voilà j'ouvre ce nouveau topic, pour partager nos avis sur la saison 2010.
je commence avec le gamin Rosberg, qui arrive chez Mercedes, et qui permet de critiquer Schumi à Brawn, le gars qu'a rien compris

extrait d'une interview, j'espère qu'il va redescendre sur Terre

FORMULE 1 - Le jeune pilote allemand rappelle à son illustre aîné qu'il n'arrive pas en terrain conquis...
Il n’a pas l’intention de jouer les faire-valoir face à la légende sortie de sa retraite. L'Allemand Nico Rosberg a déclaré jeudi, dans une interview au magazine allemand Auto Bild Motorsport, qu'il ne considérait pas Michael Schumacher, son nouveau coéquipier chez Mercedes, de retour après trois ans d'absence, comme le pilote numéro un de l'écurie anglo-allemande.
«Nous avons le même statut au sein de l'équipe, cela a toujours été comme cela chez Mercedes, c'est leur philosophie», a-t-il expliqué au magazine, histoire de mettre un peu de pression sur Ross Brawn, son nouveau patron chez Mercedes. Le même qui a permis à Michael Schumacher d’obtenir sept titres de champion du monde sans jamais avoir son coéquipier dans les pattes.
«J’étais fan d’Häkkinen»
«Ton coéquipier est toujours celui avec qui tu veux te comparer, car c'est le seul qui a la même auto. C'est pourquoi mon but est d'être le plus souvent possible devant lui», a souligné le transfuge de Williams, guère impressionné par le mythe «Schumi» mais qui voit forcément d’un mauvais oeil l’arrivée de ce vieux loup dans la bergerie.
Et le fils du Finlandais Keke Rosberg, champion du monde 1982 de F1, d’ajouter: «Pour être honnête, j'étais fan de Mika Häkkinen. J'étais toujours très content lorsqu'il battait Michael, car c'était un bon ami de notre famille». Au moins, les choses sont claires.
Sur ses gardes, quand même
Nico Rosberg, 24 ans et 7e du championnat du monde 2009, s'est dit toutefois persuadé que Schumacher, 41 ans, n'avait rien perdu de ses qualités de pilotage. «Pendant trois ans, il a emmagasiné de l'énergie et de l'enthousiasme. Il a envie de piloter, il prend plaisir, c'est plus important que tout», a-t-il conclu.