La Cabasse Ponant 302

[guhaxoro]

Bonjour, j'ai peut être l'occasion d'acheter une Cabasse Ponant 302 en blanche j'aimerai avoir quelque avis car on parle beaucoup de la Cabasse Ponant 188 ou 300 mais la 302 jamais ! meme sur google image il y en a pas.. auriez vous des informations sur cette Cabasse a quel prix peut elle valoir et et t'il bien ? mieux que la 188 ou la 300 ?


"Cachez-vous de moi, et je vous punirai jusqu'à ce que vous ne puissiez plus bouger," dit-il, sa voix basse mais menaçante. J'ai regardé ses yeux cagoulés sous mes cils. Je pouvais sentir l'humidité s'accumuler entre mes jambes à cette menace.

J'ai commencé à me recroqueviller contre le mur, mais il m'a attrapé par les cheveux, les a fistés autour de sa paume et a tiré, me traînant vers le lit et me jetant sur la couette. Je rebondis un peu, pliant mes genoux pour les rapprocher de ma poitrine. Jaime se tenait près du bord, se dressant au-dessus de moi.

Il défit les boutons sur les manches de sa merde lentement, ses yeux ne quittant jamais les miens. Je brûlais pour lui. Et la façon dont il me regardait - comme un prédateur sur le point de ravir sa proie. Je tremblais d'excitation, le regardant enlever sa chemise pendant qu'il me regardait comme un homme se préparant à dévorer un festin préparé juste pour lui. Seulement pour lui.

Rien que dans son pantalon, j'admirais son torse torse nu avec un désir flagrant. Il était déchiré. Bras musclés, poitrine large saupoudrée de poils et abdos solides et durs. Il était grand, tellement plus grand que mon petit cadre. Je tremblais de besoin quand il atteignit le lit.

Il s'assit sur le bord du lit, les pieds fermement plantés sur le sol. Il saisit mes chevilles dans ses grandes mains et me tira vers lui. L'instant suivant, il m'a fait basculer et j'ai été traîné sur ses genoux. J'ai haleté, mortifié de la position compromettante dans laquelle j'étais avec mon cul exposé. En un instant, il a déchiré ma culotte le long de mes jambes.

Il a sorti une jambe de dessous moi pour piéger mes jambes avec sa puissante cuisse. Il n'y avait pas d'espace mobile pour me tortiller, pas d'espace pour m'échapper avec mes fesses légèrement soulevées en l'air.

«Tu sais ce que je vais faire maintenant, Lia? il parlait ainsi, si calmement que la peur et l'excitation ont immédiatement commencé à me submerger. J'ai secoué ma tête. "Tu sais ce qui arrive à une fille sale et sale comme toi?" Il grogna, me fista les cheveux et releva la tête. "Ils sont punis. Punis pour avoir été si peu taquins tout au long du dîner avec leurs jambes nues sur la table et ces lèvres et ces yeux sensuels qui implorent une bonne et dure baise." J'ai gémi d'anticipation. "Je vais prendre plaisir à punir ce joli cul, Lia."
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La première fessée est venue sans avertissement mais avec une force qui m'a secoué au plus profond de moi. L'homme ne savait pas ce qu'était la détente. J'ai crié au choc initial de la douleur qui a assailli ma chair molle avant qu'elle ne se dissipe en une douce piqûre qui a fait flotter l'humidité entre mes cuisses. Il n'y avait aucune touche douce et apaisante qui suivait la douleur que sa main délivrait. Non, il voulait que je ressente chaque picotement sur la peau sensible. Je haletai, me demandant comment j'allais pouvoir prendre une autre de ses impitoyables claques. Je l'ai découvert très bientôt.
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C'était en quelque sorte plus dur et plus puissant que le premier, et sur l'autre joue. J'ai carrément crié cette fois, son avant-bras solide m'empêchant de cambrer le dos. Je pouvais sentir la crête dure de sa queue à travers son pantalon contre mon ventre. Comme un animal qui attend d'être déchaîné.

"Non, s'il vous plaît. Arrêtez," haletai-je. Mais je ne voulais pas qu'il s'arrête. J'aimais ce qu'il faisait, et la preuve pure de cela était à quel point ma chatte était trempée. J'étais sûr que je frottais une partie de cette humidité sur sa cuisse quand je me tortillais.

"Ca c'était quoi?" Il grogna. «Tu veux que j'arrête?

"O-oui. S'il vous plaît."

En réponse, il m'a donné une fessée trois fois de suite, ne me laissant pas le temps d'enregistrer le choc à chacun jusqu'à ce qu'il s'accumule en une délicieuse piqûre qui a explosé sur mes joues.

Il n'arrêtait pas de me fesser, certains sur une joue puis l'autre alternativement, et d'autres sur la même joue, au même endroit, provoquant un plaisir aveuglant mêlé de douleur à fleurir sur la chair toujours plus sensible de mon cul. Il n'a pas épargné le haut de mes cuisses. Il les a giflés encore et encore jusqu'à ce que je sois sûr que mon cul et mes cuisses étaient de couleur rouge foncé. J'ai perdu la notion du temps, de tout autre que sa main et mon cul et à quel point c'était bon d'être puni comme une poupée de chiffon sur les genoux de Jaime.

Au moment où il s'arrêta, je tremblais, molle sur ses genoux, mes cheveux collant à mon cou de sueur. Il me prit sans effort dans ses bras, sa chaleur s'infiltrant en moi. La peau de mon cul me faisait mal. Je me pelotonnai contre lui, enroulant mes bras autour de son cou, alors qu'il marchait sur le côté du lit pour m'allonger sur le lit. Je me suis déplacé vers mon front, grimaçant quand mon cul a glissé le long des draps. C'était incroyablement douloureux.

Je l'ai regardé ouvrir son pantalon et le laisser tomber au sol, en sortant soigneusement avant de glisser son boxer le long de ses jambes et de suivre le même mouvement. J'ai dégluti quand j'ai vu son sexe jaillir, dur et chaud et prêt, debout et fier.

«Viens ici», ordonna-t-il.

"Non merci."

Mes mains ont volé vers ma bouche sous le choc. Est-ce que j'ai vraiment dit cela à voix haute?

Je reculai plus loin, mettant autant de distance que possible entre l'homme noir et moi. Malgré les yeux plissés et l'air renfrogné mortel sur son visage, j'ai dû réprimer l'envie de l

[PBN94]

Bonsoir,
Celles ci : https://www.forumcabasse.org/wiki/Ponant ?

[cecmateleo]

Bonjour,

Un peu étrange, le même post il y a 2 ans, mot pour mot....

https://www.homecinema-fr.com/forum/enceintes-haute-fidelite/la-cabasse-ponant-302-t30092621.html

[PBN94]

Effectivement c'est étonnant !