kazuya a écrit:Doux : Ouep, mais alors on en vient à un point qui me fait réagir au contraire cher Edouard, c'est que personnellement, je préfère, même avec un fort contraste natif, l'adjonction d'un iris actif, et d'un mode lampe dynamique !
Pourquoi ?
Le contraste natif, c'est génial dans une image fixe : ça donne la profondeur à la fois dans le noir, et aussi dans la puissance des zones lumineuses. Jusque là, on est tous d'accord. Ceci à condition d'avoir un bon contraste ANSI : là, ça se gate... et à condition d'avoir une pièce adéquate... oulala !!
Bref, passons.
On a donc nos jolies scènes contrastées.
Ensuite on passe dans une image très sombre, avec juste quelques points lumineux.
Si tu ajoutes un iris actif, tu vas encore baisser la luminosité générale de ta scène (ce qui posait problème chez toi sans écran gris notamment). Tes yeux s'habituant à la même vitesse que se ferme l'iris s'il est bien réglé, tu vas te retrouver réellement dans la pénombre, et les zones lumineuses te paraitront tout aussi lumineuses alors qu'elles le sont moins en réalité. Mais l'oeil est bluffé !
Donc, passage scène contrastée > scène sombre : on a gagné de la dynamique inter-scène grace à l'iris.
Idem, on passe à une scène très claire. L'iris s'ouvre, bien entendu, mais la lampe dynamique intervient et augmente sa puissance : on gagne 20 à 30% de luminosité. Wouah, ben là on a encore gagné en dynamique inter-scène !
Parce qu'il faut pas se leurrer, une image est faite de 255 niveaux de luminosité, point barre. Le seul moyen d'obtenir plus de dynamique, c'est un iris et un mode lampe dynamique. Et ça, c'est top !
(après c'est bien entendu subjectif...)
Bof sur les scènes intermédiaire ou on se chope du bon pumping à cause de l'iris ... mais bon chacun a une réaction différente au phénomène (comme avec les AEC, on a tous plus ou moins de sensibilité).