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Modérateurs: Modération Forum Bla bla, Le Bureau de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: brugam, BrunoL, gardfield77, jazzliberator, Joich, led balloon, martinst4, portenawak, poupafaya, Salamandar, Shitopicker, Velvet, wopr et 110 invités
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Merci de bien respecter la Charte HCFR, l'espace de loisirs proposé ici n'étant pas destiné à être un défouloir ou une foire d'empoigne.
Et pour mémoire, la Charte HCFR est directement consultable ici : Charte Forum HCFR
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Politique intérieure : "Putain ! Dix ans ?!!" , le retour.
et speedfan en preventive, si nous nous ne savons pas pourquoi, lui le sait!
- astrorock
- Messages: 10618
- Inscription Forum: 27 Mar 2005 13:59
- Localisation: Jurassien rural du 9.3 néo breton.
speedfan a écrit:astrorock a écrit:"Bien qu'ayant une séparation des pouvoirs, la France a une conception qui lui est propre de cette dernière, notamment au travers du fait que le pouvoir judiciaire n'est pas compétent pour les affaires impliquant les deux autres pouvoirs (législatif et exécutif), où cela est du ressort du Tribunal administratif. Cette limitation du champ d'action du pouvoir judiciaire est expliquée par le raisonnement que le pouvoir judiciaire n'est pas assez légitime pour juger des actes de représentants élus par le peuple".
lis la constitution.
moi je suis pour mais qu'alors les magistrats soit elus pour partie, comme aux us.
Tu as lu ce que tu as posté, ca indique justement qu'il y a une séparation des pouvoirs
Non, ça pose la distinction entre pouvoir et autorité. Ce qu'on appelle en France le pouvoir judiciaire est, comme le souligne Astro, une autorité, mais pas un pouvoir à proprement parler au sens où on devrait l'entendre, à savoir un pouvoir indépendant des deux autres qui, du fait de son indépendance, constitue un contre-pouvoir aux deux autres. La séparation des pouvoirs n'est une réalité que lorsque lesdits pouvoirs sont indépendants les uns des autres (pas de relation de hiérarchie ou d'inféodation) et que chaque pouvoir est un contre-pouvoir aux autres. Le pouvoir législatif (le parlement) constitue un contre-pouvoir à l'exécutif car il peut démettre un gouvernement. Tout comme l'exécutif est un contre-pouvoir au pouvoir législatif car il peut dissoudre le Parlement. En revance, l'autorité judiciaire n'est pas un pouvoir indépendant des deux autres puisqu'elle ne peut juger ni les membres de l'exécutif ni les parlementaires. Bref, ce n'est pas la notion d'indépendance qui est importante, c'est la notion de contre-pouvoir.
- Joich
- Messages: 1132
- Inscription Forum: 11 Fév 2004 18:33
- Localisation: France d'en dessous
astrorock a écrit:taubira demission de toute facon!
Astro au boulot de toute façon...
Purée si tous les donneurs de leçons, les kings du clavier d'HC-FR se mettaient à bosser, les chinois n'auraient qu'à bien se tenir...
- speedfan
- Messages: 615
- Inscription Forum: 10 Juil 2007 9:08
- Localisation: Au fond, oui par là....
Joich qui répond à coté de la plaque plein pot, ce sont des parlementaires qui étaient jugés ?
Je te la refais, le parquet dit je veux ça, les juges disent on donne ça. Ok ? alors séparation des pouvoirs au pas ?
Je te la refais, le parquet dit je veux ça, les juges disent on donne ça. Ok ? alors séparation des pouvoirs au pas ?
- speedfan
- Messages: 615
- Inscription Forum: 10 Juil 2007 9:08
- Localisation: Au fond, oui par là....
speedfan a écrit:bpm92 a écrit:
La droite est tellement laxiste qu'en 2005, les émeutes ont duré 3 semaines !
Avec état d'urgence, un truc pas vu depuis la guerre
Tout de même, quel laxisme de la part de Sarkozy quand on y pense !
- bpm92
- Messages: 2016
- Inscription Forum: 17 Avr 2008 13:11
c'est certe subtil, mais la reponse de joich est celle inscrite dans la constitution.
je milite pour une separation franche et nette, mais je sais que ce n'est pas populaire, et les premiers a ne pas vouloir de cette reelle indepandance sont les juges.
je milite pour une separation franche et nette, mais je sais que ce n'est pas populaire, et les premiers a ne pas vouloir de cette reelle indepandance sont les juges.
- astrorock
- Messages: 10618
- Inscription Forum: 27 Mar 2005 13:59
- Localisation: Jurassien rural du 9.3 néo breton.
speedfan a écrit:astrorock a écrit:taubira demission de toute facon!
Astro au boulot de toute façon...
Purée si tous les donneurs de leçons, les kings du clavier d'HC-FR se mettaient à bosser, les chinois n'auraient qu'à bien se tenir...
c'est super calme depuis une semaine...
j'ai donc le temps d'ecrire un tas de betises!
mais pas que.
taubira demission!
- astrorock
- Messages: 10618
- Inscription Forum: 27 Mar 2005 13:59
- Localisation: Jurassien rural du 9.3 néo breton.
speedfan a écrit:Joich qui répond à coté de la plaque plein pot, ce sont des parlementaires qui étaient jugés ?
Je te la refais, le parquet dit je veux ça, les juges disent on donne ça. Ok ? alors séparation des pouvoirs au pas ?
Joich, les cas particuliers, il se les fout sur l'oreille. Et comme il part à la piscine, il vous fait plein de bisous
- Joich
- Messages: 1132
- Inscription Forum: 11 Fév 2004 18:33
- Localisation: France d'en dessous
dois y avoir de la donzelle a la piscine....
speed.....
speed.....
- astrorock
- Messages: 10618
- Inscription Forum: 27 Mar 2005 13:59
- Localisation: Jurassien rural du 9.3 néo breton.
astrorock a écrit:dois y avoir de la donzelle a la piscine....
speed.....
Avec ma blonde et les trois lardons, je ne vais pas avoir des masses de temps pour me rincer les yeux
- Joich
- Messages: 1132
- Inscription Forum: 11 Fév 2004 18:33
- Localisation: France d'en dessous
c'est pas parce que t'es au regime que t'as pas le droit de regarder le menu!
- astrorock
- Messages: 10618
- Inscription Forum: 27 Mar 2005 13:59
- Localisation: Jurassien rural du 9.3 néo breton.
astrorock a écrit:c'est certe subtil, mais la reponse de joich est celle inscrite dans la constitution.
je milite pour une separation franche et nette, mais je sais que ce n'est pas populaire, et les premiers a ne pas vouloir de cette reelle indepandance sont les juges.
Sacré gauchiste, c'est ce que veux faire Hollande avec une séparation entre parquet et exécutif. T'es un vrai socialo finalement toi . Sarkozy ne voulait surtout pas en entendre parlé, il voulait meme supprimer le juge d'instruction ce con .
- speedfan
- Messages: 615
- Inscription Forum: 10 Juil 2007 9:08
- Localisation: Au fond, oui par là....
http://www.philippebilger.com/blog/2013 ... -pire.html
Christiane Taubira : la politique du pire
Il n'y a rien à faire pour arrêter le cours fatal d'un dogmatisme judiciaire qui, paré de l'humanisme socialiste, s'apprête à nous fabriquer des lendemains qui déchantent et des victimes délaissées.
Rien à faire vraiment ?
La loi de lutte contre la récidive doit être inscrite au Conseil des ministres au mois de septembre. Son esprit est détestable et la réalité a beau lui apporter quotidiennement des démentis pour l'augmentation de l'insécurité, la gravité de beaucoup de délits et de crimes, l'intensité accrue de la violence et un univers pénitentiaire non pas à supprimer mais à renforcer dans son utilité et sa dignité, nul doute que, le moment venu, elle obtiendra l'aval d'un Pouvoir pourtant écartelé entre ce qu'il pressent des attentes citoyennes et son idéologie noblement compassionnelle. A nos risques et périls.
S'il reste un peu d'espoir, il tient au fait que Christiane Taubira, l'ivresse parlementaire dissipée, ne s'accorde pas avec l'intuition prudente du président de la République qui perçoit et craint les orages politiques, se trouve clairement en opposition avec le pragmatisme intelligent de Manuel Valls et surtout heurte le bon sens d'une partie des parlementaires socialistes, par exemple le député Dominique Raimbourg, qui mesurent le désastre de ce qui se prépare parce qu'ils sont en contact avec le peuple au quotidien. Celui-ci se soucie comme d'une guigne que les peines planchers aient été votées sous Nicolas Sarkozy, seul compte pour lui le fait qu'elles ont démontré leur efficacité et que donc elles devraient être conservées dans notre arsenal répressif.
Pourtant, on s'oriente vers leur abolition.
L'une des idées les plus absurdes et dangereuses proposée par cette "conférence de consensus" initiée par la ministre sous la présidence de la syndiquée Nicole Maestracci, depuis peu au Conseil constitutionnel, évoque la possibilité d'une libération automatique des détenus aux deux tiers de la peine, voire à mi-peine.
Est-il nécessaire d'insister sur l'aberration d'une telle mesure, justement dénoncée par Dominique Raimbourg lui-même ? Comment même a-t-on pu envisager qu'un moment crucial de la vie pénitentiaire puisse ainsi se passer de délibération et entraîner, si rapidement, des élargissements qui, pour conditionnels qu'ils soient, choqueront les victimes ou leurs familles et offenseront les tenants d'une exécution cohérente des peines ?
Si l'ironie est permise, il est piquant de constater que l'automaticité serait instaurée là où elle est la plus néfaste alors que les peines planchers n'ont pas cessé d'être décriées par la gauche parce qu'elles réduisaient la liberté du juge. Comprenne qui pourra, qui voudra.
Ce qui également laisse songeur, pour ne pas dire plus, tient à cette volonté de ne pas faire révoquer automatiquement le sursis d'une première condamnation quand une deuxième a été édictée. Seule cette dernière serait exécutée de sorte que, conséquence inévitable, le sursis perdrait toute valeur et n'aurait plus le moindre effet dissuasif alors qu'il en a déjà si peu.
La rétention de sûreté tellement honnie lors de son apparition et inspirée de certains exemples étrangers visant, après avoir sanctionné le passé, à préserver l'avenir, ne serait pas sacrifiée, protégée paradoxalement par la difficulté de sa suppression.
Les élucubrations - comment nommer autrement des concepts que la réalité non seulement n'a pas validés mais rendrait dévastateurs pour la société si jamais une majorité d'irresponsables et de naïfs les approuvaient ? - de ce projet de loi sont articulées sur la double idée fausse que dans une communauté, les coupables sont plus à considérer que les victimes, les transgresseurs et les détenus plus que la masse des honnêtes gens et que la prison est non pas un outil irremplaçable de sauvegarde sociale mais la cause de tout, notamment des crimes, des délits et de leur récidive.
Aussi simpliste que soit l'argument, il y a, de la part de ceux qui tiennent la détestation de l'enfermement pour l'alpha et l'oméga de toute politique pénale, l'obsession de déplorer que la prison ne prévienne pas la récidive. Alors qu'elle a joué ce rôle au moins pour les 50% qui n'y reviennent plus et que pour la seconde moitié il faut sans doute accepter le constat déprimant pour une gauche rêveuse que la vie libre est criminogène et que ce n'est pas l'enfermement qui a suscité la rechute mais soi-même par paresse, facilité, lucre ou mépris.
Il y en a assez de ces poncifs qui traînent dans les couloirs d'une pensée conformiste.
La rigueur ne démontre pas l'absence de coeur des gouvernants mais au contraire, quand ils savent réaliser cette synthèse opératoire entre la sévérité et l'humanité, leur souci de l'autre, leur sollicitude collective et la capacité de l'Etat à prendre en charge les faibles, les fragiles, les blessés de l'insécurité.
Des familles de victimes représentées par Sophie Piel dont les parents ont été assassinés en 1982 ont alerté la garde des Sceaux sur le caractère néfaste de ces dispositions. Sans résultat autre qu'une lettre générale et des courriers personnalisés emplis d'erreurs révélatrices du peu d'attention que les tragédies suscitent dans les univers bureaucratiques.
Mais Dominique Raimbourg a reçu Sophie Piel. Ce n'est presque rien mais aujourd'hui on se contente de peu.
Cette politique du pire, qui nous attend et qui s'élabore en toute bonne conscience socialiste, qu'on ne se leurre pas, aura des effets ravageurs sur le plan politique. Que la ministre garde bien en mémoire les conséquences délétères, pour ses amis du Syndicat de la magistrature, du Mur des cons - pour moi, les cons du Mur - sur le plan syndical. Une chute très sensible, une régression forte.
Cela pourrait se généraliser si Christiane Taubira continue à faire, d'une certaine façon, cavalier seul.
François Hollande ne s'est-il pas faussement interrogé récemment lors de sa rencontre informelle avec cent journalistes :"Pourquoi les Français adhéreraient-ils à une politique si elle ne se traduit pas par des résultats probants ?".
Il ne pensait pas à la Justice ? Je l'y mets.
Christiane Taubira : la politique du pire
Il n'y a rien à faire pour arrêter le cours fatal d'un dogmatisme judiciaire qui, paré de l'humanisme socialiste, s'apprête à nous fabriquer des lendemains qui déchantent et des victimes délaissées.
Rien à faire vraiment ?
La loi de lutte contre la récidive doit être inscrite au Conseil des ministres au mois de septembre. Son esprit est détestable et la réalité a beau lui apporter quotidiennement des démentis pour l'augmentation de l'insécurité, la gravité de beaucoup de délits et de crimes, l'intensité accrue de la violence et un univers pénitentiaire non pas à supprimer mais à renforcer dans son utilité et sa dignité, nul doute que, le moment venu, elle obtiendra l'aval d'un Pouvoir pourtant écartelé entre ce qu'il pressent des attentes citoyennes et son idéologie noblement compassionnelle. A nos risques et périls.
S'il reste un peu d'espoir, il tient au fait que Christiane Taubira, l'ivresse parlementaire dissipée, ne s'accorde pas avec l'intuition prudente du président de la République qui perçoit et craint les orages politiques, se trouve clairement en opposition avec le pragmatisme intelligent de Manuel Valls et surtout heurte le bon sens d'une partie des parlementaires socialistes, par exemple le député Dominique Raimbourg, qui mesurent le désastre de ce qui se prépare parce qu'ils sont en contact avec le peuple au quotidien. Celui-ci se soucie comme d'une guigne que les peines planchers aient été votées sous Nicolas Sarkozy, seul compte pour lui le fait qu'elles ont démontré leur efficacité et que donc elles devraient être conservées dans notre arsenal répressif.
Pourtant, on s'oriente vers leur abolition.
L'une des idées les plus absurdes et dangereuses proposée par cette "conférence de consensus" initiée par la ministre sous la présidence de la syndiquée Nicole Maestracci, depuis peu au Conseil constitutionnel, évoque la possibilité d'une libération automatique des détenus aux deux tiers de la peine, voire à mi-peine.
Est-il nécessaire d'insister sur l'aberration d'une telle mesure, justement dénoncée par Dominique Raimbourg lui-même ? Comment même a-t-on pu envisager qu'un moment crucial de la vie pénitentiaire puisse ainsi se passer de délibération et entraîner, si rapidement, des élargissements qui, pour conditionnels qu'ils soient, choqueront les victimes ou leurs familles et offenseront les tenants d'une exécution cohérente des peines ?
Si l'ironie est permise, il est piquant de constater que l'automaticité serait instaurée là où elle est la plus néfaste alors que les peines planchers n'ont pas cessé d'être décriées par la gauche parce qu'elles réduisaient la liberté du juge. Comprenne qui pourra, qui voudra.
Ce qui également laisse songeur, pour ne pas dire plus, tient à cette volonté de ne pas faire révoquer automatiquement le sursis d'une première condamnation quand une deuxième a été édictée. Seule cette dernière serait exécutée de sorte que, conséquence inévitable, le sursis perdrait toute valeur et n'aurait plus le moindre effet dissuasif alors qu'il en a déjà si peu.
La rétention de sûreté tellement honnie lors de son apparition et inspirée de certains exemples étrangers visant, après avoir sanctionné le passé, à préserver l'avenir, ne serait pas sacrifiée, protégée paradoxalement par la difficulté de sa suppression.
Les élucubrations - comment nommer autrement des concepts que la réalité non seulement n'a pas validés mais rendrait dévastateurs pour la société si jamais une majorité d'irresponsables et de naïfs les approuvaient ? - de ce projet de loi sont articulées sur la double idée fausse que dans une communauté, les coupables sont plus à considérer que les victimes, les transgresseurs et les détenus plus que la masse des honnêtes gens et que la prison est non pas un outil irremplaçable de sauvegarde sociale mais la cause de tout, notamment des crimes, des délits et de leur récidive.
Aussi simpliste que soit l'argument, il y a, de la part de ceux qui tiennent la détestation de l'enfermement pour l'alpha et l'oméga de toute politique pénale, l'obsession de déplorer que la prison ne prévienne pas la récidive. Alors qu'elle a joué ce rôle au moins pour les 50% qui n'y reviennent plus et que pour la seconde moitié il faut sans doute accepter le constat déprimant pour une gauche rêveuse que la vie libre est criminogène et que ce n'est pas l'enfermement qui a suscité la rechute mais soi-même par paresse, facilité, lucre ou mépris.
Il y en a assez de ces poncifs qui traînent dans les couloirs d'une pensée conformiste.
La rigueur ne démontre pas l'absence de coeur des gouvernants mais au contraire, quand ils savent réaliser cette synthèse opératoire entre la sévérité et l'humanité, leur souci de l'autre, leur sollicitude collective et la capacité de l'Etat à prendre en charge les faibles, les fragiles, les blessés de l'insécurité.
Des familles de victimes représentées par Sophie Piel dont les parents ont été assassinés en 1982 ont alerté la garde des Sceaux sur le caractère néfaste de ces dispositions. Sans résultat autre qu'une lettre générale et des courriers personnalisés emplis d'erreurs révélatrices du peu d'attention que les tragédies suscitent dans les univers bureaucratiques.
Mais Dominique Raimbourg a reçu Sophie Piel. Ce n'est presque rien mais aujourd'hui on se contente de peu.
Cette politique du pire, qui nous attend et qui s'élabore en toute bonne conscience socialiste, qu'on ne se leurre pas, aura des effets ravageurs sur le plan politique. Que la ministre garde bien en mémoire les conséquences délétères, pour ses amis du Syndicat de la magistrature, du Mur des cons - pour moi, les cons du Mur - sur le plan syndical. Une chute très sensible, une régression forte.
Cela pourrait se généraliser si Christiane Taubira continue à faire, d'une certaine façon, cavalier seul.
François Hollande ne s'est-il pas faussement interrogé récemment lors de sa rencontre informelle avec cent journalistes :"Pourquoi les Français adhéreraient-ils à une politique si elle ne se traduit pas par des résultats probants ?".
Il ne pensait pas à la Justice ? Je l'y mets.
- astrorock
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- Inscription Forum: 27 Mar 2005 13:59
- Localisation: Jurassien rural du 9.3 néo breton.
speedfan a écrit:astrorock a écrit:c'est certe subtil, mais la reponse de joich est celle inscrite dans la constitution.
je milite pour une separation franche et nette, mais je sais que ce n'est pas populaire, et les premiers a ne pas vouloir de cette reelle indepandance sont les juges.
Sacré gauchiste, c'est ce que veux faire Hollande avec une séparation entre parquet et exécutif. T'es un vrai socialo finalement toi . Sarkozy ne voulait surtout pas en entendre parlé, il voulait meme supprimer le juge d'instruction ce con .
tu reve, rien a voir avec une vraie separation.
quand a la supression du juge d'instruction c'est une tres bonne idee.
- astrorock
- Messages: 10618
- Inscription Forum: 27 Mar 2005 13:59
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Joich a écrit:astrorock a écrit:dois y avoir de la donzelle a la piscine....
speed.....
Avec ma blonde et les trois lardons, je ne vais pas avoir des masses de temps pour me rincer les yeux
C'est pas parce que tu es au régime que tu n'as pas le droit de regarder le menu
- LaurentV
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