s’inscrivit en médecine dans l’attente d’y assouvir son immense soif de savoir, s’exerçant à toutes sortes de spécialités, biologie, zoologie, puis anatomo-pathologie. Ce sont les circonstances de sa rencontre avec les malades « nerveux » qui l’ont amené à appliquer sa méthodologie d’observation aux faits cliniques. Cette appétence personnelle à la connaissance intellectuelle est d’origine à la fois familiale, culturelle et religieuse. De son judaïsme il pensait tenir un jugement critique libre d’idées préconçues et de préjugés, ainsi que l’habitude de faire front face à l’hostilité de la « masse compacte ». Son génie s’est exprimé dans la confrontation tenace entre deux tendances personnelles, l’une qui le portait au rigorisme scientifique, l’autre qui l’exposait à des bonds théoriques aventureux, hors des bornes permises à la déduction.
Selon la théorie psychanalytique, l’énergie vitale est la libido, qui gouverne les mouvements psychiques et leur expression. Considérons la puissance politique d’un François Mitterrand capable d’accéder aux plus hautes fonctions dans une sorte d’avancée inexorable portée par une détermination sans faille ; ou encore le talent médiatico-économique d’un Bernard Tapie pouvant séduire par sa faconde les patrons les plus avertis, quitte à faire croire à l’essor d’une société en faillite qu’il avait rachetée pour un franc symbolique. Au-delà des idées politiques dont l’ancien président de la République s’est fait le chantre, quelle phénoménale dynamique fut le support de la force tranquille de l’un, de l’arrogante réussite de l’autre ? Ces deux hommes ont marqué la fin du siècle dernier en France. Il ne s’agit guère de comparer la portée de leur action mais d’évoquer leur impact charismatique. Sans parier sur la longévité de leur empreinte au-delà des décennies à venir, à quel titre peut-on qualifier leur parcours de « génial » ? Est-ce leur pouvoir de persuasion exerçant un magnétisme sur leurs interlocuteurs ? leur inébranlable conviction d’être légitimement suivis, voire plébiscités ?
En regard de ces hommes ou de leurs pairs évoluant dans les arcanes des dirigeants, il semblerait que le génie soit en lien avec la puissance libidinale elle-même, qui pousserait chaque individu à créer, à ex-primer c'est-à-dire sortir de soi, ce qui fait force en dedans, qui bouillonnerait. De la libido naît le désir ; du désir naît la création ; de l’intensité de ce désir naîtrait le génie. De là à ce qu’il se génère « sans bouillir », c’est autre chose…
Voltaire pensait que « la perfection consist[er]ait à savoir assortir toujours son style à la matière qu’on traite ; mais qui peut être le maître de son habitude et ployer son génie à son gré ? » (Dictionnaire philosophique, op. cit., art. « genre de style » ). Lui qui passait son temps à réfléchir et à théoriser sur la vie et sur ses concitoyens savait bien de quoi il retournait. Le génie à température égale semble assez surhumain.

L’énergie libidinale est en revanche à poussée constante, qui anime comme un souffle de vie les humains, différemment en fonction des conditions de vie. Tel mobilisera toute son énergie pour combattre un ennemi réel ou supposé, jusqu’à se sacrifier parfois pour la cause qu’il défend. Tel autre réorientera sa rage vers des désirs moins dangereux pour lui-même, voire salvateurs. Boris Cyrulnik détourne ainsi la résilience de son sens en physique, la définissant comme la capacité à se développer même dans des environnements qui auraient dû être délabrants, où les carences font la souche en creux d’une ouverture à soi-même particulièrement vivace. Mozart reflète précisément cette farouche volonté d’être par le truchement d’un accrochage exclusif à un idéal. Léonard de Vinci fut également un modèle de génie inventif et créateur aux multiples facettes, toujours dans l’objectif de se tourner vers de nouveaux concepts, de nouvelles lignes de réflexion, de locomotion. Comme pour repousser les limites humaines.
Le génie de ces deux hommes traverse les siècles sans faillir, leurs œuvres innombrables conservant en dépit du temps une valeur d’étalonnage, de référence, tant dans l’évolution de la musique en général (n’a-t-on pas imaginé une – heureuse – rencontre entre Mozart et la musique égyptienne ?) qu’en ce qui concerne les fondements de la science anatomique ou de l’aéronautique.

Incontestablement, la multiplication des manifestations de génie créateur authentifie et entérine leurs caractéristiques d’exception. Cependant, il n’est pas besoin d’aligner les découvertes pour bénéficier du label de génie. Marie Curie fut reconnue comme génie pour sa « seule » découverte de l’uranium qui lui demanda plusieurs décennies d’investigation. Ce sont sa ténacité, sa persévérance, la perpétuelle remise en question de ses hypothèses qui lui ont permis d’arriver aux conclusions qui l’ont conduite à la postérité. Buffon, infatigable biologiste, écrit que « le génie n’est autre chose qu’une grande aptitude à la patience » (in Discours d’introduction à l’Académie). Ni Marie Curie ni Wolfgang n’ont trouvé dans leur vie amoureuse pourtant riche l’exutoire à ce profond et impérieux élan à chercher, rechercher, encore et toujours, dans une attente infinie… de reconnaissance. Marie Curie voulait-elle désespérément laisser une trace dans l’histoire pour régler une dette éternelle à la France qui l’avait accueillie, ou pour prouver sa valeur malgré sa condition de femme et d’immigrée ?
La cure psychanalytique, qui vise à dénouer les fils entremêlés de l’inconscient qui entravent le développement du moi, conduit de ce fait à une découverte progressive de soi, libéré dans le meilleur des cas des puissances occultes autant que toutes-puissantes « interdictrices » et inhibitrices. En s’allégeant des pressions surmoïques le moi peut dépasser le complexe de castration et ouvrir l’accès à une puissance personnelle inédite. C’est la raison pour laquelle nombre d’analysés et/ou d’analystes expérimentent un pan de leur personnalité autour d’une création personnelle. Il n’est pas rare de trouver parmi eux des écrivains, peintres, sculpteurs, musiciens… amateurs éclairés ou professionnels.
Dans cette perspective psychanalytique, le génie ferait partie de la vie même, indissociable de la libido qui pousse à agir, à penser, à rêver, à imaginer… On peut donc parier qu’il y aura toujours de nouvelles théories à inventer, des regards différents à porter sur toute chose, et il faut s’en réjouir car c’est ce qui prévient les civilisations du déclin. Ce n’est pas un hasard si l’Occident puise des idées novatrices dans de lointaines contrées. Le génie serait de découvrir des combinaisons entre ces diverses sources religieuses, culturelles, historiques ou sociales. C’est ce que l’on peut parier du génie des générations futures. C’est d’ailleurs ce qui a constitué les fondements mêmes de la démarche scientifique de Freud : le rapprochement inopiné entre la biologie et l’histoire. Inséparables dans son esprit comme elles le sont en réalité pour travailler à former une vie, Freud a pu y ancrer ses théories en maintenant d’un bout à l’autre de son œuvre le paradoxe d’une science expérimentale fondée sur l’interprétation, donc créative et innovante, toujours renouvelée.

On pourrait pour conclure définir le génie comme la conjonction de réalisations libidinales individuelles majeures et d’une disponibilité collective prête à faire le terreau de ces créations.
Les génies ignorés sont légion ; est-ce parce qu’ils n’ont pas le charisme suffisant pour séduire leurs contemporains ou parce qu’il leur manque l’énergie nécessaire à une promotion d’eux-mêmes après avoir épuisé toutes leurs cartouches dans l’urgence créatrice ? Ou encore leurs productions sont-elles si avant-gardistes qu’elles ne peuvent être entendues ?
Autre hypothèse, plutôt inconfortable : ce qu’un créateur décréterait comme génial n’aurait de valeur qu’à ses yeux. L’aspect narcissique du génie n’est pas à délaisser, qui convoque la subjectivité de l’individu. Certains se contentent d’ailleurs de leur propre sentiment d’avoir du génie, sans chercher à en obtenir la confirmation par un regard extérieur, comme si leur image spéculaire se nourrissait de leurs œuvres. À moins que cet apparent détachement ne soit du déni de l’indifférence collective ; on aborde là un aspect psychopathologique de la relation à soi et à l’autre avec des mécanismes de défense de type psychotique.

Mes réflexions m’inclinent à dire que si le génie peut naître « sans bouillir », comme une illumination à caractère quasi « brut de pulsion » par sa soudaineté ou l’éclosion de son émergence, une cuisson à haute (voire très haute) température lui est parfois nécessaire. S’il doit à l’occasion mijoter bien longtemps, malgré tous les ingrédients qui entrent dans sa composition, il ne suffit pas toujours à faire bouillir la marmite.

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Message » 15 Mai 2009 15:41

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Message » 15 Mai 2009 15:46

tu inventes le morse? :idee:

bon, j'ai passé un mail à shado

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Message » 15 Mai 2009 15:48

bien bien...


c'est mort le vendredi, vu qu'en plus j'ai pas envie de bosser, là je m'emm*rde :roll: ...vivement 17h, si j'étais pas autant en retard sur mes heures je me barrerais bien à 16h30... :-? :-? :-?
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Message » 15 Mai 2009 15:49

t'es un vrai rebelle 8)

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Message » 15 Mai 2009 15:49

--/./.-./-../.
:lol:
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Message » 15 Mai 2009 15:55

Betekaa a écrit:t'es un vrai rebelle 8)

Je serai toujours cet étranger
Au regard sombre
Un rebel dans vos villes de contraste
Yé n'en pé plou

[...]

Après cinq babies c'est l'heure de me zoner
Demain j'ai une attaque de train
Faut se préserver si on veut durer
Rester toujours numéro un


Un peu mon neveu. 8)
il me manque ce type. :roll:
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Message » 15 Mai 2009 15:57

Analogeek a écrit:il me manque ce type. :roll:

entre shadowone et ce type, ton coeur John balance, mais ta vie seksuelle ne nous regarde pas 8)

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Message » 15 Mai 2009 15:59

Betekaa a écrit:
Analogeek a écrit:il me manque ce type. :roll:

entre shadowone et ce type, ton coeur John balance, mais ta vie seksuelle ne nous regarde pas 8)

de toute façon, Bashung sur la fin, je sais pas s'il aurait été bien capable de prouesses seskuelles! :lol:
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Message » 15 Mai 2009 16:00

sa femme est donc libre , si t'aimes les formes 8)
sinon, prévu la sortie d'une reprise de gainsbourd par bashung, en corus de mix (vu sur FR2?)

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Message » 15 Mai 2009 16:02

Betekaa a écrit:sa femme est donc libre , si t'aimes les formes 8)
sinon, prévu la sortie d'une reprise de gainsbourd par bashung, en corus de mix (vu sur FR2?)

j'ai vu aussi. :wink:
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Message » 15 Mai 2009 16:06

le 1 ou le 2? 8)

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Message » 15 Mai 2009 16:12

Betekaa a écrit:le 1 ou le 2? 8)

hein? c'était le reportage avec le gros qui ressemble à une fille là qui réenregistrait l'instru non?
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