Le problème des prix des enceintes HiFi est que la clientèle se raréfie (elle a plus de 40 ans pour la grande majorité voire même plus de 50, les plus jeunes écoutent au casque et avec l'enceinte (il n'y en a qu'une) bluetooth. Pour les entreprises qui sont dans le milieu de gamme les temps sont difficiles avec une concurrence très déloyale asiatique. Les coûts d'étude et de production sont élevés. La seule façon de survivre est de se positionner en haut de gamme. Et on assiste à une surenchère des prix, car si ce n'est pas assez cher cela ne se vend pas.
Et puis comme on ne peut plus acheter de voiture haut de gamme (surtaxe débile) on peut mettre les sous ailleurs pour montrer sa classe sociale.
Deuxième passage sur le site de Recital Audio, faisant abstraction du discours marketing ne s'adressant pas aux personnes comme moi...
La marque des haut parleurs utilisés est citée ce qui est très rare, mais ont trouve aussi des mesures, fait encore plus rare, et on ne peut que féliciter la société pour ça.
Il manque pour les gens comme moi, les conditions/protocole/matériel de mesure qui ont été utilisées. Mais au prochain PAVS en présentiel
si la marque est présente j'irai causer avec le concepteur.
Autrefois c'étaient les revues HiFi qui faisaient le marché, avec comme annonceurs les distributeurs et boutiques. Vendre par les canaux historiques était un passage obligé. Il suffit de se rappeler dans les 90's la marque Artec qui voyant ses produits ne pas se vendre à cause des marges trop élevées des la distribution avait décidé de vendre en direct. A l'époque cela correspondait à ne plus vendre. Qu'est devenue la marque pourtant avec de super produits...
Aujourd'hui c'est le contraire, pendant les périodes de confinement (comme nous sommes trop nombreux sur la planète on peut prédire que cela sera cyclique) les boutiques et salons sont fermés, les revues n'existent plus (ah si une seule et sur abonnement seulement), et l'information vient par des canaux différents. Ce n'est pas forcement mieux surtout quand on considère tout le fake et la manipulation circulant sur les réseaux sociaux....
Cela laisse l'opportunité de vendre en direct, en plus petites quantités des produits de qualité.
C'est le même modèle économique que l'agriculture locale et bio, indépendante du diktat des chimiquiers et des supermarchés et prônant la qualité.
On peut même imaginer, comme pour le modèle Tupperware ou Thermomix, des clients faisant le relai pour faire des démonstrations chez eux, en local près de chez vous, au lieu des boutiques (de toute façon les centre villes seront interdits aux voitures), et un réseau d'installateurs locaux indépendants sachant vous brancher/optimiser l'installation. La vente se faisant bien sur comme toutes les ventes dans moins de dix ans exclusivement en ligne.