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L'évacuation des zadistes de notre dame des landes

Message » 27 Fév 2018 11:19

Au fait, ces branleurs de zadistes. Ils vivent de quoi ? Ce sont des parasites de la société ? :evil:
Keron
 
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Message » 27 Fév 2018 11:40

lls vivent d'aides et de subventions.

Comme tout bon paysan qui se respecte :hehe:
jujulolo
 
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Message » 27 Fév 2018 11:43

Les aides devraient être conditionnées à la capacité et la volonté des citoyens de respecter la loi. A partir du moment où un citoyen se marginalise et décide d'enfreindre la loi malgré les rappels, toute aide devrait être suspendue.
Keron
 
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Message » 27 Fév 2018 14:52

Keron a écrit:Les aides devraient être conditionnées à la capacité et la volonté des citoyens de respecter la loi. A partir du moment où un citoyen se marginalise et décide d'enfreindre la loi malgré les rappels, toute aide devrait être suspendue.



tu parles des agriculteurs qui bloquent les routes et qui cassent tout quand ils recoivent pas assez de subventions?
jujulolo
 
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Message » 28 Fév 2018 2:20

:mdr:
Snatcher
 
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Message » 01 Mar 2018 11:42

J - 30 avant l'évacuation des zadistes squatteurs de notre dame des landes 8)
Rif hi-fi
 
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Message » 04 Avr 2018 0:30

Les choses se précisent, et l'évacuation des zadistes de notre dame des landes pourrait intervenir à partir du lundi 9 avril : https://www.ouest-france.fr/pays-de-la- ... il-5661547
Rif hi-fi
 
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Message » 04 Avr 2018 0:36

Autant donner un coup de pied dans une fourmilière ou un nid de guèpes...c'est à mon avis une grosse erreur...
Comment transformer des utopistes un peu branleurs en activistes qui vont se disperser un peu partout et expliquer le mode d'emploi du parfait chieur dans toutes les régions de France pour y parasiter tout projet de construction.
Un problème est désamorcé et il faut absoluement venir le réactiver...
Bon ensuite...si les lieux servent désormais de camp d'entrainement pour ces mêmes activistes ça peut se comprendre mais j'ai un doute.

Perso je les laisserais tranquiles, officialiserais même le passage de propriété pour un test d'agriculture alternative et j'attendrais de voir ce que ça donne.
Si notre système agricole actuel de tarés basé sur la guerre à la nature s'effondre (puisqu'il est construit sur les cendres de la deuxième guerre mondiale et par les mêmes acteurs, les tanks devenant des tracteurs et les armes bactériologiques des engrais et pesticides), il serait interessant de voir ce que donne cette expérience.
Oui parce qu'après la deuxième guerre mondiale, de toute évidence on fait la guerre à tout ce qui vit...les sols crèvent, les insectes crèvent, les oiseaux crèvent...ok on a une production de guerre mais sur le long terme...
Laisser ceux qui ont la mort comme proffession se charger de la production de bouffe n'était à mon avis pas très heureux, de toute évidence...les conséquences commencent seulement à pointer le bout de leur nez.
Laisser ces gamins un peu frappadingues aller au bout de leurs utopies est un peu fou, mais pas autant que laisser les multinationales de la chimie accroitre leur emprise sur un monde qu'ils massacrent.

C'était ma minute gauchiste, naïve et écolo bobo...rassurez-vous ça ne dure pas :wink:
Dernière édition par Boc21 le 11 Avr 2018 14:37, édité 3 fois.
Boc21
 
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Message » 04 Avr 2018 0:38

Nous n'avons pas des îles désertes dans nos DOM ou TOM ou aller parachuter ces braves gens qui rêvent d'herbe et d'eau fraîche ?
Keron
 
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Message » 04 Avr 2018 8:53

Keron a écrit:Les aides devraient être conditionnées à la capacité et la volonté des citoyens de respecter la loi. A partir du moment où un citoyen se marginalise et décide d'enfreindre la loi malgré les rappels, toute aide devrait être suspendue.


Je suis d'accord sur le principe, mais la mise en application peut être délicate... Il y a un vrai risque de glissement vers une "notation sociale" telle que mise en place en chine...
gloinfred
 
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Message » 04 Avr 2018 9:08

Boc21 a écrit:Autant donner un coup de pied dans une fourmilière ou un nid de guèpes...c'est à mon avis une grosse erreur...
Comment transformer des utopistes un peu branleurs en activistes qui vont se disperser un peu partout et expliquer le mode d'emploi du parfait chieur dans toutes les régions de France pour y parasiter tout projet de construction.
Un problème est désamorcé et il faut absoluement venir le réactiver...
Bon ensuite...si les lieux servent désormais de camp d'entrainement pour ces mêmes activistes ça peut se comprendre mais j'ai un doute.

Perso je les laisserais tranquiles, officialiserais même le passage de propriété pour un test d'agriculture alternative et j'attendrais de voir ce que ça donne.
Si notre système agricole actuel de tarés (puisqu'il est construit sur les cendres de la deuxième guerre mondiale et par les mêmes acteurs, les tanks devenant des tracteurs et les armes bactériologiques des engrais et pesticides), il serait interessant de voir ce que donne cette expérience.
Oui parce qu'après la deuxième guerre mondiale, de toute évidence on fait la guerre à tout ce qui vit...les sols crèvent, les insectes crèvent, les oiseaux crèvent...ok on a une production de guerre mais sur le long terme...
Laisser ceux qui ont la mort comme proffession se charger de la production de bouffe n'était à mon avis pas très heureux, de toute évidence...les conséquences commencent seulement à pointer le bout de leur nez.
Laisser ces gamins un peu frappadingues aller au bout de leurs utopies est un peu fou, mais pas autant que laisser les multinationales de la chimie accroitre leur emprise sur un monde qu'ils massacrent.

C'était ma minute gauchiste, naïve et écolo bobo...rassurez-vous ça ne dure pas :wink:

Pour le Larzac, ça c'est terminé comme ça. Transposable ?

En mai 1980, la cour de cassation annule les 66 procédures d’expropriation. François Mitterrand est élu président de la République française le 10 mai 1981 et déclare durant le Conseil des ministres que le projet d'extension du camp militaire du Larzac est abandonné (conformément à sa promesse faite aux paysans larzaciens le 2 décembre 1978 à Paris). Ensuite, pour certains des 450 propriétaires impliqués, tout change de nouveau. Certains remboursent l'État français et récupèrent leurs biens, d'autres, très peu, demandent que l'expropriation aille à son terme. Une logique de spéculation s'était d'ailleurs produite dans les années 1970, favorisée selon l'avocat Jean-Jacques de Félice, par des milieux de droite et d'extrême-droite : des responsables politiques avaient acheté des terrains sur le Larzac sachant qu'ils allaient être expropriés, en prévoyant que l'expropriation allait multiplier par 10 la valeur des terrains qu'ils avaient acheté à bas prix. Finalement, il restera un solde de 6 300 hectares de terres et bâtiments acquis définitivement par l'État. Cette unité foncière à vocation agricole est alors un cas unique en France parce que d'un seul tenant. Les terres n'ont jamais cessé d'êtres exploitées durant la lutte que ce soit par les 103, ou par les agriculteurs squatteurs.

Dès l'abandon du projet d'extension, les paysans étudient un moyen juridique pour la gestion des 6 300 hectares tout en favorisant les nouvelles installations agricoles au lieu de l'agrandissement usuel des fermes existantes. Il prend la forme d'une Commission intercantonale pour l'aménagement foncier du Larzac (CIAF) et d'une Commission Communale d'Aménagement Foncier (CCAF), créées en février 1982 dans chacune des douze communes. Ces commissions choisissent des candidats à l'agriculture portant des projets nécessitant une grande main-d'œuvre, dans le but d'accroître la population et d'amplifier la vie sociale. Elles permettent le dénombrement des terres disponibles, la répartition et leur classement agronomique. Le rythme de travail est d'une réunion tous les mois. 2 800 hectares seront donnés à de nouvelles exploitations. Cela débouchera sur 22 exploitations nouvellement créées en plus du maintien des 103. Des échanges de terres entre paysans ont aussi lieu, créant des îlots cohérents autour des sièges d'exploitation existants avant la lutte. Durant environ 2 ans, la discussion reste collective avec toujours cet esprit de groupe.

création de la Société civile des Terres du Larzac (SCTL)
Puis, après une réflexion commencée en décembre 1982, ce Larzac que Bernard Lambert, mort le 25 juin 1984, appelait le « laboratoire foncier » se concrétise véritablement le 3 janvier 1985 avec la création de la Société civile des Terres du Larzac (SCTL) dans un but de gestion des terres du Larzac par un organisme indépendant du pouvoir d’État.

Le conseil de gérance, composé de 11 membres, assume les charges, les impôts fonciers, lien avec la MSA, etc. Le 29 avril 1985, les 6 300 hectares de terres et bâtiments sont confiés par l'État français à la SCTL par bail emphytéotique de 60 ans.

Depuis, la SCTL continue de gérer le territoire resté agricole du projet avorté d'extension du camp militaire du Larzac. Progressivement s'est posée la question de la reconduction du bail au terme des soixante années écoulées car les investissements sont lourds pour un nouvel installé dans l'agriculture et la génération de la Lutte voit sa retraite arriver. Le ministre de l'agriculture Stéphane Le Foll a signé le 17 juillet 2013, avec trois des gérants de la société civile des terres du Larzac, le prolongement du bail emphytéotique jusqu'en 2083. Cet événement a donné lieu à des heurts entre la gendarmerie et certains membres de la SCTL d'un côté et des personnes des comités Zad (Zone à défendre) aveyronnais qui souhaitaient que soit posée à cette occasion au ministre la question du projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, autre lieu de lutte symbolique. Cet événement symbolise pour certain la fracture entre l'ancienne génération de LA lutte (celle contre le camp militaire) et la nouvelle qui aspire à en mener d'autres. Quant au camp militaire du Larzac, créé en 1902, étendu sur 3 000 hectares, la fermeture envisagée dans les années 2010 n'est pas décidée


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Message » 04 Avr 2018 9:33

gloinfred a écrit:
Keron a écrit:Les aides devraient être conditionnées à la capacité et la volonté des citoyens de respecter la loi. A partir du moment où un citoyen se marginalise et décide d'enfreindre la loi malgré les rappels, toute aide devrait être suspendue.


Je suis d'accord sur le principe, mais la mise en application peut être délicate... Il y a un vrai risque de glissement vers une "notation sociale" telle que mise en place en chine...


Quoique nous fassions il y aura toujours des dérives possibles. C'est le cas actuellement. Et cela décourage les gens de travailler plus pour gagner moins qu'en travaillant pas pour gagner plus.

Il existe déjà des lois mais peu appliquée. Comme le casier vierge pour prétendre devenir fonctionnaire. Cela fonctionne en bas. Mais tout en haut, on le voit avec nos politiques, lequel est vierge de tout dossier ? Il manque d'une véritable volonté de faire appliquer la loi.
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Message » 04 Avr 2018 10:47

Robert64 a écrit:
Boc21 a écrit:Autant donner un coup de pied dans une fourmilière ou un nid de guèpes...c'est à mon avis une grosse erreur...
Comment transformer des utopistes un peu branleurs en activistes qui vont se disperser un peu partout et expliquer le mode d'emploi du parfait chieur dans toutes les régions de France pour y parasiter tout projet de construction.
Un problème est désamorcé et il faut absoluement venir le réactiver...
Bon ensuite...si les lieux servent désormais de camp d'entrainement pour ces mêmes activistes ça peut se comprendre mais j'ai un doute.

Perso je les laisserais tranquiles, officialiserais même le passage de propriété pour un test d'agriculture alternative et j'attendrais de voir ce que ça donne.
Si notre système agricole actuel de tarés (puisqu'il est construit sur les cendres de la deuxième guerre mondiale et par les mêmes acteurs, les tanks devenant des tracteurs et les armes bactériologiques des engrais et pesticides), il serait interessant de voir ce que donne cette expérience.
Oui parce qu'après la deuxième guerre mondiale, de toute évidence on fait la guerre à tout ce qui vit...les sols crèvent, les insectes crèvent, les oiseaux crèvent...ok on a une production de guerre mais sur le long terme...
Laisser ceux qui ont la mort comme proffession se charger de la production de bouffe n'était à mon avis pas très heureux, de toute évidence...les conséquences commencent seulement à pointer le bout de leur nez.
Laisser ces gamins un peu frappadingues aller au bout de leurs utopies est un peu fou, mais pas autant que laisser les multinationales de la chimie accroitre leur emprise sur un monde qu'ils massacrent.

C'était ma minute gauchiste, naïve et écolo bobo...rassurez-vous ça ne dure pas :wink:

Pour le Larzac, ça c'est terminé comme ça. Transposable ?

En mai 1980, la cour de cassation annule les 66 procédures d’expropriation. François Mitterrand est élu président de la République française le 10 mai 1981 et déclare durant le Conseil des ministres que le projet d'extension du camp militaire du Larzac est abandonné (conformément à sa promesse faite aux paysans larzaciens le 2 décembre 1978 à Paris). Ensuite, pour certains des 450 propriétaires impliqués, tout change de nouveau. Certains remboursent l'État français et récupèrent leurs biens, d'autres, très peu, demandent que l'expropriation aille à son terme. Une logique de spéculation s'était d'ailleurs produite dans les années 1970, favorisée selon l'avocat Jean-Jacques de Félice, par des milieux de droite et d'extrême-droite : des responsables politiques avaient acheté des terrains sur le Larzac sachant qu'ils allaient être expropriés, en prévoyant que l'expropriation allait multiplier par 10 la valeur des terrains qu'ils avaient acheté à bas prix. Finalement, il restera un solde de 6 300 hectares de terres et bâtiments acquis définitivement par l'État. Cette unité foncière à vocation agricole est alors un cas unique en France parce que d'un seul tenant. Les terres n'ont jamais cessé d'êtres exploitées durant la lutte que ce soit par les 103, ou par les agriculteurs squatteurs.

Dès l'abandon du projet d'extension, les paysans étudient un moyen juridique pour la gestion des 6 300 hectares tout en favorisant les nouvelles installations agricoles au lieu de l'agrandissement usuel des fermes existantes. Il prend la forme d'une Commission intercantonale pour l'aménagement foncier du Larzac (CIAF) et d'une Commission Communale d'Aménagement Foncier (CCAF), créées en février 1982 dans chacune des douze communes. Ces commissions choisissent des candidats à l'agriculture portant des projets nécessitant une grande main-d'œuvre, dans le but d'accroître la population et d'amplifier la vie sociale. Elles permettent le dénombrement des terres disponibles, la répartition et leur classement agronomique. Le rythme de travail est d'une réunion tous les mois. 2 800 hectares seront donnés à de nouvelles exploitations. Cela débouchera sur 22 exploitations nouvellement créées en plus du maintien des 103. Des échanges de terres entre paysans ont aussi lieu, créant des îlots cohérents autour des sièges d'exploitation existants avant la lutte. Durant environ 2 ans, la discussion reste collective avec toujours cet esprit de groupe.

création de la Société civile des Terres du Larzac (SCTL)
Puis, après une réflexion commencée en décembre 1982, ce Larzac que Bernard Lambert, mort le 25 juin 1984, appelait le « laboratoire foncier » se concrétise véritablement le 3 janvier 1985 avec la création de la Société civile des Terres du Larzac (SCTL) dans un but de gestion des terres du Larzac par un organisme indépendant du pouvoir d’État.

Le conseil de gérance, composé de 11 membres, assume les charges, les impôts fonciers, lien avec la MSA, etc. Le 29 avril 1985, les 6 300 hectares de terres et bâtiments sont confiés par l'État français à la SCTL par bail emphytéotique de 60 ans.

Depuis, la SCTL continue de gérer le territoire resté agricole du projet avorté d'extension du camp militaire du Larzac. Progressivement s'est posée la question de la reconduction du bail au terme des soixante années écoulées car les investissements sont lourds pour un nouvel installé dans l'agriculture et la génération de la Lutte voit sa retraite arriver. Le ministre de l'agriculture Stéphane Le Foll a signé le 17 juillet 2013, avec trois des gérants de la société civile des terres du Larzac, le prolongement du bail emphytéotique jusqu'en 2083. Cet événement a donné lieu à des heurts entre la gendarmerie et certains membres de la SCTL d'un côté et des personnes des comités Zad (Zone à défendre) aveyronnais qui souhaitaient que soit posée à cette occasion au ministre la question du projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, autre lieu de lutte symbolique. Cet événement symbolise pour certain la fracture entre l'ancienne génération de LA lutte (celle contre le camp militaire) et la nouvelle qui aspire à en mener d'autres. Quant au camp militaire du Larzac, créé en 1902, étendu sur 3 000 hectares, la fermeture envisagée dans les années 2010 n'est pas décidée


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Oui, tout à fait.
C'est ce que préconise José Bové et je crois que c'est un peu ce qui est en train de se faire.

Mais tu as toujours des radicaux pour qui NDL n'est qu'un prétexte pour le baston.

Remy

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Message » 04 Avr 2018 11:18

Oui, mais ceux là , ils finiront par aller chercher ailleurs d'autres occasions de baston plus rigolotes. Parce que la terre, c'est lourd et c'est bas.
A la fin du Larzac aussi, il y en avait des comme ça. Ont fini par se lasser.
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Message » 10 Avr 2018 17:48

Rif hi-fi
 
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