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XGIMI TITAN DMD 0.78 UHD

Message » 16 Oct 2025 13:51

Comme ma mémoire est défaillante, j'ai demandé à l'IA :

Le principe que vous décrivez correspond à ce qu’on appelle couramment la projection par « fente balayante » (scanning slit projection) ou « slit-scan » avec un élément optique mobile (lamelle vibrante) servant à moduler la distribution angulaire de la lumière ligne par ligne. Sony a effectivement expérimenté et commercialisé, avant SXRD, des projecteurs et prototypes reposant sur des architectures de balayage optique plutôt que sur des matrices d’affichage fixes, mais il n’existe pas de dénomination unique et universelle chez Sony aussi célèbre que « SXRD » pour ces approches; on les retrouve sous des termes techniques comme « slit scanner », « scanning aperture » ou « oscillating blade aperture » dans la littérature technique et les brevets anciens.

Principe technique résumé
- Un élément en forme de fente ou lamelle vibrante crée une ouverture temporelle et angulaire très étroite dans le trajet lumineux.

- En synchronisant la vibration ou le balayage de cette lamelle avec le signal vidéo et avec le mouvement d’un système optique (ou d’un modulateur), on reconstruit l’image en balayant l’écran ligne par ligne ou en étirant localement l’éclairement pour obtenir des formats très larges.

- L’approche permet d’obtenir une résolution effective élevée en un seul axe et de supporter des rapports d’aspect non standards sans nécessiter de panneaux d’image ultralarges fixes.

- L’élément mobile peut être actionné par un actionneur électromagnétique, piézo ou un petit moteur, et sa position est mesurée pour assurer la synchronisation et réduire les artefacts.

Avantages et limites de la solution
- Avantages : permet d’afficher des images extra-larges avec une optique et un modulateur de taille plus réduite; bonne efficacité lumineuse car la lumière est concentrée; possibilité d’adaptabilité d’aspect ratio en temps réel.

- Limites : risque d’artefacts de scintillement ou de « banding » si la synchronisation n’est pas parfaite; contraintes mécaniques et de fiabilité liées à l’élément vibratoire; besoins de compensation temporelle pour mouvements de caméra ou contenus rapides.

Contexte historique par rapport à SXRD
- La technique par lamelle vibrante / fente balayante est antérieure à SXRD et relève d’architectures de projection dites « scanning » ou « raster-scan optique » plutôt que d’un modulateur matriciel (comme SXRD, LCoS ou DLP).

- SXRD (Silicon X-tal Reflective Display) est une technologie de modulateur matriciel réfléchissant développée par Sony bien plus tard et destinée à remplacer ou compléter les systèmes de balayage par ses avantages en résolution, uniformité et absence de parties mécaniques en mouvement dans le modulateur lui‑même.
Emmanuel Piat
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Message » 16 Oct 2025 14:19

Merci Emmanuel de nous faire partager tes recherches. :thks:
Je suis toujours épaté par les réponses de l'IA lorsque l'on sait poser de bonnes questions ;)

Je n'étais pas au courant de la projection par fente balayante :oops:

Michel
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MLill
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Message » 16 Oct 2025 14:31

Oui, ça commence à dater comme techno. Ce n'est pas vraiment une fente comme pour le slit-scan (voir les diff. ci-dessous) ... J'ai fini par me souvenir qu'il y avait un G dans l'acronyme et avec cette indication l'IA a réussi à retrouver son nom. Elle est trop forte ... Donc la techno s'appelle GLV et elle a été développée initialement par Silicon Light Machines puis exploitée par Sony. Voici ce qu'en dit l'IA :

Le terme que vous avez en tête est très probablement GLV (Grating Light Valve), une technologie MEMS de modulation optique antérieure à SXRD et développée notamment par Silicon Light Machines. Sony a expérimenté et intégré des systèmes basés sur des principes de réseaux diffractifs/éléments vibrants pour des projecteurs à balayage ou formats étendus.

Principe technique résumé
- Structure MEMS : une matrice de micro‑rubans métalliques parallèles (ribbons) montés sur des micro‑ressorts qui peuvent être déplacés électrostatiquement.

- Diffraction contrôlée : en modulant la position (déflexion) des rubans sur une fraction de longueur d’onde, on crée ou annule un réseau de diffraction, ce qui répartit la lumière incidente entre l’ordre 0 (réflexion non diffractée) et les ordres diffractés.

- Codage de l’intensité : l’image est formée en contrôlant localement l’efficacité diffractive de chaque élément (on force la majeure partie de l’énergie vers un ordre diffracté utile ou on la laisse dans l’ordre non utile), puis en récupérant sélectivement l’ordre diffracté grâce à une pupille ou une optique de filtrage.

- Balayage / montage pour formats larges : associée à un mécanisme de balayage angulaire ou à une fente mobile, la GLV permettait d’étendre l’image en un axe (aspect extra‑large) ou d’augmenter la résolution effective en exploitant la très grande vitesse de modulation des micro‑rubans.

- Fréquence et performances : la réponse mécanique très rapide des MEMS permet des fréquences de modulation élevées (MHz dans certains cas), réduisant le scintillement et permettant des techniques temporelles (scanning, field sequential color).

Différences clés avec une lamelle vibrante mécanique simple
- Mécanique vs MEMS : une lamelle vibrante traditionnelle est un seul élément mécanique plus gros; la GLV est une matrice microscopique de rubans pilotés électrostatiquement.

- Effet optique : la lamelle crée une ouverture temporelle/angulaire (slit-scan) ; la GLV module la diffraction et peut agir à la fois comme modulateur d’intensité et de direction angulaire via contrôles à l’échelle du pixel MEMS.

- Intégration : la GLV est conçue comme un modulateur d’image compact à haute vitesse, facilement intégrable dans des architectures de projection sans gros composants mécaniques mobiles.

Pourquoi votre souvenir de « lamelle vibrante » reste pertinent
Les descriptions anciennes de projecteurs « à lamelle » et les comptes‑rendus sur GLV/technologies diffractives partagent des caractéristiques perceptives semblables (balayage, capacité à produire des formats très larges, éléments en mouvement rapides). Il est courant de confondre une lamelle unique oscillante et une matrice de micro‑rubans vibrants quand on remonte dans l’historique des technologies de projection.
Dernière édition par Emmanuel Piat le 16 Oct 2025 15:29, édité 1 fois.
Emmanuel Piat
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Message » 16 Oct 2025 14:39

Voir les figures dans ce papier pour le principe du GLV en tri-laser :
https://www.semanticscholar.org/paper/O ... a2bb932986
Je me souviens qu'à l'époque, c'était très compliqué pour Sony d'avoir un laser assez puissant pour le vert. Il était énorme ... Honnêtement, la mise en oeuvre de ce projo de démo était une usine à gaz ...

Le proto de Silicon Light Machines (je n'ai pas encore trouvé de photos du démonstrateur de Sony) :
https://x.com/mems6934/status/1652242398947459073

Image
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Emmanuel Piat
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Message » 16 Oct 2025 14:43

Et pour ceux qui connaissent un peu l'histoire de la vidéoproj, quand le constructeur RED (qui fait des caméras pro) a annoncé qu'ils allaient commercialiser un projo de la mort qui tue (comme tjrs avec les annonces de RED de l'époque), bcp ont cru au début qu'il serait basé sur du GLV. Ce projo n'a jamais vu le jour ...
Emmanuel Piat
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Message » 16 Oct 2025 15:04

Alors, MEMS bidimensionnel ou GLV monodimensionnel+balayage dans le module optique de light steering de Barco ? :mdr:
Emmanuel Piat
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Message » 16 Oct 2025 15:04

Oui le GLV (Grating Light Valve) et RED cela rappelle de vieux souvenirs.
Malheureusement je n'ai pas d'IA sur mes archives ;)

Michel
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MLill
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Message » 16 Oct 2025 16:27

Voici ce que pense l'IA concernant l'usage de micro-lamelles vibrantes pour faire du light steering via la question :
"Peut-on faire du light steering avec des micro lamelles vibrantes ?"

Light steering avec des micro‑lamelles vibrantes — principe général

Oui. Des micro‑lamelles vibrantes peuvent réaliser du light steering en modifiant localement l’angle d’émission de la lumière incidente pour rediriger l’énergie vers des régions d’écran ciblées. Au lieu de simplement ouvrir/fermer une fente, une matrice de petites lamelles ou rubans pilotés individuellement peut créer une distribution angulaire contrôlée et dynamique du flux lumineux.

Modes d’implémentation pratiques

- Matrice de lamelles MEMS (type GLV-like)
Une rangée ou une matrice de micro‑rubans électrostatiques dont la position contrôlée crée un réseau diffractif ou réfléchissant variable. En réglant la déflexion locale on module l’angle d’émission et l’efficacité dirigée vers un ordre diffracté utile, ce qui permet de « pousser » la lumière vers certaines zones.

- Lamelles segmentées inclinables
Micro‑éléments réfléchissants segmentés pouvant s’incliner électromécaniquement pour former un tableau d’éléments directeurs. Chaque segment crée un sous‑faisceau avec un angle dépendant de son inclinaison, la superposition de ces sous‑faisceaux réalise le steering spatial.

- Lamelle unique à balayage synchronisé
Une lamelle mobile plus large balayant rapidement un plan conjugué du projecteur, synchronisée avec modulation spatiale temporelle, pour déplacer le spot lumineux et ainsi concentrer l’énergie sur zones cibles selon le contenu.

Composants clés et exigences techniques

- Actionneurs rapides : MEMS électrostatiques, piézo ou électromagnétiques avec bande passante suffisante pour suivre la temporalité vidéo désirée.

- Résolution angulaire : densité de lamelles et amplitude de déplacement déterminent la finesse du steering et la taille minimale des régions éclairables.

- Optique de collecte / relai : systèmes optiques qui transforment les variations de phase/déflexion en changements d’angle sortant exploitables sur l’écran.

- Capteurs et boucle de régulation : capteurs de position, photodiodes de rétro‑mesure pour calibration dynamique et compensation des dérives.

- Contrôle temps‑réel : algorithmes qui convertissent cartes d’intérêt HDR en commandes angulaires et temporelles en gérant latence et prévision pour éviter artefacts.

Avantages attendus

- Haute vitesse : MEMS permettent des modulations à haute fréquence, utiles pour steering temporel et color sequencing.

- Précision directionnelle : contrôle fin de l’angle par élément; possibilité d’avoir profils d’intensité complexes.

- Compacité : composant de petite taille insérable dans le trajet optique sans remplacer le modulateur image principal.

- Efficacité lumineuse : concentration adaptative des lumens vers les hautes lumières perceptuelles.

Limites et défis techniques

- Artefacts visuels : scintillement, banding, edge‑halo ou diffraction indésirable si la synchronisation, la résolution angulaire ou le filtrage optique sont insuffisants.

- Complexité de pilotage : nécessité d’algorithmes prédictifs et d’une grosse bande passante commande pour éviter rétroaction perceptible.

- Perte spectrale / diffractive : solutions basées sur diffraction peuvent répartir énergie en ordres non exploités; optique de filtrage et rendement sont critiques.

- Fiabilité et durée de vie : éléments mobiles MEMS ou micro‑actionneurs soumis à fatigue, contamination et contraintes thermiques de sources lumineuses puissantes.

Cas d’usage et conclusion

L’utilisation de micro‑lamelles vibrantes pour du light steering est techniquement réaliste et attractive, notamment via des architectures MEMS de type GLV ou des matrices de micro‑miroirs inclinables. Le choix entre approche diffractive (rubans MEMS) et approche réfléchissante/inclinable dépend du compromis souhaité entre rendement lumineux, complexité optique et sensibilité aux artefacts. Les systèmes commerciaux performants combinent le matériel (actionneurs et optiques) et des algorithmes de contrôle avancés pour obtenir un steering perceptuellement lisse et fiable.


Je pense que l'IA a permis d'avoir un 1er balayage intéressant sur la problématique du Light Steering. On voit que ce n'est pas qqchose de simple à intégrer dans un dispositif consumer car il y a bcp de points à maitriser pour rendre la techno opérationnelle. Si elle arrive sur le segment grand public, l'embargo sur le principe physique retenu par Barco pour faire le light steering finira bien par être levé. En tout cas, ca semble prometteur.
Emmanuel Piat
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Message » 16 Oct 2025 16:47

Sans trop y croire, j'ai interrogé l'IA sur des fabricants potentiels :
"Qui fabrique des architectures MEMS pour faire du light steering qui soient intégrables dans des vidéoprojecteurs utilisant la technologie DLP ?"

Ca vaut ce que ça vaut (et traduc FR parfois très approximative pour les aspects optiques ...)

Exemples de fournisseurs reconnus

Silicon Light Machines (SLM) / Grating Light Valve
Fournisseur historique de la GLV qui propose des matrices de rubans MEMS capables de modulation très rapide et d’orientation angulaire de la lumière pour des applications de projection et de beam steering.

Iris AO
Fabricant de micro‑miroirs segmentés MEMS utilisés en optique adaptative et beam steering qui peuvent être intégrés dans des architectures optiques pour rediriger localement le flux.

Boston Micromachines
Spécialiste de miroirs déformables MEMS fournissant des surfaces actives pour le contrôle d’onde et la direction de faisceau en applications de haute précision.

Mirrorcle Technologies
Fournisseur de micro‑miroirs de balayage et scanners MEMS très rapides adaptés au steering ponctuel et au scanning lineaire dans des systèmes d’imagerie et de projection.

Intégration dans un vidéoprojecteur DLP — points clés à évaluer

- Compatibilité optique : la pupille et le diagramme angulaire du module MEMS doivent être compatibles avec la collection de la lentille DLP et la pupille du DMD.

- Rendement lumineux : les architectures diffractives peuvent disperser l’énergie en ordres non exploités, il faut une optique de filtrage ou un design réfléctif pour maximiser le flux utile vers le DMD.

- Synchronisation temporelle : le steering MEMS doit être synchronisé avec le séquençage temporel du DMD et la roue chromatique si présente pour éviter artefacts de couleur et scintillement.

- Contrôle et électronique : drivers high‑speed et interfaces temps réel nécessaires pour piloter les actionneurs MEMS en phase avec le pipeline vidéo du projecteur.

- Thermique et fiabilité : les modules doivent supporter les niveaux de chaleur et la durée de fonctionnement typiques des projecteurs commerciaux.

Choix pragmatique pour intégration industrielle

- Pour steering haute vitesse et modulation d’ordre diffractif privilégier des solutions GLV si le design accepte le filtrage d’ordre diffracté.

- Pour steering à haute précision directionnelle et bonne efficacité réfléchissante privilégier miroirs MEMS segmentés ou déformables.

- Pour balayage linéaire simple et robuste privilégier micro‑miroirs de scanning rapide.

Recommandation d’action rapide

Contactez directement les fabricants listés avec votre cahier des charges optique et électrique pour valider l’adéquation mécanique, les performances angulaires, les rendements et la disponibilité d’un support d’intégration.


J'ai bien aimé la recommandation d'action rapide :wink:
Emmanuel Piat
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Message » 16 Oct 2025 17:41

Long interview en français datant de 1 an d'un représentant Barco sur le futur DCI cinéma HDR via light steering :
https://www.youtube.com/watch?v=fCQ1QE5Q4Tc
Emmanuel Piat
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Message » 16 Oct 2025 20:21

Le projo de Barco pour la post-prod (13k lumens) qui a le light steering intégré a un CR on/off max de 8000:1 :
https://www.barco.com/fr/product/sp4k-p-plus

En dyn. avec le LS actif, on peut en théorie monter à 60000:1 :

Lightsteering is at the heart of HDR by Barco, our next-generation projection technology that brings unprecedented levels of contrast, brightness, and color to the big screen. Rather than just blasting more lumens onto the entire screen, Lightsteering takes a smarter approach: it redirects light where it’s needed most and, in the process, takes it away from areas that need to be dark. To put this in numbers, a Lightsteering projector can achieve 6 times brighter highlights and 5 times deeper blacks, resulting in a simultaneous contrast ratio of 60,000:1 which is 30 times higher than a normal cinema projector.

https://www.barco.com/en/inspiration/ne ... htsteering
Emmanuel Piat
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Message » 29 Oct 2025 8:23

Pas de compte rendu de visionnage récent ? (était il présenté au PAVS ?)
tubenstock
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Message » 29 Oct 2025 22:59

tubenstock a écrit:Pas de compte rendu de visionnage récent ? (était il présenté au PAVS ?)

Pas vraiment, Il l'a au PAVS mais il n'était pas branché. Le responsable m'a dit que tous les menus sont en chinoise, donc il ne veut pas faire un demo qui n'est pas calibré, etc. C'est dommage, je veux vérifier si je vois l'AEC. :(
Rooky2
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Message » 29 Oct 2025 23:35

Je l'ai vu aussi éteint au PAVS.Curieux de voir si AEC ou pas. :wink:
tubenstock
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Message » 30 Oct 2025 7:57

Les quelques chanceux qui ont pu le voir sur AVS, ont tous décrit une superbe image mais avec pas mal d'AEC.
Après, il est fort possible que Xgimi, pas plus con qu'un autre fabricant, si ces nombreuses critiques se confirment, nous sorte un firmware avec un dispositif de réduction des AEC (à l'image de ce qu'a implémenté Valerion dans son Max et qui devrait arriver par maj du firmware sur le Pro 2).
Mais comme, de mémoire, il s'agit d'une augmentation de fréquence d'émission, ça se fait au détriment du silence de ces projecteurs, le Valerion Max laissant entendre un léger sifflement quand la fonction est activée.
Dirty Vincent
 
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