onovno a écrit:Montréal n'est pas une belle ville. C'est une ville américaine où on peut parler en français. C'est très difficile de se garer en centre-ville.
Le vieux Montréal dont le quartier de la petite Italie avec ses restaurants dont certains affichent la bouillabaisse !!... est charmant.
On mange très bien à Montréal, les restos sont nickels et abordables.
Plus le ciel est bleu et ensoleillé, plus il fait froid, la transparence la nuit peut être phénoménale. Au coeur de l'hiver, la lumière certains jours est extraordinaire et comme le dit Charlebois dans sa chanson, on ne la voit nulle part ailleurs. Le fleuve Saint Laurent est gelé et il faut aller à Québec pour voir les énormes blocs de glaces qu'il charrie. Sauf erreur je pense que sa largeur atteint 17km là et sa profondeur proche de 100m. J'ai utilisé un ferry pour traverser d'une rive à l'autre avec ma voiture.
La route entre Montréal et Québec est ennuyeuse... mais Québec est magnifique.
Une village que j'aime beaucoup c'est Ste Agathe des Monts dans la périphérie de Montréal. Très beau lac et jolies maisons en bois. Une maison en bois de 180m2 avec tout le confort et un jardin de 500m2 coûte 150.000€.
Quand ta fille va aller dans un magasin pour acheter des habits on va lui poser la question "c'est pour le froid ou pour être sexy ?"... L'habillement est bien moins cher qu'en France, ça va jusqu'à 50% moins cher.
La mafia est installée partout à Montréal elle est propriétaire de nombreux restos et'hôtels et construit les centres commerciaux... et les routes - mal - pour avoir à les refaire...
+1
J'y suis allé en voyage de noces en 2004. J'ai beaucoup aimé Montréal mais lui ai largement préféré Québec, les plaines d'Abraham, le fabuleux restaurant "Saint Amour" (on était assis sans le savoir à côté d'un couple de stars nationales me souviens plus de leurs noms), la vieille ville, les petites rues... Ville magnifique.
Oui, le Québec donne envie. Il faut juste supporter 6-7 mois d'hiver. Si plus jeune, je supportais facilement les hivers très rudes et ne m'accommodais pas trop des étés très chauds, aujourd'hui, à l'approche de la cinquantaine, c'est plutôt l'inverse.
Pas certain que je puisse aller y finir mes vieux jours comme je l'avais envisagé à une époque.