Politique intérieure...

[SEM]

pendant la terreur, ou je vous rappelle le tribunal révolutionnaire n'y allait pas de main morte, et se passait sans problème de preuves, la police avait reçu tellement de lettres de dénonciation anonymes, que c'est comme si une moitié de Paris en avait dénoncé l'autre....
triste humanité...
ces filmeurs de pacotilles, tous se prenant pour de grands reporters, me semblent être taillés dans le même bois, pas celui dont on se sert pour faire des flûtes, mais plutôt les corbeaux...
heureusement qu'il y a la justice, en laquelle en tant que citoyen respectueux des lois je place ma confiance, et qui est seule capable de faire la lumière dans cette affaire, et prendra des sanctions si nécessaire...perso je n'ai pas regardé les vidéos, car je n'aime pas être manipulé, et mon opinion même de peu d'importance, je me la réserve
Fin des années 70, en formation à Paris, je suis tombé par hasard sur une manif...a 2 mètres de moi plusieurs membres des forces de l'ordre faisaient reculer des manifestants, tout semblait aller bon enfant, quand soudain, et sans que qui que ce soit le touche (j'étais même pas à 2 mètres, j'ai vu parfaitement)), un manifestant s'est jeté au sol en se tenant la tête et en braillant, simulant d'avoir pris un coup...un peu comme les tricheurs du foute, avec leurs penaltys à la c...
je me suis rapidement éloigné pour ne pas être mêlé à cette histoire, mais depuis on a du mal à me faire prendre des vessies pour des lanternes...

[poilau]

Tu oublies que la victime présumée savait parfaitement qu'il existait des caméras dans son bureau. Il hurle avant même les incidents, encore dehors, pour rameuter les gens dans le studio. Comme je l'ai dit plus haut, il y a des zones d'ombre.

En garde à vue, je présume qu'ils ont pu faire des prises de sang pour les drogues. Donc l'enquête aura tous les éléments en main. Idem d'une éventuelle fouille des locaux. Mais tests aussi des policiers pour les drogues éventuelles. Cela me semble normal.

De toutes façons, ce n'est pas à nous de trouver des explications. Ni de faire des généralités.

Mais quand bien même il serait drogué, qu'est-ce que ça change?

Les policiers n'avaient pas à l'interpeller dans un espace privé, où le port du masque n'est de toute façon pas obligatoire.

[Kolian]

Tu oublies que la victime présumée savait parfaitement qu'il existait des caméras dans son bureau. Il hurle avant même les incidents, encore dehors, pour rameuter les gens dans le studio. Comme je l'ai dit plus haut, il y a des zones d'ombre.

En garde à vue, je présume qu'ils ont pu faire des prises de sang pour les drogues. Donc l'enquête aura tous les éléments en main. Idem d'une éventuelle fouille des locaux. Mais tests aussi des policiers pour les drogues éventuelles. Cela me semble normal.

De toutes façons, ce n'est pas à nous de trouver des explications. Ni de faire des généralités.

Mais quand bien même il serait drogué, qu'est-ce que ça change?

Les policiers n'avaient pas à l'interpeller dans un espace privé, où le port du masque n'est de toute façon pas obligatoire.

et la ce n'est pas une interpellation mais un passage a tabac...

Vouloir trouver des excuses aux flics en question ...

[Keron]

Tu oublies que la victime présumée savait parfaitement qu'il existait des caméras dans son bureau. Il hurle avant même les incidents, encore dehors, pour rameuter les gens dans le studio. Comme je l'ai dit plus haut, il y a des zones d'ombre.

En garde à vue, je présume qu'ils ont pu faire des prises de sang pour les drogues. Donc l'enquête aura tous les éléments en main. Idem d'une éventuelle fouille des locaux. Mais tests aussi des policiers pour les drogues éventuelles. Cela me semble normal.

De toutes façons, ce n'est pas à nous de trouver des explications. Ni de faire des généralités.

Mais quand bien même il serait drogué, qu'est-ce que ça change?

Les policiers n'avaient pas à l'interpeller dans un espace privé, où le port du masque n'est de toute façon pas obligatoire.

Il a été pris en contrôle dans l'espace public. Puis s'est vite réfugié dans les bureaux où il savait y avoir des caméras et des amis. Le reste sera analysé par l'enquête. Maintenant si tu veux témoigner et faire tomber des têtes de flic, tu peux appeler le numéro vert qui doit exister.

Souvenez vous de l'affaire Théo. C'était forcément une bavure de flic. Même Hollande avait été à son chevet. Puis tout est apparu au grand jour.

S'il était drogué, cela change que cela lui donnait un motif supplémentaire, de vouloir éviter un contrôle. La police et la justice saura dire s'il avait des antécédents; Idem des policiers.

[laurent martiarena]

La science, la technologie progresse sans cesse, inéluctablement. De nos jours pratiquement tout le monde possède sur lui un moyen de filmer et d'enregistrer tout et n'importe quoi. La vie privée et la vie publique ainsi ce confondent pour le meilleurs ou pour le pire.

perso rien ne me gêne, il faut vivre avec le temps présent, la nostalgie c'est bien mais c'est vain.

Donc que ce soit un membre des forces de l'ordre, un criminel ou n'importe qui d'autre, tous doivent prendre conscience qu'un secret devient difficile à garder, une action quelle qu'elle soit sera potentiellement rapidement connu de tous !

[Hoian]

De toute façon, même quand Amnesty International, l'ONU, l'Union Européenne, le défenseur des droits, les journalistes de terrains, les avocats dénonçaient les violences policières faites aux Gilets Jaunes et lors d'autres manifestations de personnes ne partageant l'idéologie LREM, l'ambiance générale de ce fil étaient dans le déni.
Trouvant toujours d'hypothétiques prétextes aux forces de l'ordre et condamnant immédiatement et sans autres procès ceux qui avaient le malheur de ne pas partager les points de vue du gouvernement.
Tous les policiers ne sont évidemment pas des ripoux, loin de moi une telle idée.
Mais le refus d'accepter la réalité devant de tels faits relève bien du déni.
C'est comme dans les années 70, quand on voyait un homme battre sa femme et qu'on inventait de fausses excuses pour accepter ce qui n'était pas acceptable.

[Keron]

Vous voulez une police qui y va avec des gants de velours et des petits fleurs ? C'est irréaliste. Quand tu vois en face des zadistes complètement drogués et violents, d'autres qui balancent n'importe quoi sur les forces de l'ordre comme dans un jeu vidéo, des jeunes qui leur crachent dessus ou provoquent à outrance... à un moment, il ne faut plus y aller avec une petite cuillère.

Sur de nombreux cas, il y a peut-être des réactions disproportionnées mais ce sont bien des réactions face à des menaces ou faits. Ici un refus de contrôle et verbalisation.

Il n'y a pas de déni mais il ne doit pas y avoir de lynchage systématique des policier sans avoir eu les conclusions d'une enquête. C'est très simple en fait. Ce fait tombe en plein débat politique qui déchire les laxistes bobos et et de l'autre ceux qui veulent un retour à un ordre républicain. Deux visions du monde qui se heurtent. Et tout fait divers va être exploité pour toucher l'émotion des citoyens et tenter d'emporter leur adhésion. Au milieu, la justice va tenter d'y voir clair mais avec une pression terrible.

[led balloon]

Souvenez vous de l'affaire Théo. C'était forcément une bavure de flic. Même Hollande avait été à son chevet. Puis tout est apparu au grand jour.

Oui. C'était une bavure. La suite l'a bien démontré.

S'il était drogué, cela change que cela lui donnait un motif supplémentaire, de vouloir éviter un contrôle. La police et la justice saura dire s'il avait des antécédents; Idem des policiers.

Et donc, s'il a des antécédents, ça justifierait le passage à tabac par des policiers qui ne sont forcément pas au courant ?
Tu te rends compte que c'est n'importe quoi ?

[led balloon]

L'avis (toujours très pertinent) de Noam Anouar.



On pourra noter qu'il explique que de très nombreux policiers considèrent cela comme évidemment indéfendable. Mais ils font surement partie de la mouvance qui fait "un lynchage systématique des policiers".

[poilau]

Vous voulez une police qui y va avec des gants de velours et des petits fleurs ? C'est irréaliste. Quand tu vois en face des zadistes complètement drogués et violents, d'autres qui balancent n'importe quoi sur les forces de l'ordre comme dans un jeu vidéo, des jeunes qui leur crachent dessus ou provoquent à outrance... à un moment, il ne faut plus y aller avec une petite cuillère.

Sur de nombreux cas, il y a peut-être des réactions disproportionnées mais ce sont bien des réactions face à des menaces ou faits. Ici un refus de contrôle et verbalisation.

Il n'y a pas de déni mais il ne doit pas y avoir de lynchage systématique des policier sans avoir eu les conclusions d'une enquête. C'est très simple en fait. Ce fait tombe en plein débat politique qui déchire les laxistes bobos et et de l'autre ceux qui veulent un retour à un ordre républicain. Deux visions du monde qui se heurtent. Et tout fait divers va être exploité pour toucher l'émotion des citoyens et tenter d'emporter leur adhésion. Au milieu, la justice va tenter d'y voir clair mais avec une pression terrible.

On parle d'une contravention de 135€ .

Je suis pas à un bobo, mais ça emmerde bien ce traitre de Darmanin et ce n'est pas pour me déplaire .

[Keron]

Souvenez vous de l'affaire Théo. C'était forcément une bavure de flic. Même Hollande avait été à son chevet. Puis tout est apparu au grand jour.

Oui. C'était une bavure. La suite l'a bien démontré.

S'il était drogué, cela change que cela lui donnait un motif supplémentaire, de vouloir éviter un contrôle. La police et la justice saura dire s'il avait des antécédents; Idem des policiers.

Et donc, s'il a des antécédents, ça justifierait le passage à tabac par des policiers qui ne sont forcément pas au courant ?
Tu te rends compte que c'est n'importe quoi ?

Ce qui est du n'importe quoi c'est de systématiquement déformer le propos argumenté de l'interlocuteur. Toi non plus tu n'étais pas sur place tout comme tout un chacun ici. Nous n'avons une émotion que par le prisme d'images, médias et politiques qui instrumentalisent le fait.

J'attends pour ma part les résultats de l'enquête.

[rmsk]

Les caméras piéton permettront de trier les choses ... et calmeront les esprits échauffés des deux côtés de la caméra.
Depuis le temps qu'elles sont prévues ...

Pour le moment, c'est du matos chinois qui ne vaut pas un cachou. C'est ballot, quand on voit le choix que propose Amazon.
Évidemment, elles devront être fonctionnelles du début à la fin de la patrouille.
Et n'être utilisées comme sources d'informations qu'en cas de souci (pas question de flicage interne pour contrôler le nombre et la durée des arrêts pipi, par exemple).

Remy

[led balloon]

Oui. C'était une bavure. La suite l'a bien démontré.


Et donc, s'il a des antécédents, ça justifierait le passage à tabac par des policiers qui ne sont forcément pas au courant ?
Tu te rends compte que c'est n'importe quoi ?

Ce qui est du n'importe quoi c'est de systématiquement déformer le propos argumenté de l'interlocuteur. Toi non plus tu n'étais pas sur place tout comme tout un chacun ici. Nous n'avons une émotion que par le prisme d'images, médias et politiques qui instrumentalisent le fait.

J'attends pour ma part les résultats de l'enquête.

J'ai déformé tes propos ? Lesquels ?

Quant à "attendre le résultats de l’enquête", ça va deux minutes. Les images sont déjà très claires et aucune enquête ne démontrera le contraire de ce qu'on y voit.

[Hoian]

Le rôle des forces de l'ordre, c'est de protéger les citoyens.
L'utilisation de la force ne doit avoir lieu qu'en dernier recours, une fois toutes les autres options épuisées et quand il n'y a pas d'autres solutions possibles.
Elles doivent inspirer la confiance et le respect, pas la crainte ou la peur.

[poilau]

Les caméras piéton permettront de trier les choses ... et calmeront les esprits échauffés des deux côtés de la caméra.
Depuis le temps qu'elles sont prévues ...

Pour le moment, c'est du matos chinois qui ne vaut pas un cachou. C'est ballot, quand on voit le choix que propose Amazon.
Évidemment, elles devront être fonctionnelles du début à la fin de la patrouille.
Et n'être utilisées comme sources d'informations qu'en cas de souci (pas question de flicage interne pour contrôler le nombre et la durée des arrêts pipi, par exemple).

Remy

Les syndicats ne veulent pas en entendre parler.

En réalité c'est ça qui coince.