Politique intérieure...

[Joich]

Tu m'étonnes. Il y en a un qui est payé pour chercher et l'autre qui est payé pour pas avoir à payer

[rmsk]

"L'express" :

" À la recherche d'un second souffle, les gilets jaunes espéraient ce samedi fédérer les colères. Plus facile à dire qu'à faire.

"Fin du monde, fin de mois : même coupable, même combat !". Sur la place du Maréchal-Leclerc écrasée par le soleil, l'heure est à la "convergence des colères" contre Emmanuel Macron. En ce 45ème samedi de mobilisation des gilets jaunes, plusieurs centaines de personnes sont réunies devant l'imposant Hôtel de ville de Poitiers. Bientôt, elles déambuleront dans les rues de la ville jusqu'au parc Blossac pour une première et symbolique marche pour le climat et la justice sociale. Ce n'est certes pas la foule des très grands jours, mais pas un échec non plus, compte tenu des circonstances. Au même moment, certains militants ont rejoint Paris. D'autres, comme à l'ordinaire, tiennent le pavé à l'entrée sud de la ville, près de l'hypermarché Auchan.

Pour Pierre, c'est le moment de vérité. "On veut réunir tous ceux qui sont attaqués par le gouvernement", résume-t-il. Et c'est pour donner corps à cette idée que cette marche a été organisée. Il y a là des gilets jaunes, donc, mais aussi des écologistes, des défenseurs des sans-papiers, des syndicalistes... Une manière d'élargir le mouvement au-delà des "ultra-jaunes" qui restent encore mobilisés comme Gilbert, qui depuis le 17 novembre dernier n'a manqué que quatre des 45 samedis de manifestations. "Je viens pour rappeler que les problèmes ne sont pas réglés et que l'on ne s'en sort toujours pas", résume ce retraité de 70 ans, 1400 euros de retraite après une vie passée à "goudronner les routes".
Un mouvement qui s'essouffle

Peggy, elle non plus, ne voit pas pourquoi elle lèverait le pied. En dehors des allocations familiales, cette mère de sept enfants ne touche que le RSA, tout comme son mari. "Des problèmes de santé", élude-t-elle. Et qu'on ne lui parle pas des milliards lâchés par Emmanuel Macron : "Je n'en ai pas vu la couleur !"

Remy

[papinova]

Tu mériterais, non seulement d'être goudronné par ce retraité et d'être emplumé par Peggy, pour t'être moqué... et éventuellement d'être entartré par Pierre...

[poilau]

Tu m'étonnes. Il y en a un qui est payé pour chercher et l'autre qui est payé pour pas avoir à payer

Ca signifie aussi que si le mobile n'est pas crapuleux il n'est finalement pas si compliqué de camoufler un meurtre.

[Joich]

"L'express" :

" À la recherche d'un second souffle, les gilets jaunes espéraient ce samedi fédérer les colères. Plus facile à dire qu'à faire.

"Fin du monde, fin de mois : même coupable, même combat !". Sur la place du Maréchal-Leclerc écrasée par le soleil, l'heure est à la "convergence des colères" contre Emmanuel Macron. En ce 45ème samedi de mobilisation des gilets jaunes, plusieurs centaines de personnes sont réunies devant l'imposant Hôtel de ville de Poitiers. Bientôt, elles déambuleront dans les rues de la ville jusqu'au parc Blossac pour une première et symbolique marche pour le climat et la justice sociale. Ce n'est certes pas la foule des très grands jours, mais pas un échec non plus, compte tenu des circonstances. Au même moment, certains militants ont rejoint Paris. D'autres, comme à l'ordinaire, tiennent le pavé à l'entrée sud de la ville, près de l'hypermarché Auchan.

Pour Pierre, c'est le moment de vérité. "On veut réunir tous ceux qui sont attaqués par le gouvernement", résume-t-il. Et c'est pour donner corps à cette idée que cette marche a été organisée. Il y a là des gilets jaunes, donc, mais aussi des écologistes, des défenseurs des sans-papiers, des syndicalistes... Une manière d'élargir le mouvement au-delà des "ultra-jaunes" qui restent encore mobilisés comme Gilbert, qui depuis le 17 novembre dernier n'a manqué que quatre des 45 samedis de manifestations. "Je viens pour rappeler que les problèmes ne sont pas réglés et que l'on ne s'en sort toujours pas", résume ce retraité de 70 ans, 1400 euros de retraite après une vie passée à "goudronner les routes".
Un mouvement qui s'essouffle

Peggy, elle non plus, ne voit pas pourquoi elle lèverait le pied. En dehors des allocations familiales, cette mère de sept enfants ne touche que le RSA, tout comme son mari. "Des problèmes de santé", élude-t-elle. Et qu'on ne lui parle pas des milliards lâchés par Emmanuel Macron : "Je n'en ai pas vu la couleur !"

Remy

Non mais c'est pas possible, c'est le Gorafi?

1400€ de retraite et il ne s'en sort pas? Bibiche, et ma mère avec ses 6000 balles et ses deux gamins elle faisait comment?

RSA et 7 enfants, on s'en sort pas. Et la ligature des trompes connasse?

Merci Rémy, t'as réussi à m'énerver à 8h un dimanche matin

[Keron]

1400 euros si la maison est payée... c'est quand même pas la misère. Certains actifs touchent moins !

Des écolos, des défenseurs des sans papiers... ok. Qu'ils traversent la rue pour trouver un travail ceux là. Et qu'ils arrêtent de pourrir la planète avec leurs cris et leurs manifs...

Parfois je me demande si ces manifs que l'on désigne de jaunes n'arrangent pas les affaires du gouvernement pour discréditer tout mouvement dans la rue.

C'est comme les envois d'engins dans l'espace. Les premiers, le monde entier regarde. Puis de nos jours c'est comme la marée. On n'y prend plus attention

[adpcol]

"L'express" :

" À la recherche d'un second souffle, les gilets jaunes espéraient ce samedi fédérer les colères. Plus facile à dire qu'à faire.

"Fin du monde, fin de mois : même coupable, même combat !". Sur la place du Maréchal-Leclerc écrasée par le soleil, l'heure est à la "convergence des colères" contre Emmanuel Macron. En ce 45ème samedi de mobilisation des gilets jaunes, plusieurs centaines de personnes sont réunies devant l'imposant Hôtel de ville de Poitiers. Bientôt, elles déambuleront dans les rues de la ville jusqu'au parc Blossac pour une première et symbolique marche pour le climat et la justice sociale. Ce n'est certes pas la foule des très grands jours, mais pas un échec non plus, compte tenu des circonstances. Au même moment, certains militants ont rejoint Paris. D'autres, comme à l'ordinaire, tiennent le pavé à l'entrée sud de la ville, près de l'hypermarché Auchan.

Pour Pierre, c'est le moment de vérité. "On veut réunir tous ceux qui sont attaqués par le gouvernement", résume-t-il. Et c'est pour donner corps à cette idée que cette marche a été organisée. Il y a là des gilets jaunes, donc, mais aussi des écologistes, des défenseurs des sans-papiers, des syndicalistes... Une manière d'élargir le mouvement au-delà des "ultra-jaunes" qui restent encore mobilisés comme Gilbert, qui depuis le 17 novembre dernier n'a manqué que quatre des 45 samedis de manifestations. "Je viens pour rappeler que les problèmes ne sont pas réglés et que l'on ne s'en sort toujours pas", résume ce retraité de 70 ans, 1400 euros de retraite après une vie passée à "goudronner les routes".
Un mouvement qui s'essouffle

Peggy, elle non plus, ne voit pas pourquoi elle lèverait le pied. En dehors des allocations familiales, cette mère de sept enfants ne touche que le RSA, tout comme son mari. "Des problèmes de santé", élude-t-elle. Et qu'on ne lui parle pas des milliards lâchés par Emmanuel Macron : "Je n'en ai pas vu la couleur !"

Remy

Non mais c'est pas possible, c'est le Gorafi?

1400€ de retraite et il ne s'en sort pas? Bibiche, et ma mère avec ses 6000 balles et ses deux gamins elle faisait comment?

RSA et 7 enfants, on s'en sort pas. Et la ligature des trompes connasse?

Merci Rémy, t'as réussi à m'énerver à 8h un dimanche matin

Ceci quand on s’appelle Peggy
Phil

[beb]

Ses parents devaient être des porcs.

[oolivier]

Non mais c'est pas possible, c'est le Gorafi?

1400€ de retraite et il ne s'en sort pas? Bibiche, et ma mère avec ses 6000 balles et ses deux gamins elle faisait comment?

RSA et 7 enfants, on s'en sort pas. Et la ligature des trompes connasse?

Merci Rémy, t'as réussi à m'énerver à 8h un dimanche matin

Ceci quand on s’appelle Peggy
Phil

putin j ai une peggy dans mon bled et son 7eme est triso en plus !!!, elle doit prendre plus de 2000 balles à s écarter les cuisses

[poilau]

"L'express" :

" À la recherche d'un second souffle, les gilets jaunes espéraient ce samedi fédérer les colères. Plus facile à dire qu'à faire.

"Fin du monde, fin de mois : même coupable, même combat !". Sur la place du Maréchal-Leclerc écrasée par le soleil, l'heure est à la "convergence des colères" contre Emmanuel Macron. En ce 45ème samedi de mobilisation des gilets jaunes, plusieurs centaines de personnes sont réunies devant l'imposant Hôtel de ville de Poitiers. Bientôt, elles déambuleront dans les rues de la ville jusqu'au parc Blossac pour une première et symbolique marche pour le climat et la justice sociale. Ce n'est certes pas la foule des très grands jours, mais pas un échec non plus, compte tenu des circonstances. Au même moment, certains militants ont rejoint Paris. D'autres, comme à l'ordinaire, tiennent le pavé à l'entrée sud de la ville, près de l'hypermarché Auchan.

Pour Pierre, c'est le moment de vérité. "On veut réunir tous ceux qui sont attaqués par le gouvernement", résume-t-il. Et c'est pour donner corps à cette idée que cette marche a été organisée. Il y a là des gilets jaunes, donc, mais aussi des écologistes, des défenseurs des sans-papiers, des syndicalistes... Une manière d'élargir le mouvement au-delà des "ultra-jaunes" qui restent encore mobilisés comme Gilbert, qui depuis le 17 novembre dernier n'a manqué que quatre des 45 samedis de manifestations. "Je viens pour rappeler que les problèmes ne sont pas réglés et que l'on ne s'en sort toujours pas", résume ce retraité de 70 ans, 1400 euros de retraite après une vie passée à "goudronner les routes".
Un mouvement qui s'essouffle

Peggy, elle non plus, ne voit pas pourquoi elle lèverait le pied. En dehors des allocations familiales, cette mère de sept enfants ne touche que le RSA, tout comme son mari. "Des problèmes de santé", élude-t-elle. Et qu'on ne lui parle pas des milliards lâchés par Emmanuel Macron : "Je n'en ai pas vu la couleur !"

Remy

Non mais c'est pas possible, c'est le Gorafi?

1400€ de retraite et il ne s'en sort pas? Bibiche, et ma mère avec ses 6000 balles et ses deux gamins elle faisait comment?

RSA et 7 enfants, on s'en sort pas. Et la ligature des trompes connasse?

Merci Rémy, t'as réussi à m'énerver à 8h un dimanche matin

Pas assez la santé pour bosser, mais suffisamment pour zoner sur un rond-point du matin au soir par tous les temps .

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"L'express" :

" À la recherche d'un second souffle, les gilets jaunes espéraient ce samedi fédérer les colères. Plus facile à dire qu'à faire.

"Fin du monde, fin de mois : même coupable, même combat !". Sur la place du Maréchal-Leclerc écrasée par le soleil, l'heure est à la "convergence des colères" contre Emmanuel Macron. En ce 45ème samedi de mobilisation des gilets jaunes, plusieurs centaines de personnes sont réunies devant l'imposant Hôtel de ville de Poitiers. Bientôt, elles déambuleront dans les rues de la ville jusqu'au parc Blossac pour une première et symbolique marche pour le climat et la justice sociale. Ce n'est certes pas la foule des très grands jours, mais pas un échec non plus, compte tenu des circonstances. Au même moment, certains militants ont rejoint Paris. D'autres, comme à l'ordinaire, tiennent le pavé à l'entrée sud de la ville, près de l'hypermarché Auchan.

Pour Pierre, c'est le moment de vérité. "On veut réunir tous ceux qui sont attaqués par le gouvernement", résume-t-il. Et c'est pour donner corps à cette idée que cette marche a été organisée. Il y a là des gilets jaunes, donc, mais aussi des écologistes, des défenseurs des sans-papiers, des syndicalistes... Une manière d'élargir le mouvement au-delà des "ultra-jaunes" qui restent encore mobilisés comme Gilbert, qui depuis le 17 novembre dernier n'a manqué que quatre des 45 samedis de manifestations. "Je viens pour rappeler que les problèmes ne sont pas réglés et que l'on ne s'en sort toujours pas", résume ce retraité de 70 ans, 1400 euros de retraite après une vie passée à "goudronner les routes".
Un mouvement qui s'essouffle

Peggy, elle non plus, ne voit pas pourquoi elle lèverait le pied. En dehors des allocations familiales, cette mère de sept enfants ne touche que le RSA, tout comme son mari. "Des problèmes de santé", élude-t-elle. Et qu'on ne lui parle pas des milliards lâchés par Emmanuel Macron : "Je n'en ai pas vu la couleur !"

Remy

Non mais c'est pas possible, c'est le Gorafi?

Presque. C'est l'express.

Heureusement que le journal de Patrick Draghi est là pour nous démontrer qu'il n'y a pas de problème de précarité en France et que tous les gens qui se plaignent sont en fait des nantis gavés de subventions.

Je suis sûr qu'il y pense en calculant la somme de CICE qu'il reçoit ou des impôts qu'il ne paie pas.

[beb]

Ca me rappelle la Balkany

Trop atteinte par des séquelles d'une tentative de suicide pour aller en prison

Mais pas assez pour enchainer les interviews, se ballader sur les places de Levalloy et assurer la fonction de maire de la ville.

[poilau]

Le coup de la femme fragile et sous l'emprise de son mari/compagnon, ça marche souvent.

Bizarrement en matière de justice les femmes ne demandent pas l'égalité de traitement avec les hommes.

[Joich]

Non mais c'est pas possible, c'est le Gorafi?

Presque. C'est l'express.

Heureusement que le journal de Patrick Draghi est là pour nous démontrer qu'il n'y a pas de problème de précarité en France et que tous les gens qui se plaignent sont en fait des nantis gavés de subventions.

Je suis sûr qu'il y pense en calculant la somme de CICE qu'il reçoit ou des impôts qu'il ne paie pas.

Quand on est dans la précarité on fait pas 7 gamins. Et si on est assez con pour faire 7 gamins alors qu'on n'a pas de fric, ben faut pas se demander pourquoi on n'a pas de fric.

C'est pas de la précarité, c'est de la connerie encouragée par les politiques natalistes dizneuvièmistes. On continue d'encourager les gens à faire des gosses comme si demain on allait tous les foutre dans des tranchées contre les schleus.

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Presque. C'est l'express.

Heureusement que le journal de Patrick Draghi est là pour nous démontrer qu'il n'y a pas de problème de précarité en France et que tous les gens qui se plaignent sont en fait des nantis gavés de subventions.

Je suis sûr qu'il y pense en calculant la somme de CICE qu'il reçoit ou des impôts qu'il ne paie pas.

Quand on est dans la précarité on fait pas 7 gamins. Et si on est assez con pour faire 7 gamins alors qu'on n'a pas de fric, ben faut pas se demander pourquoi on n'a pas de fric.

C'est pas de la précarité, c'est de la connerie encouragée par les politiques natalistes dizneuvièmistes. On continue d'encourager les gens à faire des gosses comme si demain on allait tous les foutre dans des tranchées contre les schleus.

Je suis d'accord.

Mais d'ici à croire que la presse des milliardaires nous dresse un portrait objectifs des manifestants...
Le journal de Patrick Draghi a bien sélectionné ses exemples pour obtenir cette réaction.
Malheureusement ça marche.