Le FIL des optimistes.

[Robert64]

Oui, mais lui c'est un mauvais: il n'a pas envoyé ses opposants au goulag comme il aurait dû. Ce n'est jamais bon de faire dans la demi mesure.
A+

Vu le nombre ça aurait été techniquement impossible.

Mais non, et tu le sais très bien. Dans toutes les émeutes, révolutions, etc...il y a 10% d'activistes, 10% de contre et les 80% restants sont de l'avis du vainqueur.
A+

[poilau]

Tu verras dans 6 mois, pour l'homme qui voulait du changement l'émeute risque de faire mal .

[Snatcher]

Ça fait des mois et des mois que tu nous parles d'émeute...
Quelle émeute ? De toutes façons il ne se représentera pas.
En guise d'émeute les gens voteront Juppé.

[Robert64]

Ça fait des mois et des mois que tu nous parles d'émeute...
Quelle émeute ? De toutes façons il ne se représentera pas.
En guise d'émeute les gens voteront Juppé.

T'ain, ça va faire mal ça !

[fargo]

[poilau]

Ce serait inédit un président sortant non atteint par la limite d'âge qui ne se représente pas.

[Snatcher]

Ça fait des mois et des mois que tu nous parles d'émeute...
Quelle émeute ? De toutes façons il ne se représentera pas.
En guise d'émeute les gens voteront Juppé.

T'ain, ça va faire mal ça !

HASTA LA VICTORIA SIEMPRE !

[poilau]

En tout cas il donne déjà l'impression d'être sur le trône .

[poilau]

Métros gratuits aujourd'hui à Paris . Je suis trop ému, c'est bien la première fois que les socialistes me font un cadeau .

[555]

INFLEXION POSITIVE DE LA CROISSANCE DANS PLUSIEURS ÉCONOMIES AVANCÉES
OCDE 12/12/2016

Les indicateurs composites avancés (ICA) de l’OCDE, conçus pour anticiper les points de retournement de l’activité par rapport à sa tendance, signalent une inflexion positive de la croissance dans plusieurs économies avancées et dans les principales économies émergentes.

Des signes d’amélioration des perspectives de croissance apparaissent aux États-Unis, au Canada, en Allemagne et en France. Au Royaume-Uni, de premiers signes d’amélioration conjoncturelle à court terme se dessinent également.





Source : http://www.economiematin.fr/news-croiss ... entes-ocde

[Joich]

Il y a deux ans quand le pétrole s'est mis à baisser, je l'ai dit et je n'étais pas le seul. Le prix du pétrole et sa disponibilité pilotent l'économie. Pétrole pas cher et massivement disponible = hausse du PIB. Pétrole rare et/ou cher = PIB en chute. Avec une inertie du système d'environ 2 ans. A n+1 ou 2 après le point bas, le PIB commence à remonter, à n+2 ou 3, le chômage baisse.

Je vous laisse conclure sur ce qui va se passer dans 2 ans maintenant que le pétrole remonte

[Joich]

Tiens, les optimistes, pour le fun

Le pétrole baisse ? Bonne nouvelle ! Le consommateur récupère du pouvoir d’achat, la balance commerciale des couleurs, et les commentateurs économiques de l’entrain. Pourtant, cette baisse du pétrole annonce peut-être un événement qui généralement ne fait rire personne : une nouvelle crise financière, alors que les pays de l’OCDE se débattent toujours dans les conséquences de la précédente, et que les émergents sont en train de décélérer un peu partout.

Car le baril à 40$ a une conséquence directe dans le monde pétrolier : il conduit à remettre sur étagères un certain nombre d’investissements dans l’exploration-production. Ce prix est en particulier bien trop bas pour rendre rentable les projets dans les sables bitumineux canadiens, dans l’essentiel des gisements de pétrole de roche mère américains, ou dans l’offshore profond un peu complexe, comme celui du Brésil.

Les observateurs du secteur s’attendent ainsi à ce que l’année 2015 soit marquée par une baisse de 20% à 40% des investissements des pétroliers, dont les suppressions de poste chez les parapétroliers sont la marque la plus immédiate.

Mais moins d’investissements aujourd’hui, c’est moins de production additionnelle demain. Comme la production mondiale de vrai pétrole (sans les liquides de gaz et les condensats) est à peu près stable depuis 2005, et que les gisements déjà en exploitation déclinent globalement de 5% par an, ce défaut d’investissement dans de nouvelles capacités devrait conduire à une production en baisse d’ici 1 à 5 ans.

Après, l’enchainement est implacable : moins de pétrole, c’est moins d’engins qui roulent, volent ou naviguent, donc moins d’échanges, donc moins de PIB, puisque pas une activité productive ne peut opérer sans transports amont et aval. Et moins de PIB, c’est moins de revenus pour rembourser une montagne de dettes qui n’en peut plus d’enfler.

A un moment, l’édifice chancellera. Aurons nous le défaut d’un état un peu conséquent ? Une réédition des défauts sur les crédits immobiliers aux USA ? Un crash boursier ? Dans tous les cas de figure, une crise devrait faire partie intégrante du contexte dans lequel nos candidats aux présidentielles vont réfléchir à leurs projets. Pas sur que ce soit le cas !

https://www.manicore.com/documentation/ ... arche.html

[ENZO-ENZO]

Etes-vous sûr d'être sur le fil des optimistes?

[papinova]

Il y a deux ans quand le pétrole s'est mis à baisser, je l'ai dit et je n'étais pas le seul. Le prix du pétrole et sa disponibilité pilotent l'économie. Pétrole pas cher et massivement disponible = hausse du PIB. Pétrole rare et/ou cher = PIB en chute. Avec une inertie du système d'environ 2 ans. A n+1 ou 2 après le point bas, le PIB commence à remonter, à n+2 ou 3, le chômage baisse.

Je vous laisse conclure sur ce qui va se passer dans 2 ans maintenant que le pétrole remonte

Ca fout les chocotte, même si je comprends pas tout (chui dans les 95 % et sur du court terme niveau longévité)... Bon, en clair, faut-il que je remplisse ma cuve de fuel maintenant, quitte à priver mes petits nenfants de Noyel ?

[robob]

Etes-vous sûr d'être sur le fil des optimistes?

Il fera beau demain et ce soir j'ai de la bonne soupe maison aux poireaux.