En ce qui me concerne, il n'est pas question d'égo, ni de plus grosse, (très largement passé l'age), mais d'analyse et de croyance, pour ce que j'ai pu apprendre de gens ayant de grandes connaissances de leur discipline. Aucune application liée à cela n'a failli.
La connaissance des conditions d'utilisation dans le domaine des plaques et membranes est primordiale.
Je suis par contre très agacé par ceux qui imposent une correction sans vérifier le réel contexte de vibration d'un élément, sans définir leur domaine d'approche et sans, en plus, donner la possibilité d'une vérification rigoureuse de ce qu'ils imposent. Je pense qu'il y a confusion entre fragmentation d'un cône libre en périphérie, excité en son centre et un dôme qui, lui, est excité en périphérie. Cela dit, cette confusion est très fréquente. Il suffit de faire le distinguo pour s'en sortir.
En ce qui concerne les faits : Une bonne approche: http://rainet.telecom-lille.fr/unit/acoustique/s7/p08_acoustique_s7.htm Qu fait apparaitre que l'élément de contrainte réactif majeur sur la membrane est l'air, et le nombre d'onde en rapport avec sa célérité. Qu'il existe des résonances propres au matériau est indéniable, mais ce ne sont pas elles qui provoquent la fragmentation. Par contre, elles amènent une légère coloration sonore au message restitué. En considérant une corde circulaire, il est facile de voir qu'elle n'est soutenue en aucun point et qu'elle est à la fois excitée en tous points par l'élément de contrainte réactif et la force motrice transmise. La même chose pour une des nombreuses cordes radiales. L'identification à une barre métallique, considérée en acoustique comme une verge, n'est pas réaliste, en ce sens qu'elle n'est pas reliée en 1 point fixe, mais mobile et que la contrainte ne peut être rapportée à un unique point.
Maintenant, je peux séparer le sujet pour ne pas "polluer" le fil de l'asservissement afin qu'il y ai débat et développement
C'est une excellente idée.
Si tu peux, ajouter en 1° page un post à la suite de ceux que j'ai réservé, j'en serai ravi.
J-C.B