dub a écrit:Cela dit, avoir placé un micro directionnel aussi près et n'avoir pas relevé que les grommellements du pianiste s'entendaient autant…
J'ai pour ma part beaucoup de mal à faire abstraction de ce genre de "détails" — qui ne sont pas inévitables. Dans les enregistrements de l'HesperionXX de Savall, les micros de proximités sont dosés de telle sorte que les respirations des musiciens ne sont pas plus audibles que dans une salle de concert et demeurent en tout cas moins perturbants que sur ce disque. J'ai trouvé ça d'autant plus dommage que l'interprétation me plaît bien (sans que je sois fichu d'expliquer le pourquoi).
Cdlt
Dans une salle de concerts, sans micro de proximité, on entend Pollini souffler comme un boeuf du fond de la salle...
Dans son dernier disque de sonates de Beethoven que j'ai entendu on entend un nombre de bruits dans le studio loin du piano , de mécanique du piano, quant à lui
ça me gêne moins, beaucoup moins, que le son étrange qui fout le camp dans les pianissimos, s'évanouit et revient dans le fortissimo...
Tiens je vais réécouter.
Alain