Tests HCFR Blu-ray & 4K Ultra HD par le loup celeste – 06/2019

Tests HCFR Blu-ray & 4K Ultra HD par le loup celeste – 06/2019

Godzilla (1998)

Provenance : France // Support : 4K Ultra HD // Éditeur : Sony Pictures // Date de sortie : 29 mai 2019

Résolution : 3840×2160 // Cadence : 24p // Format : 2.40 // Encodage : HEVC
Gamut : BT.2020 // Chrominance : YCbCr 4:2:0 // Profondeur de couleurs : 10 bit
Master intermédiaire : 4K // HDR : HDR10 // Luminance : De 0.005 à 4000 nits

Bande-son : Anglais Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Anglais, Français, Anglais pour malentendants

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(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode de l’image Expert HDR)

Détruisant sans pitié son homologue HD, ce transfert UHD HDR10 (tiré d’une restauration 4K) affiche une définition et une netteté remarquables (la douceur de certains plans est due à l’intégration des CGI qui ont aujourd’hui très mal vieilli), des détails beaucoup plus révélateurs (les visages, les vêtements, les décors), un grain argentique plus stable et palpable (format Super 35 mm oblige), des couleurs largement moins ternes et donc plus vibrantes (cf. la saturation des primaires), des contrastes considérablement renforcés (blancs plus éclatants et noirs plus riches), et des sources lumineuses indéniablement plus intenses (les éclairages intérieurs, les enseignes de magasins et les projecteurs). Cependant, lorsque Jean Reno et son équipe apparaissent à l’écran et qu’ils parlent en français (une dizaine de plans), l’image devient très mauvaise pour s’apparenter à un (très bon) DVD ! En y réfléchissant, des sous-titres devaient être incrustés sur le master lors de ces passages.

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(Condition de test : Ampli HC 11.2 en mode d’écoute Dolby Atmos pour la VO et avec post-traitement DTS Neural:X pour la VF)

En VO comme en VF, cette bande-son loin d’être modérée (et qui peut manquer au passage d’un poil de clarté) est monstrueusement spectaculaire. La dynamique est titanesque, la scène sonore est vraiment large, la spatialisation est ultra-enveloppante, les enceintes n’ont pas une minute de répit, les effets/ambiances sont destructeurs, le score est particulièrement ample, les basses sont bien autoritaires et les dialogues toujours intelligibles. Sollicitée en permanence (la pluie omniprésente), la scène aérienne du mixage Dolby Atmos se donne sans compter (alarme, voix, explosions, rugissements de Godzilla, éboulements, vols d’hélicoptères, etc.).

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Matériel de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA
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