WATTS a écrit:Joich a écrit:homecinemaniakk a écrit:sans vouloir vexer en fait je veux m'informer
qu'avez vous fait comme etude pour etre ingenieur prepa puis école d'ingenieur ou école d'ingenieur
je passe le bac SSI (Sciences de l'Ingenieur ) cette année alors je me renseigne merci
en esperant qu'il n'y est pas de faute mon domaine c'est les maths tant pis nous (c'est mieu que on ) ferons attention a partir d'aujourd'hui
C'est marrant, les seules majuscules qui tu aies mises sont celles de Science de l'IngénieurJe trouve que c'est assez intéressant... En effet, cela met en valeur ces disciplines, qui semblent, par le fait, te tenir très à coeur. Mais cette insistance sur ces deux lettres en particulier met aussi en avant une passion folle pour le sexe. En effet, ce "S" majuscule est biens-sûr celui de " Sexe". C'est une évidence freudienne. Une autre évidence freudienne réside dans ce "I" majuscule, lettre de forme ô combien phallique, qui dénote, elle aussi, une attirance démesurée pour la chose sexuelle. L'absence totale de ponctuation dans ton texte semble également aller dans le sens d'une sévère pathologie sexuelle: la ponctuation, c'est la règle, l'ordre, le sens. Sans elle, tout est sans dessus-dessous. Ce retournement, ce chaos, c'est évidemment celui du sexe débridé, et traduit des pratiques sexuelles totalement incontrôlées, et sans doute incontrôlables. Pas d'accent, non plus. Car l'accent, c'est ce qui habille une voyelle. Et quelles voyelles! le "e", le "a", voyelles féminines par excellence! L'omission des accents est donc une expression de ton désir de vouloir déshabiller les femmes, toutes les femmes. homecinemaniakk, tu souffres. Je le vois. Et ton nom n'est pas anodin: homecinemaniakk. Oui, "maniakk", maniakk sexuel, bien-sûr, avec deux "k", qui sont tels des dessins d'hommes de profil, le pénis violemment érigé en avant. Oui, tu souffres! Mais la solution existe! Accentuation et ponctuation seront les deux mamelles (si j'ose dire!) de ta guérison.
Voilà... Désolé d'avoir pollué le post...Je trouve que l'initiative de buck est louable et digne de toute les félicitations possibles
Loïc
Moi, je dis que Loïc est aussi souffreteux que le serait son "patient" !!Hé Loïc...Ton sex n'a pas de e ! Or, t'en as introduit plusieurs dans le texte mais sans e !!!
Le problème serait alors d'ordre biologique. Pourquoi ton sex n'est-il pas équipé de e...? Attends ! Ne pense pas à l'omelette, pense plutôt à la voyelle féminine aussi sensiblement que sensuellement décrite par tes soins ! Dés lors, à bien y penser, ton sex(?) est textuellement présenté en mode démuni , atrophié, dirais-je...peu-être voulais-tu l'amputer de cette voyelle e bien féminine, qui par sa présence, réduirait fort bien son potentiel musculaire laborieusement soutenu ? Serais-tu un protestataire viril à la Alfred ADLER sans le savoir ? tsss...! Pas de Yin avec le Yang , cette fameuse notion de dualité issue du caractère unique te dérangerait-elle ?
La solution existe. Regarde bien les deux mamelles et dis-toi qu'elles terminent bien des appendices, glandulaires certes, mais appendices quand même comme celui du K...Il est vrai, point ainsi outrageusement dressés, toutefois moins pendants que l'est le petit accent qui termine la lettre Q, que l'on appelle - excusez moi de le relever - :...Petite queue pour grand Q ! Lettre alphabétique qui pourrait défier la lettre K dans certains cas !!
HA HA HA
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Alors, tout d'abord, le fait que j'aime introduire des "sex" dans des textes, et pas seulement dans des textes, d'ailleurs, est un fait avéré depuis belle lurette.
Quant à l'absence de "e", j'en ferai une autre lecture, si tu le permets... Amputé, raccourci _mes détracteurs iront sans doute jusqu'à dire que mon membre viril se résume à un petit bulot cuit, mais passons_, privé d'une partie, physique (« Loïc a pas d'organe » et tout ça), ou psychologique (« Loïc rejette sa part de féminité »), tout cela n'est que carabistouille et calembredaine... Diffamation! Divagations de personnes mal intentionnées, ou tout du moins mal informées.
Prenons le problème plus simplement, et disons-le avec modestie : mon sexe est trop gros. Ainsi, par respect, par compassion, je me vois dans l’obligation de ne pas l’introduire dans son intégralité dans les textes, ceux-ci dussent-il en tirer une certaine frustration. Frustration compréhensible quand on voit l’engin, mais néanmoins nécessaire. L’introduction complète de mon sex dans un texte provoquerait certaines douleurs, que, par humanité, oui, humanité, je préfère lui épargner.
Voilà. Je suis navré d’avoir dû m’étendre sur mon sex, mais croyez bien que j’y ai été forcé. Je m’en excuse.
Loïc
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