Jour de repos: une après-midi çéveuntiz, ça fait du bien

[alain70]

camel sans filtres et Senior Service pour moi, please……

[dub]

camel sans filtres et Senior Service pour moi, please……

Senior Service et Navy Cut étaient aussi des blondes sans filtres (et j'en fumais……… disons…… trop! )…

Bon — plutôt vers 82 etc que vers 75 soyons nets!…

[dgohyeres]

Camel, Mel Collins;Andy Latimer et Peter Bardens , on reste fin des 70 et dans les 80.

[Lylas]

Lache la goldo, j'apporte ma maigre contribution


1/ Il m'arrive de temps en temps de les réecouter et ça fait fuir mes momes, LA PAIX !!


2/ Moins de noise mais tj aussi génial à écouter !



3/ Un style différent et plus "posé" et tellement géniallisime ce Curtis !!!

[dub]

Miam! ça a l'air sympa et en plus je ne connais pas!

Cette après midi, j'ai pris le temps d'écouter (aux casques ) le dernier Brassens (Nouvelles chansons sortis en 76):

tout est bon chez lui, y'a rien à jeter — sur l'île déserte, j'ai bien fait de tout emporter!

Cdlt

[pilou92]

Bon ben les gars, c'est bien cool tout ça !

En ce qui me concerne, des après-midi comme ça, je fais pratiquement que ça !

Eh oui, je ne suis que de 77, mais j'écoute presque essentiellement du seveuntiz :
- dIRE sTRAITS
- Led Zep
- Deep Purple (vivement dans un mois le concert à Rennes !!!!)
- The Who (bien que Tommy ne soit pas un album 70's mais 60's - 1969 pour être précis ; c'est le film et sa BOF qui datent de 73-74 je crois)
- Herbie Hancock période Headhunters
- Zappa (période Apostrophe...)

Enfin voilà quoi, que du bon j'ai envie de dire !

Par contre, moi, j'ai pas les vynils, mais les CD (voire les SACD pour les Who et Deep Purple).

[dub]

- dIRE sTRAITS
- Led Zep
- Deep Purple (vivement dans un mois le concert à Rennes !!!!)
- The Who (bien que Tommy ne soit pas un album 70's mais 60's - 1969 pour être précis ; c'est le film et sa BOF qui datent de 73-74 je crois)
- Herbie Hancock période Headhunters
- Zappa (période Apostrophe...)

J'aime beaucoup! — bon, pour les Who: plutôt quadrophenia, ou a quick one ou Who are you — çéveuntiz donc (et puis sell out: Booris ze spailledeur! ) — même si évidemment…

Mama-maille djénéraichieeun!……

et

Fiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiil mii! Siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii miihihi…

Par contre, moi, j'ai pas les vynils, mais les CD (voire les SACD pour les Who et Deep Purple).

Pour les 33t — c'est assez facile à trouver:

http://www.cdandlp.com/liste/index.cfm? ... teg_rech=0

et


http://www.cdandlp.com/liste/index.cfm? ... eep+purple

http://www.cdandlp.com/liste/index.cfm? ... teg_rech=0


Cdlt

[alain70]

Il ne faudrait pas oublier Genesis, époque Peter Gabriel
Foxtrot, Nursery Crime, The Lamb Lies Down On Broadway, Selling in England By The Pound...
...autant d'albums qui ont connu leur heure et que j'écoute encore volontiers même si certains diront qu'ils ont quelque peu vieilli.
L'imagination de PG était débordante dans ses mises en scène, et ses références à Lewis Caroll en particulier.
Steve Hackett a apporté, lui aussi, une pierre non négligeable à Genesis... (ré) écoutez donc "Voyage of Acolyte"...

[Tympancrevé]

Et puis le grandissime Neil Young avec d'abord "After the gold rush" , l'incoutournable "Harvest" ,le très sombre "Tonight the night"
le formidable "Zuma" surtout grâce a ce génial morceau :"Cortez the killer",le langoureux et parfois révolté "On the beach",le très controversé "American'stars & bars" avec ce morceau innoubliable"Like a Hurricane" et le merveilleux "Comes a time".Tous des albums des seventies.Il y en a un dont je ne parlerai pas mais je ne l'aime pas:"Long may you run".Tant pis c'est comme ça

[dub]

Re! Re!

Après une longue semaine – quoi d’autre qu’un ou deux disques?

Et pour commencer, au casque (AKG K240 branché sur l’Atoll AM100), un bon vieux Stones des familles de 1978: Some Girls. Écouter ça bien vautré ’vec les paroles de la chopette sous les yeux, y’a pas mieux pour remonter quelques années en arrière. Et puis, Mick Jaegger en train de singer du disco, franchement, c’est pas mal du tout. Et puis mine de rien, il y a des paroles à lire et à savourer :
«Momma and Poppa told me I was crazy to stay / I’d be gay in New York I was a fag in LA / So I saved my monney and I took a plane / But whereever I go they treatme the same»
«Well now we’re respected in society, you ain’t worried ’bout the things that used to be / We’re talking with the President / Yes ot’s a problem sir, but I can’t be bent»

etc etc

Pour suivre, changeons de casque (HD600/Amity hpa2), un Nettoyage de printemps de 78 par Gilbert Lafffaille — avec à peu près le même programme que dans le Live in Chatou sorti deux ans plus tard (donc hors sujet ). Ceux qui ne connaissent pas Laffaille doivent se ruer sur ses disques dans les délais les plus brefs – car ça mérite le détour. La voisine perd son chat et toute la ville cancanne de rumeurs sur le chat perdu, puis ces étrangers qui volent les chats, tuent les chats, les bouffent – avant qu’évidemment on ne retrouve le chat. Et puis les angoisses de l’œuf à midi, heure du déjeuner, sur le point de se faire gloumpfer: tout cela est fort réjouissant. Et une belle guitare d’accompagnement par derrière.

Pause – changement de casque (Ergo2 sur AM100) et en route pour un petit Paul Simon de 1971 en solo chez CBS: Mother and child reunion — même pas besoin de la sous-pochette pour chantonner les paroles que je connais encore par cœur. Que ceux qui n’aiment pas cet album et le suivant ( Still crazy after all these years ) passent leur chemin. OK – le côté boy scout de Simon & Garfunkel (Parsley Sage, Rosemary an Thyme — Bridge over troubled bidule etc etc ) – je comprends qu’on puisse ne pas vraiment apprécier. Mais Paul Simon en solo, c’est une autre paire de manches, un autre style – celui de la ballade qui donne envie de réempoigner sa guitare. Et puis, pas la peine de le cacher, j’aime bien ces trucs là (la veille au soir, j’ai même réécouté les Aphrodites’ child de 1969 – donc hors sujet – et… )…

Et pour finir (au K1000 sur l’Elrad/AudioValve RKV), J’ai vu le loup, le renard et le lion , un double album en public fait à la “SuperFrancofête” de 1974, avec — pas besoin de le dire — Robert Charlebois, Gilles Vigneault et Félix Leclerc. Fête qui est un peu le Woodstock de la chanson à texte, si l’on veut … Deux ans après, il y eut Une fois cinq (enlevons Félix Leclerc et ajoutons Léveillée, Ferland et Deschamps (Yvon, einh?, attention! Pas l’autre! ) – mais ça n’était pas tout à fait la même chose. Et puis ensuite, des francofolies s’en inspirèrent, dit-on. Quoi qu’il en soit, que voilà un double album a réécouter (si on aime pas le Québec et son accent, faudra s’abstenir!): Bozo, le Pays et Lindberg – les principaux succès sont au rendez-vous. Ceux qui ne se rappellent pas avoir participé au concours que France Inter avait lancé un été: fallait retrouver les paroles de Lindberg (dans la version en duo avec Catherine Forestier), auront du mal peut-être à comprendre qu’on puisse se réjouir de chantonner cette chose-là… Et puis, il y a des “faces magiques”, comme la face B du recueil :
Tit-Cul la chance: «j’m’apelle tit-cul la chance, ch’chuis chômeur de mon état, marié, trois filles deux gars, ben merci, merci pour l’assistance!!»
Gros Pierre: «parfois j’ai plus l’goût de rien faire, j’fumerais du pot’, j’boirais d’la bierre, chose’f’rais d’la musique, ‘vec le Gros Pierre, mais faut que j’pense à ma carrière»
La mort de l’ours: «où allez-vous papa l’our? chapeau mou médaille au cou, vous a-t-on nommé sheriff des montages et des récifs»
Les 100 000 façons…: «non moi je dis que la meilleure façon de tuer un homme, c’est d’l’empêcher de travailler en lui donnant d’l’argent»
Entre deux joints: «entre deux joints tu pourrais faire quêqu’chose, entre deux joints tu pourrais t’grouiller l’***»
Que de la bonne, en somme.

Cdlt

[bradest]

Qu'est-ce qu'il est devenu, Lafaille ? Son nettoyage de printemps était effectivement une petite perle, avec ses textes ciselés dans leur extrême précision (c'était un prof de français, Lafaille...), ses petites musiques genre comptine mais qui s'imprimaient bien dans la tête et pour longtemps. Allez plancher sur ses interrogations écrites... Et le chat ? Quoi le chat ? Ah, le chat....

A part ça, deux seventizes indispensables de chez les incontournables, sans aucun rapport entre les deux, réécoutés cette semaine avec un bonheur toujours égal :

en english, l'immense (mais qui a mal tourné) Cat Stevens avec "Tea for the Tillerman", ne serait-ce que pour "sad lisa"... Va falloir que je le rachète en CD, because ma vieille galette noire gratte vraiment trop...

en stéphanois, l'énorme, le monumental, le chef-d'oeuvre de Bernard Lavilliers, "Les Barbares". Une rage, une pêche, une violence dans l'écriture, dans la musique, portées par la voix pourtant si douce et suave du grand Bernard. Ecoutez "Fensch Vallée" ou "Junkie", ou encre "berceuse pour une shootée"... On en prend plein la gueule, c'est brut de fonderie, p'taing Lavilliers à cette époque, c'était du costaud...

[dub]

Le chat? ah oui! j'vaais zoublié…

L'est toujours en petites tournées confidentielles, semble-t-il:

http://www.friendship-first.com/artiste ... tlaffaille

Lavilliers — j'arrive pas à dépasser le sketch de Font et Val parlant de lui (mais chez moi aussi c'est du skaï).

Cdlt