brugam a écrit:oups !
Heureusement qu'Alain suit, lui...
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brugam a écrit:oups !
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papinova a écrit:brugam a écrit:oups !
Heureusement qu'Alain suit, lui...
L’étude EPI3 montre que l’homéopathie n’est pas un moyen de traitement marginal, c’est une thérapeutique conventionnelle intégrée dans la pratique médicale.
L’homéopathie s’inscrit dans le quotidien de nombreux médecins. Elle est efficiente et présente un intérêt majeur de santé publique. C’est ce que révèlent les résultats du programme EPI3, une vaste série d’études (plus de 10) destinée à évaluer l’impact en santé de la pratique médicale homéopathique en essayant de répondre à deux questions: quelle est la place de l’homéopathie en France?, quel est son intérêt pour la santé publique ? Et les résultats permettent de lever de nombreux a priori sur le médicament homéopathique.
La plus vaste étude de pharmaco-épidémiologie en médecine générale
EPI3 est la plus importante étude de pharmaco-épidémiologie réalisée en médecine générale en France. Elle a été conduite de 2006 à 2010 pour répondre à la demande des autorités de santé. S’il a été réalisé à l’initiative des laboratoires Boiron, ce programme a été coordonné par un cabinet indépendant (Laser) dirigé par le Pr Lucien Abenhaïm, ancien directeur général de la Santé, et supervisé par un comité scientifique, présidé par le Pr Bernard Bégaud, pharmacologue (université Bordeaux-II et U 657 Inserm), et comprenant des personnalités comme le Dr Bernard Avouac (Paris) ou le Pr Jacques Massol (Besançon), tous les deux anciens membres de la Commission de transparence et loin du monde de l’homéopathie. Cette étude respecte le code de conduite qui a été préconisé par l’agence européenne, le code ENCePP (European Network of Centres for Pharmacoepidemiology and Pharmacovigilance).
Le Pr Abenhaïm a souligné que "l’étude EPI3 s’est menée dans des conditions d’indépendance absolue : nous avons pu à la fois réunir un comité scientifique, collecter des données, faire les analyses et produire des rapports et des résultats sans aucune intervention des laboratoires Boiron".
L’étude a inclus 8559 patients recrutés par 825 médecins généralistes représentatifs de la pratique française en homéopathie ou en allopathie.
Keron a écrit:Ce sujet attirera forcément des esprits cartésiens qui vont préférer des pilules chimiques aux effets secondaires dévastateurs et qui vont déclarer que c'est que du placébo.
Le mieux, c'est de tester. Et je ne peux nier l'effet de certaines pilules comme Stodal pour la toux. La toux disparait bien que ce soit sur un enfant qui est peu sensible à l'effet placebo et qui toussera si cela le grattouille qu'à un adulte plus réservé. Difficile de se prononcer sur des cures longue durée car on ignorera toujours si nous avons été protégé ou tout simplement épargné par un virus cette année là.
Je suis plus pour les plantes, tisanes, bourgeons etc et même les fleurs de bach. La première fois que l'on a testé en famille le rescue, tout le monde a fait un gros dodo. Donc placébo ou pas, je m'en moque. Tant que cela fonctionne. C'est le principe d'un bon médicament non ? Apaiser ou soigner un effet sans effet secondaire ? Non ?
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Keron a écrit:Une étude qui montre l'efficacité de l’homéopathie :
http://www.apmh.asso.fr/breves/view/67L’étude EPI3 montre que l’homéopathie n’est pas un moyen de traitement marginal, c’est une thérapeutique conventionnelle intégrée dans la pratique médicale.
L’homéopathie s’inscrit dans le quotidien de nombreux médecins. Elle est efficiente et présente un intérêt majeur de santé publique. C’est ce que révèlent les résultats du programme EPI3, une vaste série d’études (plus de 10) destinée à évaluer l’impact en santé de la pratique médicale homéopathique en essayant de répondre à deux questions: quelle est la place de l’homéopathie en France?, quel est son intérêt pour la santé publique ? Et les résultats permettent de lever de nombreux a priori sur le médicament homéopathique.
La plus vaste étude de pharmaco-épidémiologie en médecine générale
EPI3 est la plus importante étude de pharmaco-épidémiologie réalisée en médecine générale en France. Elle a été conduite de 2006 à 2010 pour répondre à la demande des autorités de santé. S’il a été réalisé à l’initiative des laboratoires Boiron, ce programme a été coordonné par un cabinet indépendant (Laser) dirigé par le Pr Lucien Abenhaïm, ancien directeur général de la Santé, et supervisé par un comité scientifique, présidé par le Pr Bernard Bégaud, pharmacologue (université Bordeaux-II et U 657 Inserm), et comprenant des personnalités comme le Dr Bernard Avouac (Paris) ou le Pr Jacques Massol (Besançon), tous les deux anciens membres de la Commission de transparence et loin du monde de l’homéopathie. Cette étude respecte le code de conduite qui a été préconisé par l’agence européenne, le code ENCePP (European Network of Centres for Pharmacoepidemiology and Pharmacovigilance).
Le Pr Abenhaïm a souligné que "l’étude EPI3 s’est menée dans des conditions d’indépendance absolue : nous avons pu à la fois réunir un comité scientifique, collecter des données, faire les analyses et produire des rapports et des résultats sans aucune intervention des laboratoires Boiron".
L’étude a inclus 8559 patients recrutés par 825 médecins généralistes représentatifs de la pratique française en homéopathie ou en allopathie.
Un article :
http://leplus.nouvelobs.com/contributio ... euses.html
Conclusions
Patients with ADD, who chose to consult GPs prescribing homeopathy reported less use of psychotropic drugs, and were marginally more likely to experience clinical improvement, than patients managed with conventional care. Results may reflect differences in physicians’ management and patients’ preferences as well as statistical regression to the mean.
"a result of borderline statistical significance"
Conclusions
Patients with ADDs choosing to consult GPs who prescribe homeopathy in addition to conventional medicine reported use of fewer psychotropic drugs and were marginally more likely to experience clinical improvement than patients managed with conventional care. These findings may result from the combined effect of inefficacy of conventional psychotropic drugs and statistical regression to the mean as well as from effective homeopathic management.
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