Juste un mot pour ceux qui ne l'aurait pas encore vu. Ce film réaliser par Shean Penn raconte le destin tragique d'un jeune qui decide de detruire tous ce qui le rattache à la société et de partir au plus proche de la nature sans possession ni contraintes sociales.
Cette histoire vrai celle de Christopher McCandless à creer une veritable ruée vers l'Alaska aux Etats Unis.
Le film est tout simplement epustouflant. Ces tableaux de nature sauvages et les interogations ainsi que les rencontres du heros nous font remettre en question la société actuelle.
Je ne suis pas sortie indemne de ce film et j'espere qu'il vous plaira autant qu'à moi.
Je joint une photo du vrai Christopher McCandless ainsi que les coordonnées que vous pourrez entrée dans google earth pour situer où il a vécu dans le denuement le plus complet pendant 2 ans.
Cela m'a fait aussi reflechir sur notre course irraisonnable apres nos chimeres audiovisuelles.
Bonsoir
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[FILM] Into the wild
» 05 Fév 2008 1:33
- Fichiers joints
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- chris-mccandless.jpg (6.88 Kio) Vu 1249 fois
- cheffois
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» 05 Fév 2008 1:45
cheffois a écrit:
Je ne suis pas sortie indemne de ce film et j'espere qu'il vous plaira autant qu'à moi.
Il m'a plu autant qu'à toi
.
Il me semble qu'il a vécu une centaine de jours en Alaska et non 2 ans. Les 2 ans doivent être la durée de son périple à travers les USA, non?
Dernière édition par teahupoo le 20 Fév 2008 21:16, édité 1 fois.
- teahupoo
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- Localisation: Un jour au Pays Basque :o)
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erratum
» 05 Fév 2008 2:05
autant pour moi 113 jours dont 79 voulus. Cela à dû être tellement long...
- cheffois
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» 18 Fév 2008 8:32
Into the Wild (A l'état sauvage)
Réalisé par Sean Penn
Avec Emile Hirsch, Marcia Gay Harden, William Hurt…
Tout juste diplômé de l'université, Christopher McCandless, 22 ans, est promis à un brillant avenir. Pourtant, tournant le dos à l'existence confortable et sans surprise qui l'attend, le jeune homme décide de prendre la route en laissant tout derrière lui. Des champs de blé du Dakota aux flots tumultueux du Colorado, en passant par les communautés hippies de Californie, Christopher va rencontrer des personnages hauts en couleur. Chacun, à sa manière, va façonner sa vision de la vie et des autres. Au bout de son voyage, Christopher atteindra son but ultime en s'aventurant seul dans les étendues sauvages de l'Alaska pour vivre en totale communion avec la nature.
Voila, un bon film, long, mais tout simplement splendide qui en plus de nous faire réfléchir sur le bonheur nous transporte dans les plus beaux paysages américains. L'interprétation d'Emile Hirsch est remarquable et la surprise est tant au niveau technique qu'artistique. On notera aussi a la fin, que son voyage personnel se traduit par une phrase qu'il écrit sur son calepin, "le bonheur ne ce partage qu'avec les autres". Ce qui signifie aussi qu'en ayant voulu rester seul pendant ces 2 ans, ce sont à travers toutes ses rencontres qu'il a vécu sa vie, son but et son bonheur. Très émouvant, très profond. On ne sort pas indifférent de ce film basé sur un roman, basé lui-même sur une histoire vraie. Chapeau bas Monsieur Penn pour cette réalisation. Votre Danse avec les loups, en quelque sorte…
18,5/20
Réalisé par Sean Penn
Avec Emile Hirsch, Marcia Gay Harden, William Hurt…
Tout juste diplômé de l'université, Christopher McCandless, 22 ans, est promis à un brillant avenir. Pourtant, tournant le dos à l'existence confortable et sans surprise qui l'attend, le jeune homme décide de prendre la route en laissant tout derrière lui. Des champs de blé du Dakota aux flots tumultueux du Colorado, en passant par les communautés hippies de Californie, Christopher va rencontrer des personnages hauts en couleur. Chacun, à sa manière, va façonner sa vision de la vie et des autres. Au bout de son voyage, Christopher atteindra son but ultime en s'aventurant seul dans les étendues sauvages de l'Alaska pour vivre en totale communion avec la nature.
Voila, un bon film, long, mais tout simplement splendide qui en plus de nous faire réfléchir sur le bonheur nous transporte dans les plus beaux paysages américains. L'interprétation d'Emile Hirsch est remarquable et la surprise est tant au niveau technique qu'artistique. On notera aussi a la fin, que son voyage personnel se traduit par une phrase qu'il écrit sur son calepin, "le bonheur ne ce partage qu'avec les autres". Ce qui signifie aussi qu'en ayant voulu rester seul pendant ces 2 ans, ce sont à travers toutes ses rencontres qu'il a vécu sa vie, son but et son bonheur. Très émouvant, très profond. On ne sort pas indifférent de ce film basé sur un roman, basé lui-même sur une histoire vraie. Chapeau bas Monsieur Penn pour cette réalisation. Votre Danse avec les loups, en quelque sorte…
18,5/20
- tupeutla
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- Localisation: Meudon
-
» 18 Fév 2008 10:36
tupeutla a écrit:Into the Wild (A l'état sauvage)
Réalisé par Sean Penn
Avec Emile Hirsch, Marcia Gay Harden, William Hurt…
Tout juste diplômé de l'université, Christopher McCandless, 22 ans, est promis à un brillant avenir. Pourtant, tournant le dos à l'existence confortable et sans surprise qui l'attend, le jeune homme décide de prendre la route en laissant tout derrière lui. Des champs de blé du Dakota aux flots tumultueux du Colorado, en passant par les communautés hippies de Californie, Christopher va rencontrer des personnages hauts en couleur. Chacun, à sa manière, va façonner sa vision de la vie et des autres. Au bout de son voyage, Christopher atteindra son but ultime en s'aventurant seul dans les étendues sauvages de l'Alaska pour vivre en totale communion avec la nature.
Voila, un bon film, long, mais tout simplement splendide qui en plus de nous faire réfléchir sur le bonheur nous transporte dans les plus beaux paysages américains. L'interprétation d'Emile Hirsch est remarquable et la surprise est tant au niveau technique qu'artistique. On notera aussi a la fin, que son voyage personnel se traduit par une phrase qu'il écrit sur son calepin, "le bonheur ne ce partage qu'avec les autres". Ce qui signifie aussi qu'en ayant voulu rester seul pendant ces 2 ans, ce sont à travers toutes ses rencontres qu'il a vécu sa vie, son but et son bonheur. Très émouvant, très profond. On ne sort pas indifférent de ce film basé sur un roman, basé lui-même sur une histoire vraie. Chapeau bas Monsieur Penn pour cette réalisation. Votre Danse avec les loups, en quelque sorte…
18,5/20
J'allais lancer un topic unique sur ce film quand je me suis aperçu que c'était déjà fait.
Je plussoie sans limites aux propos de Papy, y compris sur la note.
Un film majeur, sans artifices. Une histoire poignante. Une réflexion intéressante sur la quête existentielle, la famille, la nature mais aussi la société...
Une mise en scène absolument somptueuse.
Le film à voir en ce moment... impérativement.
A+
- Dirty Vincent
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- Localisation: Mystic Falls...
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» 18 Fév 2008 21:12
Salut !
J'ai bien aimé aussi même si je m'attendais à plus de paysages de l'Alaska , je ne connaissais pas l'histoire donc je m'attendais à ce qu'il soit parti direct au Nord.
J'ai bien aimé aussi même si je m'attendais à plus de paysages de l'Alaska , je ne connaissais pas l'histoire donc je m'attendais à ce qu'il soit parti direct au Nord.
- Bmw37
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-
» 19 Fév 2008 1:05
Un film important pour moi car beaucoup de choses en commun.
Un électrochoc pour couper les ponts avec une famille qu'on sait secrètement d'un autre monde, depuis toujours. Partir pour ne pas revenir. Même époque, presque le même âge à deux ans près. Des mois de nature sauvage qui te met en danger, qui t'apporte les moments de vérité. Retour à la civilisation. Pan dans la gueule, New-York. Mélange de réconfort et de rejet. J'écoutais le 1er album de Pearl Jam dans la casque et c'est Eddie Vedder qui signe la BO.
Des rencontres, furtives mais inoubliables. Par exemple un couple d'une vingtaine d'années, depuis déjà 4 ans dans un petit voilier sur l'atlantique et le pacifique. Ils s'arrêtent pour des petits boulots, remplissent le voilier du nécessaire et repartent. Elle était caissière, ils ont tout plaqué. Sont-ils revenus depuis? Aucune idée mais je ne les oublierais jamais.
L'insouciance de cette expérience de l'inconnu. T'es jeune, t'as tout largué, tout vendu, tu es léger, plus d'attaches. Chaque jour, chaque pas c'est du nouveau. Pourquoi revenir? Dans mon cas j'avais encore quelques défis persos à relever. Et puis pour découvrir encore du livre, du film, de la musique.
Cette année et demi à bourlinguer a changé ma vie. On peut vite sombrer, et il y a un cap où la décision de rentrer un jour ou pas est là et ne se représentera pas forcément. J'ai décidé de rentrer mais de trouver un compromis entre ma route et ma nouvelle sédentarisation.
C'est chose faite. Retour à la stabilité, aux biens matériels. Fin de l'insouciance. De nouveau des choses et des attaches à perdre et la fébrilité qui va avec. Tout ça n'a pas servi à rien. L'approche globale a changé.
Ce film est donc pour moi comme le témoignage le plus récent et le plus proche de nous de ces parcours atypiques, durables ou provisoires. La liberté avant tout le reste. Concrétiser ça au moins une fois dans sa vie pour comprendre certaines choses importantes et non transmissibles.
Into the wild tombe à pic. Il me fait renouer avec cette expérience primordiale à un moment où j'ai besoin d'y puiser de nouveau.
Alors oui le héros croise des gens qui lui apportent des choses différentes et importantes mais sa vérité il va la trouver dans sa solitude, dans cette nature qui va lui montrer qui il est vraiment.
Un film pour me rappeler que si un jour tout me gave durablement et que j'ai échoué dans ce projet de longue date qui m'a fait revenir au pays il sera toujours temps de repartir pour de bon cette fois puisque j'aurais fait de mon mieux dans ce pourquoi je devais me poser.
Pour ceux qui ne sont pas déjà passé par là peut-être simplement une prise de conscience salutaire ou un déclic pour un changement de vie.
Pour certains ça sera peut-être juste de l'ennui pour quelque chose qui ne les concerne pas. Le coté carte postale et dépaysement, rien de plus. Il y a bien quelques tics stylistiques pas forcément utiles mais Sean Penn me parait tellement sincère dans chacun de ses films que ça n'a pas d'importance.
Un des dix films que j'embarque sur une île déserte.
Deux films que je conseille en complément de celui-ci (mais j'en oublie surement):
Jeremiah Johnson
Chamane
Un électrochoc pour couper les ponts avec une famille qu'on sait secrètement d'un autre monde, depuis toujours. Partir pour ne pas revenir. Même époque, presque le même âge à deux ans près. Des mois de nature sauvage qui te met en danger, qui t'apporte les moments de vérité. Retour à la civilisation. Pan dans la gueule, New-York. Mélange de réconfort et de rejet. J'écoutais le 1er album de Pearl Jam dans la casque et c'est Eddie Vedder qui signe la BO.
Des rencontres, furtives mais inoubliables. Par exemple un couple d'une vingtaine d'années, depuis déjà 4 ans dans un petit voilier sur l'atlantique et le pacifique. Ils s'arrêtent pour des petits boulots, remplissent le voilier du nécessaire et repartent. Elle était caissière, ils ont tout plaqué. Sont-ils revenus depuis? Aucune idée mais je ne les oublierais jamais.
L'insouciance de cette expérience de l'inconnu. T'es jeune, t'as tout largué, tout vendu, tu es léger, plus d'attaches. Chaque jour, chaque pas c'est du nouveau. Pourquoi revenir? Dans mon cas j'avais encore quelques défis persos à relever. Et puis pour découvrir encore du livre, du film, de la musique.
Cette année et demi à bourlinguer a changé ma vie. On peut vite sombrer, et il y a un cap où la décision de rentrer un jour ou pas est là et ne se représentera pas forcément. J'ai décidé de rentrer mais de trouver un compromis entre ma route et ma nouvelle sédentarisation.
C'est chose faite. Retour à la stabilité, aux biens matériels. Fin de l'insouciance. De nouveau des choses et des attaches à perdre et la fébrilité qui va avec. Tout ça n'a pas servi à rien. L'approche globale a changé.
Ce film est donc pour moi comme le témoignage le plus récent et le plus proche de nous de ces parcours atypiques, durables ou provisoires. La liberté avant tout le reste. Concrétiser ça au moins une fois dans sa vie pour comprendre certaines choses importantes et non transmissibles.
Into the wild tombe à pic. Il me fait renouer avec cette expérience primordiale à un moment où j'ai besoin d'y puiser de nouveau.
Alors oui le héros croise des gens qui lui apportent des choses différentes et importantes mais sa vérité il va la trouver dans sa solitude, dans cette nature qui va lui montrer qui il est vraiment.
Un film pour me rappeler que si un jour tout me gave durablement et que j'ai échoué dans ce projet de longue date qui m'a fait revenir au pays il sera toujours temps de repartir pour de bon cette fois puisque j'aurais fait de mon mieux dans ce pourquoi je devais me poser.
Pour ceux qui ne sont pas déjà passé par là peut-être simplement une prise de conscience salutaire ou un déclic pour un changement de vie.
Pour certains ça sera peut-être juste de l'ennui pour quelque chose qui ne les concerne pas. Le coté carte postale et dépaysement, rien de plus. Il y a bien quelques tics stylistiques pas forcément utiles mais Sean Penn me parait tellement sincère dans chacun de ses films que ça n'a pas d'importance.
Un des dix films que j'embarque sur une île déserte.
Deux films que je conseille en complément de celui-ci (mais j'en oublie surement):
Jeremiah Johnson
Chamane
- soleilvert
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-
» 19 Fév 2008 22:10
Vu également Into the Wild :
j' ai prit une claque dans la gueule !
Emile Hirsch est totalement imprégné par le rôle .
La réalisation c' est du grand art bien que certains détails peuvent surprendre ( c' est du Sean Penn ...... ).
La photographie somptueuse .
Une BO à la hauteur du reste .
Une chose est sûre c' est qu' il y a un avant et un après visionnage de ce film .
J' attends de pieds ferme le HD-DVD annoncé debut Mars .
" TAKE A JOURNEY " , comme ils disent dans les bandes annonces
N' achetez pas ce film , jetez-vous dessus !
j' ai prit une claque dans la gueule !
Emile Hirsch est totalement imprégné par le rôle .
La réalisation c' est du grand art bien que certains détails peuvent surprendre ( c' est du Sean Penn ...... ).
La photographie somptueuse .
Une BO à la hauteur du reste .
Une chose est sûre c' est qu' il y a un avant et un après visionnage de ce film .
J' attends de pieds ferme le HD-DVD annoncé debut Mars .
" TAKE A JOURNEY " , comme ils disent dans les bandes annonces
N' achetez pas ce film , jetez-vous dessus !
- JACKSLATER91
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- Localisation: Savigny Sur Orge
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» 20 Fév 2008 21:17
Un film correcte sans plus.
Je m'attendais a peu plus intelligent de la part de Sean Penn, mais visiblement il reste dans la catégorie des jusqu'au-boutiste.
le principe de faire la promotion du retour a la nature par l'intermédiaire d'un abrutis qui n'est pas capable de survivre dans cette nature me laisse de marbre.
Et pourtant malgré cette conclusion Penn nous fait un portrait flatteur de la bêtise de son personnage, chose qui pour moi ne passe pas, donc
12/20, dommage.
Je m'attendais a peu plus intelligent de la part de Sean Penn, mais visiblement il reste dans la catégorie des jusqu'au-boutiste.
le principe de faire la promotion du retour a la nature par l'intermédiaire d'un abrutis qui n'est pas capable de survivre dans cette nature me laisse de marbre.
Et pourtant malgré cette conclusion Penn nous fait un portrait flatteur de la bêtise de son personnage, chose qui pour moi ne passe pas, donc
12/20, dommage.
- PowerGlove
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» 21 Fév 2008 17:32
T'as tenté une expérience similaire pour le qualifier d'abruti? (sans s)
Si oui raconte-nous en détail comment tu t'en es sorti. Je prendrai des notes.
Si oui raconte-nous en détail comment tu t'en es sorti. Je prendrai des notes.
- soleilvert
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» 21 Fév 2008 18:32
Non justement, mais moi je suis en vie...
L'abruti c'est pas celui qui tente ce genre d'expérience c'est celui qui meurt parce qu'il est pas capable de survivre. Donc utilisé cet exemple pour faire la promotion du retour a la nature , c'est juste pas malin.
L'abruti c'est pas celui qui tente ce genre d'expérience c'est celui qui meurt parce qu'il est pas capable de survivre. Donc utilisé cet exemple pour faire la promotion du retour a la nature , c'est juste pas malin.
- PowerGlove
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» 21 Fév 2008 18:32
Non justement, mais moi je suis en vie...
L'abruti c'est pas celui qui tente ce genre d'expérience c'est celui qui meurt parce qu'il est pas capable de survivre. Donc utilisé cet exemple pour faire la promotion du retour a la nature , c'est juste pas malin.
L'abruti c'est pas celui qui tente ce genre d'expérience c'est celui qui meurt parce qu'il est pas capable de survivre. Donc utilisé cet exemple pour faire la promotion du retour a la nature , c'est juste pas malin.
- PowerGlove
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» 21 Fév 2008 22:44
PowerGlove a écrit:la promotion du retour a la nature
T' as cru que c' était une pub pour un déo Ushuaia ?
Je pense que tu as mal regarder le film .
S' identifier de quelque maniere qu' il soit au personnage et à son histoire vécu n' est pas ce qu' il faut tirer du film .
Ce n' est pas, à mon avis , une "promotion du retour à la nature" qui est faite ici .
Je l' ai plutot identifier comme une quete de la vie , de la recherche de soi , de la liberté et du détachement de la société de consommation .
Chacun sa vision mais je pense que tu es passé à coté de quelque chose .....
- JACKSLATER91
- Messages: 433
- Inscription Forum: 24 Fév 2002 2:00
- Localisation: Savigny Sur Orge
-
» 22 Fév 2008 1:31
Je pense au contraire avoir bien vu le film. Je ne suis pas le seul a le penser. Deux de mes amis très gros cinéphiles eux aussi sont d'acord avec moi.
Je pense plutot que c'est shean Penn qui est passé à coté de son sujet.
Je suis parfaitement d'accord avec toi sur le sens du film et c'est justement le problème pour moi tu film.
Le propos est en effet une quete, une fuite de la société de consomation et c... mais cette quete est bien véhiculé par un personnage, et ce personnage est pour moi un imbecile.
Donc on se retrouve devant un contresens.
Le réalisateur a de plus appuyé lourdement dans sa mise en scene le fait qu'il est admiratif de cette "aventure humaine", mais je pense qu'il a fait une erreur en ettayant son propos avec ce fait divers precis.
J'espere que je suis clair, en tous cas cela me semble evident...
Pour insisté, si on vous avais raconté le fait divers sans avoir vu le film, votre premiere reaction aurrais été de dire a juste titre, encore un abrutit qui est mort par sa propre connerie.
Partis de ce constat Sean Penn essaye d'en faire une ode au retour a la nature ...
Je ne vais pas expliqué mon point de vus de 10 facons differente, si je ne suis pas clair j'en suis désolé, mais SoleilVert si tu pouvais evité ta condescendance a mon egards, ca serais gentil, parce que je suis pas un blaireau qui vois 5 films par an au ciné et j'aime pas le genre de reflexions que tu te permet a mon egard. Si tu trouve mon point de vue con, pas de probleme mais essaye au moins d'argumenté.
Je pense plutot que c'est shean Penn qui est passé à coté de son sujet.
Je suis parfaitement d'accord avec toi sur le sens du film et c'est justement le problème pour moi tu film.
Le propos est en effet une quete, une fuite de la société de consomation et c... mais cette quete est bien véhiculé par un personnage, et ce personnage est pour moi un imbecile.
Donc on se retrouve devant un contresens.
Le réalisateur a de plus appuyé lourdement dans sa mise en scene le fait qu'il est admiratif de cette "aventure humaine", mais je pense qu'il a fait une erreur en ettayant son propos avec ce fait divers precis.
J'espere que je suis clair, en tous cas cela me semble evident...
Pour insisté, si on vous avais raconté le fait divers sans avoir vu le film, votre premiere reaction aurrais été de dire a juste titre, encore un abrutit qui est mort par sa propre connerie.
Partis de ce constat Sean Penn essaye d'en faire une ode au retour a la nature ...
Je ne vais pas expliqué mon point de vus de 10 facons differente, si je ne suis pas clair j'en suis désolé, mais SoleilVert si tu pouvais evité ta condescendance a mon egards, ca serais gentil, parce que je suis pas un blaireau qui vois 5 films par an au ciné et j'aime pas le genre de reflexions que tu te permet a mon egard. Si tu trouve mon point de vue con, pas de probleme mais essaye au moins d'argumenté.
- PowerGlove
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