Commençons pour le début : cela fait quelque temps que je recherchais un lecteur à la hauteur, possédant un Teac VRDS 10 pour mon système qui se compose d’une paire de Tanagra signature, un ampli intégré WAZOO XL….et puis maintenant du WIZARD 192/24.
Cela à commencer, il y a deux ans quand j’ai acheté mon intégré en l’écoutant avec le lecteur WIZARD. J’ai trouvé l’ensemble magnifique à mes oreilles alors de la patience il m’en a fallu pour que mon porte monnaie puisse reprendre une santé.
J’ai écouté entre temps d’autre lecteur que j’ai trouvé bon mais cela ne m’a pas satisfait complètement.
Alors aujourd’hui j’ai sauté le pat pour allez m’enivrer sous le doux parfum des sirène.
L’approche n’a pas été simple de par le façon de charger le cd par-dessus avec sa palette presseur qui fait aussi office de fermeture de CD mais cela n’est qu’un détail et puis je trouve ça ressemble a un rite initiatique, avant de pouvoir écouter la musique. Le plus déroutant à bien était les premiers jours. La musique s’épanouissait en peignant un paysage panoramique avec beaucoup de verdeur à la manière d’un tableau de Turner. Cette scène sonore m’étant un éclairage particulier sur l’artiste donnant ainsi une présence et un aplomb d’une grande force. Il est vrai que les Aperturas ont cette réputation mais ce trait est magnifié par le lecteur Wazard.
Mais l’écoute n’était pas aussi parfaite que cela car malgré la réputation du lecteur Wizard à avoir beaucoup de douceur le médium aigu avait une sorte de confusion quand le message devinait un peu complexe
. A ce moment là je pris mon mal en patience en pensant qu’il fallait que le lecteur puisse être rodé et ainsi devenir à maturité pour mes oreilles.
Je ne me suis pas trompé après plus de 12h de fonctionnement cela est devenu mon brouillon et agressif dans cette zone.
Je commence vraiment à oublier d’analyser ce que j’entends et me dit qu’il faut que j’aie acheté des nouveaux disques. La musique prend le pat au son et la restitution devient très analogie avec des silences d’une grande richesse. Je ne peux pas parler de la transparence ou de la définissons dans les mêmes termes qu’une électronique tel qu’YBA mais plutôt d’un pouvoir de séparation et de délié qui est fantastique. Cela à son revers car on peut lire sans effort les intentions des ingénieurs lors de la prise de son ou du mixage. Ainsi je m’aperçois parfois de certain effet qui son « jolie » mais pas trait naturel. Naturel, et bien je crois c’est la meilleur définition que peu donner à ce lecteur quand l’enregistrement le permet.
Le couple BOW amène beaucoup de matière et de densité aux notes et c’est bien ce qui faut à mon humble avis aux enceintes apertura donc la qualité premier est cette précision d’analyse et transparence qui est aussi son problème vis-à-vis des mariages et surtout des divorces.
Je ne vous ai pas encore parlé des câbles et pour cause ! J’ai actuellement une paire d’horus rca et maxitran + en hp. Je pence que le lecteur fonctionnera mieux avec une liaison XLR comme le préconise la revue NRDS. Je pence que je dois pouvoir gagner en précision et stabilité sur la scène sonore avec ce mode de branchement. Je vais bientôt tester un ensemble MPC (modulation XLR et HP) série Abiss pour voir les changements et j’espère des améliorations.
Je pence que ce lecteur se rapproche vraiment de ce qu’on trouve en analogie avec le maître mot Naturel. Mais il a aussi des défauts comme tout matériel. Il n’est pas simple à marier malgré ce qu’on peu dire, un soupçon de manque de profondeur. Mais la je pence que c’est une affaire de peaufinage.
Voila j’espère que je ne vous ai pas trop ennuyé avec tout ça. Il faut aussi relativisé avec tout ce que je dis car ce CR a était fait avec « mes oreilles », mon environnement et la limite de mes compétences.
