Sir David Willcocks a écrit:mais tu ne proposes rien, tu ne fais qu'acquiescer à d'autres principes et leur validité en soi, tu ne dis pas en quoi ils sont viables
À mes yeux, c'est un compliment !
Cordialement,
|
Modérateurs: Modération Forum Oeuvres & Multimédia, Le Bureau de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 61 invités
Sir David Willcocks a écrit:mais tu ne proposes rien, tu ne fais qu'acquiescer à d'autres principes et leur validité en soi, tu ne dis pas en quoi ils sont viables
Polonsky a écrit:Sir David Willcocks a écrit:mais tu ne proposes rien, tu ne fais qu'acquiescer à d'autres principes et leur validité en soi, tu ne dis pas en quoi ils sont viables
À mes yeux, c'est un compliment !
Cordialement,
Sir David Willcocks a écrit:Polonsky a écrit:Tu m'accorderas donc que considérer la morale d'aujourd'hui comme sacrée n'a rien d'une impossibilité.
tout ça me paraît bien anachronique
WhyHey a écrit:
alors je 'exprime très mal: une discrimination est une distinction:
définition:
DISCRIMINATION, subst. fém.
A. [Sans idée de traitement inégal] Action, fait de différencier en vue d'un traitement séparé (des éléments) les uns des autres en (les) identifiant comme distincts. Synon. distinction.
http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/t ... at=;sol=0;
relis bien le dico: SANS idée de traitement inégal.
c'est le dico qui le dit, et c'est dans ce sens que je l'utilise.
Nikita a écrit:Ce n'est pas la définition juridique et le code pénal, c'est juridique
WhyHey a écrit:Polonsky a écrit:Sir David Willcocks a écrit:mais tu ne proposes rien, tu ne fais qu'acquiescer à d'autres principes et leur validité en soi, tu ne dis pas en quoi ils sont viables
À mes yeux, c'est un compliment !
Cordialement,
voilà bien une évidence, celle là au moins est un fait avéré.
WhyHey a écrit:reprenons la plus importante: ta vision du monde:
"le respect humain est une constante dans l'histoire du monde"
non, les 4 exemples ci dessus le prouvent.
par contre il est vrai que
"la discrimination (sans nécessairement valeur de justice) est une constante"
WhyHey a écrit:Car si tu prônes le "respect humain", alors respectons ensemble ES....
WhyHey a écrit:Qui de nous se mord la queue
Nikita a écrit:Je n'ai malheureusement jamais réussi
Sir David Willcocks a écrit:une évidence bien morne
et d'ailleurs, permettez au Sir que je suis d'émettre un baillement
Sir David Willcocks a écrit:une évidence bien morne
et d'ailleurs, permettez au Sir que je suis d'émettre un baillement
Polonsky a écrit: Je n'ai rien contre le monde imaginaire de la morale, mais que peut-il contre ce qui est ?
Cordialement,
WhyHey a écrit:"Du temps du roi Moabdar, il y avait à Babylone un jeune homme nommé Zadig, né avec un beau naturel fortifié par l’éducation. Quoique riche et jeune, il savait modérer ses passions; il n’affectait rien; il ne voulait point toujours avoir raison, et savait respecter la faiblesse des hommes. On était étonné de voir qu’avec beaucoup d’esprit il n’insultât jamais par des railleries à ces propos si vagues, si rompus, si tumultueux, à ces médisances téméraires, à ces décisions ignorantes, à ces turlupinades grossières, à ce vain bruit de paroles qu’on appelait conversation dans Babylone. Il avait appris dans le premier livre de Zoroastre, que l’amour-propre est un ballon gonflé de vent, dont il sort des tempêtes quand on lui a fait une piqûre. Zadig surtout ne se vantait pas de mépriser les femmes et de les subjuguer. Il était généreux; il ne craignait point d’obliger des ingrats, suivant ce grand précepte de Zoroastre: Quand tu manges, donne à manger aux chiens, dussent-ils te mordre. Il était aussi sage qu’on peut l’être; car il cherchait à vivre avec des sages. Instruit dans les sciences des anciens Chaldéens, il n’ignorait pas les principes physiques de la nature, tels qu’on les connaissait alors, et savait de la métaphysique ce qu’on en a su dans tous les âges, c’est-à-dire fort peu de chose. Il était fermement persuadé que l’année était de trois cent soixante et cinq jours et un quart, malgré la nouvelle philosophie de son temps, et que le soleil était au centre du monde; et quand les principaux mages lui disaient, avec une hauteur insultante, qu’il avait de mauvais sentiments, et que c’était être ennemi de l’État que de croire que le soleil tournait sur lui-même, et que l’année avait douze mois, il se taisait sans colère et sans dédain.
"
Sir David Willcocks a écrit:le bon sens n'a rien à voir avec la morale
Sir David Willcocks a écrit:un pansement, tant il est vrai que cet infortuné soldat, outre sa décrépitude physique dont il avait suffisamment conscience pour qu'on la souligne encore davantage, pouvait également prétendre à des soins d'autre nature, tels que la compassion universelle
|
Retourner vers Musique enregistrée : BD, CD & DVD
|