Ori and The Blind Forest [X1-PC]

» 03 Mai 2015 11:48

Putain je ne vous souhaite de faire un jour le dernier niveau de 3D World :mdr:

» 03 Mai 2015 11:52

julianf a écrit:Ori et l'art de te dégouter d'un jeu en un passage

Pour ceux qui reconnaîtront ce passage

On parle de la difficulté de Bloodborne, et bien la difficulté d' Ori, c'est juste du n'importe quoi.
La difficulté de Bloodborne entretient le challenge, en donnant l’envie d'être meilleur.
Dans Bloodborne, lorsque l'on meurt on sait pourquoi, on fait en sorte d'améliorer son personnage, de bien observer les ennemis, d'avoir le bon timing...

Dans Ori non, même si on a compris la mécanique, on sait ce qu'il faut faire, on est dépendent du côté aléatoire de la réaction et du mouvement du personnage.
Et surtout on se retrouve avec une difficulté clairement exagérer, sur lequel il faut juste compté sur la chance... du grand n'importe quoi.

Du coup je ne sais pas si je vais le continuer ce jeu

Franchement y a que les sorties de donjon qui peuvent poser problème à cause du côté plateforme un peu aléatoire. Le reste c'est facile. C'est juste 2-3 pics de difficulté.
Les Souls c'est pas du skill comme un BTA ou un jeu de plateforme, c'est de la préparation et de l'observation. C'est le côté peu didactique qui rend la série difficile.

» 03 Mai 2015 13:45

C'est vrai que les soul's ne demandent pas vraiment du skill.
Je ne suis pas un très bon joueur et j'ai terminé Bloodborne ; il suffit d'observer, de s'adapter, d'essayer plusieurs stratégies (jouer la prudence, rusher, bourriner, etc.).
Les jeux de type Ori en revanche faut vraiment être très adroit, avoir des réflexes, et là je suis très mauvais. :ko:

» 04 Mai 2015 9:13

Et de la patience aussi

» 04 Mai 2015 9:15

Vous me donnez envie d'y jouer à force de pester sur la difficulté. :ko:

J'ai du mal à croire que ce soit plus dur que les niveaux extra de Yoshi island voire ceux de Donkey kong. Du coup ça m'intrigue... gameplay qualibré au pixel près ou manque de précision ? :wtf:

La frontière entre les deux nourrit souvent la frustration et sépare les bons jeux des chefs d'oeuvre. Je trancherai pad en main.

» 04 Mai 2015 23:45

julianf a écrit:Ori et l'art de te dégouter d'un jeu en un passage

Pour ceux qui reconnaîtront ce passage

On parle de la difficulté de Bloodborne, et bien la difficulté d' Ori, c'est juste du n'importe quoi.
La difficulté de Bloodborne entretient le challenge, en donnant l’envie d'être meilleur.
Dans Bloodborne, lorsque l'on meurt on sait pourquoi, on fait en sorte d'améliorer son personnage, de bien observer les ennemis, d'avoir le bon timing...

Dans Ori non, même si on a compris la mécanique, on sait ce qu'il faut faire, on est dépendent du côté aléatoire de la réaction et du mouvement du personnage.
Et surtout on se retrouve avec une difficulté clairement exagérer, sur lequel il faut juste compté sur la chance... du grand n'importe quoi.

Du coup je ne sais pas si je vais le continuer ce jeu

Il me semble bien que c'est le passage de l'arbre que l'on vient de libérer de la gangrène avec la brusque montée des eaux qui s'ensuit (avec une fuite obligée et effrénée vers le haut).
C'est de ce passage dont je parlais la page précédente. Jusque-là, pas trop difficile. Et d'un coup...

J'ai failli réussir au 5ème coup, ne manquant que... le dernier saut, me crispant sur le bouton. :roll:

Et après, pour le coup, je me suis énervé et j'ai bien du essayer au moins une vingtaine de fois (si c'est pas une trentaine) avant de lâcher l'affaire pendant une quinzaine de jours.
J'y suis revenu et rapidement, sans m'énerver, c'est passé. Mais il est vrai que ce passage est énervant et crispant car le personnage ne réagit pas toujours exactement comme souhaité (la précision n'est pas toujours au RDV). D'autant plus qu'entre les deux séries d'essais, j'ai changé de manette puisqu'à l'issue de la première série, j'ai broyé ma manette (qui déconnait déjà... ça m'a permis de l'achever en toute quiétude... :mdr:

).
Comme le dit Sopor, il faut observer. C'est ce que j'avais constaté dès le début. Mais et c'est là que le bât blesse, même quand on a compris, il y a parfois un petit manque de précision ou un caractère aléatoire de certains sauts qui fait qu'on s'énerve vite.
Dommage car ce jeu est beau et onirique, invitant à la rêverie et la contemplation. Hélas, cette difficulté mal dosée et certaines approximations font qu'on se réveille vite et finit bien excité après une session alors qu'en réalité, on attendait tout le contraire. :wink: