Test HCFR : boXem Audio ARTHUR 4215/E2

Test HCFR : boXem Audio ARTHUR 4215/E2

Compte-rendu d’Alain_haskil

 

Prise en main

J’avais beau m’y attendre, quand la factrice me tend le paquet tant attendu, je suis d’autant plus surpris par son poids plume que je viens juste d’installer un NAD 218 THX et un Plantefève Mosfet, lourds et dangereux à manipuler à cause de leurs arêtes vives, dans mon salon pour pouvoir les comparer à cet Arthur 4215/E2 équipé de modules Purifi en classe D.

Ce n’est pas parce qu’il est en classe D qu’il est léger cet ampli BoXem. Bien sur, il n’a pas d’ailettes de refroidissement, car son boîtier tout simple et élégant remplit cet office.

Bien que l’excellent rendement atteint par certains amplificateurs fonctionnant selon ce principe permette peu ou prou de se passer de refroidissement, il est mieux que la chaleur soit évacuée de façon continue et homogène en reliant thermiquement les transistors de puissance à une surface métallique.

S’il est léger, c’est qu’il est équipé d’une alimentation à découpage qui n’utilise pas le transformateur lourd et encombrant des alimentations linéaires, mais un tout petit transformateur. Par comparaison, le Gemincore CL3 que j’utilise depuis maintenant une bonne dizaine d’années est dans une coffret qui fait la même taille que celui de cet ampli fabriqué par BoXem, mais pèse très lourd, car deux gros transformateurs toriques de 650 VA y trouvent place : un par canal pour un ampli double mono de 250 watts par canal.

J’ai donc déballé le nouvel arrivant pour qu’il se mette tout doucement à la température ambiante et pour avoir ainsi tout le temps nécessaire pour ausculter d’un œil sévère ses finitions sous toutes ses coutures vu son poids plume.

Rien à dire, l’assemblage est impeccable, la finition de la façade, comme celle du capot sont remarquables. La face arrière est équipée de prises XLR bien fixées, de prises enceintes robustes qui inspirent le sérieux, tout comme la petite clef à bascule qui permet de choisir trois niveaux de sensibilité en fonction du niveau de référence du préamplificateur ou du Dac qui seront connectés à l’ampli. Prise secteur et interrupteur général viennent compléter cette face arrière.

 

 

Les conditions de test

Des câbles aux enceintes, en passant par les sources

Pour pouvoir l’utiliser avec son entrée symétrique, je m’étais muni d’un câble doté des prises XLR et j’ai utilisé le câble désymétriseur fourni par BoXem pour le raccorder à un appareil muni lui de RCA. Celui de BoXem est fait d’un câble Galileo de Sommer et de prises Neutrick XLR et RCA : du sérieux et classique.

 

Avant de passer à l’écoute de cet amplificateur Arthur 4215/E2, une rapide présentation des sources employées :

– Un Mac Mini relié en HDMI à la partie préamplificateur de l’intégré HC Denon AVR-X3600H dont la qualité est attestée par un banc d’essais réalisé par AudioScience qui a montré qu’il était au-dessus de tout soupçon en stéréo comme en HC, ce que de nombreuses écoutes ont bien évidemment validé, sinon je ne m’en serais pas acheté un, puisque la qualité d’un appareil dépend directement de la justesse de sa conception, de la qualité de ses circuits et composants, desquels découlent logiquement les performances. Et pas d’une quelconque et mystérieuse alchimie due au talent d’un concepteur de génie et décorrélée des mesures.

– Un Macbook Pro relié en wifi au Denon via Airplay2 et UPNP intégré à Audirvana que j’ai essentiellement utilisé pour ces écoutes.

 

Renoncements

Je voulais donc aussi faire une écoute comparative terme à terme en utilisant un Dac Topping DX3 pro, un préamplificateur analogique Harman Kardon équipé de prises XLR symétriques en sorties et un préamplificateur à tubes, en liaison avec le NAD 218 THX qui est un magnifique bloc stéréo auquel aucune enceinte ne fait peur vu qu’il accepte sans broncher une impédance de 2 ohms et délivre une puissance très élevée de façon continue, pour ne rien dire de sa capacité à en délivrer une colossale en régime impulsionnel.
Je voulais également faire une écoute comparative avec le gros Plantefève équipé de Mosfets : sa puissance n’est que de 100 watts, mais son alimentation colossale – un transfo de 600 va par canal -, lui permet de tenir des impédances très basses sans broncher.

Mais le cours des choses en a décidé autrement.

Explications : j’ai déjà – et maintes fois ! – eu l’occasion de comparer ces amplis NAD et Plantefève à mes Gemincore et aussi à d’autres amplificateurs qui m’avaient été prêtés ou appartenant à des amis et connaissances chez qui je suis allé avec mon Gemincore : dont Krell KSA 150, MacIntosh, Yamaha pro, ou encore Audio Research, sur des enceintes différentes mais de grande qualité sans que jamais des différences notables ou seulement perceptibles ne se fassent entendre de façon certaine, répétée, identifiable à coup sur.

De même que j’ai comparé le Toping DX3 pro à celui du Denon, à celui d’un préampli numérique Tact 2.2X sans que cela ne m’enseigne grand-chose sur les uns et les autres en termes de spécificité : vu que je n’ai pas perçu de différences.
Et aussi à un Gustard chez Stephifi, avec le même résultat. Si différences, il y a elles sont si infimes qu’il est difficile de les décrire, voire d’être bien certain qu’elles existent. C’est anecdotique.

J’ai donc abandonné l’idée de ces comparaisons terme à terme.

 

Une méthode non scientifique

Précisons que je ne me suis pas livré à une comparaison A/B instantanée, difficilement réalisable chez moi, mais que j’ai continué d’écouter de la musique, comme je le fais chaque jour, en remplaçant purement et simplement mon Gemincore habituel par le nouvel Arthur 4215/E2, objet de cet article.

Certes, ce n’est pas scientifique du tout, c’est hautement subjectif, mais par expérience je sais aussi que cette subjectivité là repose sur des données qui peuvent être partiellement objectives.

Et bien évidemment, à la toute fin, je suis revenu à mon amplificateur, c’est le fameux effet kiss cool expérimenté par pas mal de « tweakeurs » d’électroniques qui ne se laissent pas tromper par leur implication personnelle dans leurs écoutes. Et qui se rendent compte que les progrès constatés à chaque amélioration apportée à l’appareil qu’ils tweakent s’ évanouissent quand ils comparent leur appareil amélioré avec le même appareil dans son jus.

Je dirais plus tard ce qu’il en a été, puis ce qu’il en est quelques jours plus tard.

Donc voici  Arthur 4215/E2 branché entre le Denon 3600 et les enceintes Divatech MC 210 qui sont des moniteurs professionnels mis au point par la branche professionnelle de Focal.

Je les connais très bien, les possède depuis plus de quinze ans et n’ai jamais eu le besoin où l’envie de les changer. Même pas par des moniteurs actifs plus récents, bien que j’en ai écouté quelques-uns qui m’ont fort impressionné.

Mais quand je rentre à la maison, aucune frustration ne se fait sentir, bien au contraire.

Et tout passe sur les Divatech MC 210: rock, métal le plus violent, murmures les plus feutrés d’une viole de gambe, le piano, l’orchestre, les voix…

 

 

 Les écoutes

Quelques disques

Que va-t-il se passer ? N’y allons pas par quatre chemins.

Une transparence immédiate troublante qui va de l’extrême grave à l’extrême aigu et qui ne s’accompagne d’aucun caractère brillant dans le haut du spectre, d’aucun relevé d’aigu insupportable. Il s’agit juste d’une transparence accrue par rapport à mes écoutes habituelles que je qualifierai de plus rondes et compactes.

Attention au poids des mots ! : « rondes » et « compactes » exagèrent beaucoup mon sentiment à ce sujet. J’aurais pu dire aussi bien « plus tubes » ou « plus douces » que cela aurait été tout aussi exagéré. M’enfin quelque chose a changé.

En fait, c’est difficile de qualifier l’écoute avec Arthur 4215/E2, au-delà du sentiment immédiat que le silence règne – aucun son ne sort du tweeter l’oreille collée dessus, je dis bien collée, en l’absence de modulation : il y a un petit bruit avec le Gemincore – et que l’on entend l’enregistrement avec une transparence plus grande.

Le premier disque écouté était la « Scène finale » du Chevalier à la rose de Richard Strauss, dans un enregistrement stéréo des années 1960 dirigé par Sylvio Varviso (Decca).

Je l’avais déjà utilisé pour mon écoute du Denon AVR-3600H faite pour HCFR.

Trois sopranos y chantent en même temps des notes fort proches sur un accompagnement d’orchestre luxuriant : le moindre déséquilibre entre les trois voix crée une distorsion d’intermodulation qui vrille les tympans.

Ici, tout coule de source, comme à l’habitude à la maison, mais le son est plus svelte, plus transparent, les voix plus isolées les unes des autres encore qu’à l’habitude. J’aime beaucoup.

Ensuite, intrigué par cette transparence, j’ai mis le Nocturne op. 9 n° 3 de Chopin qui ouvre le disque que le pianiste Vlado Perlemuter leur a consacré chez Nimbus.

Pourquoi ? Mais parce qu’au début, avant qu’il ne joue, on entend des petits bruits dans le studio – ou pas sur certaines chaînes. C’est un des mes disques de chevet.

Grand choc : les bruits sont nettement repérés dans l’espace et surtout, surtout on perçoit la présence physique du pianiste face au clavier, avant qu’il ne se lance.

Troublant de présence, d’autant que cet enregistrement très réverbéré est un cauchemar écouté sur de nombreuses enceintes : quand c’est bon, on a l’impression d’une porte ouverte sur le lieu où joue le piano.

La porte est plus ouverte que d’habitude et le piano plus présent dans le sens où j’entends des détails microscopiques dans la façon dont Perlemuter le fait sonner.

Je file donc écouter la Quatrième Ballade de Chopin par lui : même sentiment d’un piano dense et transparent, dégraissé et timbré dans le même temps, avec une lisibilité dans le grave dont il ne me souvient pas l’avoir déjà éprouvée auparavant et la prise de conscience d’un très beau piano un peu vieux et fatigué que je n’avais jamais noté.

Marabout bout de ficelle… du coup, j’enchaîne avec Les Amours du poète de Schumann enregistré en public à Carnegie Hall par Dietrich Fischer-Dieskau et Vladimir Horowitz (Sony). La prise de son fait sonner le baryton et le pianiste dans un espace vaste duquel surgissent des bruits divers venant du public. Enregistrement redoutable car le piano d’Horowitz est un Steinway américain harmonisé très clair, pointu même, avec des basses impériales mais elles-mêmes brillantes et des aigus qui peuvent ferrailler.

Idem : même choc. Le son du piano est divin, les aigus sonnent comme de la porcelaine et la mélodie à la fin que Horowitz timbre en la faisant ressortir chante avec une profondeur dans la sonorité qui donne une grande présence au piano tandis que la voix de Fischer-Dieskau rayonne sans dûreté même quand il est un peu poussé au-delà de ce qu’elle peut sortir sans faiblir un peu. Et la dynamique est fulgurante.

Un grand coup d’oreille au Barbara d’Alexandre Tharaud chez Warner : le frisson quand Jean-Louis Aubert et Camélia Jordana chantent – quelle prise de son ! – C’est si rare dans le domaine de la variété que les voix ne soient trafiquées, mixées sur des instruments en re-recording.

Ici, c’est juste un piano et une voix. Et le grain des voix, comme le timbre, la sonorité du piano, les longues résonnances, est admirablement reproduit.

 

Je me gratte donc la tête

Autant dire que ces premières écoutes me troublent, car elles contredisent une de mes certitudes nées d’un nombre très élevé de comparaisons entre des amplificateurs de puissance et performances comparables.

Est-ce mon Gemincore qui aurait tendance à « assombrir » les écoutes ?

Mais alors, soyons logiques, tous les amplis auquel je l’ai comparé sur des enceintes différentes ou les mêmes, sans percevoir de différences à ce niveau, en feraient donc autant.

Est-ce le Arthur 4215/E2 qui est différent, vraiment différent dans sa façon de gérer les enceintes ?

À vrai dire, au point où j’en suis des écoutes, je n’en sais rien du tout, mais c’est une hypothèse plausible. À moins que mon imagination me fasse entendre des choses qui n’existent pas ?

Je continue donc à écouter les disques qui m’accompagnent depuis toujours, en tentant de ne pas trop céder à une amplification (!) de mes sensations d’écoutes, disque après disque, à cause d’une auto-persuasion qui grandirait.

Une idée revient, et si, quand même, il n’était pas un peu trop clair dans le haut du spectre, ce qui lui donnerait pour le coup une fausse transparence ?

Rien de tel qu’un de mes disques de clavecin de chevet : Froberger ou l’intranquilité par Blandine Verlet (Naïve) pour en être certain.

Un disque de clavecin écouté avec une chaîne qui relève l’aigu est inécoutable. Et j’ai des souvenirs d’oreilles qui saignent avec certaines chaînes.

Ben non : grande douceur et fragilité du timbre sont idéalement restitués, là encore avec une présence accrue en raison de la transparence générale du son : on voit le clavecin, ou plutôt que le voir, on ressent le volume de l’instrument.

Pour vérifier, une fois de plus, je passe aux terribles Trois dernières symphonies de Tchaïkovski par Evgeny Mravinski (DGG) dont la prise de son est d’une qualité miraculeuse, mais dont les aigus des cordes et les cymbales peuvent facilement devenirs durs, coupants, cinglants.

Pas de ça avec le Gemincore que j’utilise ordinairement, pas de ça non plus avec Arthur 4215/E2 dont l’aigu est divin et soyeux jusque dans les notes les plus hautes jouées par les violons. La transparence est fabuleuse sans que cela s’accompagne le moins du monde de la sensation d’une écoute au scalpel, pas du tout même, c’est le contraire : on a une vision nette des pupitres, encore plus qu’habituellement.

Se fait jour, écoute après écoute, de la perception d’une qualité supplémentaire assez difficile à exprimer autrement que par l’image des cercles concentriques faits par un caillou qui tombe dans une eau à la surface lisse et transparente : avec le Arthur 4215/E2 on a la sensation que les sons rayonnent de façon irrésistible, depuis leur émission jusqu’à leur extinction, sans jamais se mélanger les uns aux autres.

Et là, je le perçois mieux encore qu’habituellement dans mes écoutes des mêmes disques qui m’accompagnent depuis des années et des années pour certains.

Un petit passage par Le Sacre du printemps de Stravinsky par Lorin Maazel et l’Orchestre de Cleveland (Telarc) : chaque pupitre est à sa place, ne déborde jamais sur le voisin, j’entends tout nettement dans les tréfonds de l’orchestre sans que rien ne devienne confus, jusqu’à des niveaux indécents. Les coups de marteau sur la grosse caisse sont secs et profonds à la fois.

Un peu de violon solo ? L’Allegro de Pugnani par Henryk Szeryng (Mercury) vibre et rayonne sans aucune acidité, sans aucune luminosité excessive, au contraire même. Avec l’Arthur 4215/E2, l’aigu a de la densité, il n’est pas ce mince filet coupant. Non, on entend l’archet sur la corde. C’est splendidement restitué.

 

Conclusion

A-t-il un défaut l’Arthur ?

En une semaine d’écoutes assidues à la maison, dans mon environnement habituel, je ne lui en ai pas trouvé un seul.

Même dans le grave, ne riez pas, mais il est difficile d’imaginer qu’un petit ampli si léger puisse délivrer un grave profond et opulent, si difficile qu’il est vraiment pas évident de se débarrasser de cette idée.
j’ai donc accumulé les disques d’orgues descendant dans l’infra grave et dans le grave. Eh bien non ! Le grave est là, puissant, articulé et transparent lui aussi.

Quand on écoute beaucoup de musique, ce qui est mon cas, puisque j’en écoute plusieurs heures par jour, la fatigue peut survenir facilement.

J’ai la chance d’avoir une installation qui me donne chaque jour envie de l’allumer pour des séances qui peuvent être studieuses ou plus détendues, parfois même je travaille en écoutant de la musique, m’arrêtant quand la musique, que j’écoute toujours de façon attentive, d’un coup fait entendre une chose, un détail – mauvais montage par exemple, problème d’intonation ou passage très très réussi ou raté –, qui me fait « lâcher la proie pour l’ombre ».

Arthur 4215/E2 propose un reproduction très impliquante, la musique qu’il délivre est à l’opposé du scalpel comme de la rondeur, il ne semble pas avoir de son propre, mais d’être vraiment ce fil droit avec du gain dont on rêve.

 

Effet kiss cool bis

Il a bien fallu rebrancher le Gemincore pour vérifier, si j’allais percevoir un manque là.

Retour au nocturne de Chopin par Perlemuter… je retrouve ma vieille écoute, comme on retrouve des chaussures faites à son pied. J’entends les petits bruits avant que la musique ne commence mais pas avec cette sensation fulgurante d’être à côté du pianiste pour lui tourner les pages.

J’ai conscience que ce qu’écris là est subjectif et fondé sur le souvenir, certes, mais autant je suis persuadé que l’on ne peut pas mémoriser deux sons écoutés l’un après l’autre lors de comparaisons, car la mémoire auditive s’enfuit alors immédiatement, autant je suis certain que certains sons, certains courts passages de disques avec lesquels on vit et deviennent partie intégrante de notre conscience musicale, sont imprimés dans notre cerveau avec une encre indélébile, aussi indélébile que le son typique d’un moteur de solex ou d’une voix aimée.

Rapidement, j’ai néanmoins oublié les différences perçues avec le Arthur 4215 E/2 par rapport à mes écoutes habituelles.

Alors j’ai rebranché le NAD 218 THX, juste pour voir s’il allait lui aussi, depuis le temps que je ne l’écoutais plus, apporter un changement à mes écoutes habituelles : la réponse est non. Idem du Plantefève Mosfet… Le NAD est reparti chez celui à qui je le prête. L’autre dans son placard. Et les comparaisons terme à terme ont été définitivement oubliées.

Et ma vie de mélomane a repris son cours.

J’ai renvoyé Arthur à Olivier_Merlinus98 (!) qui l’attendait pour son propre test, qu’il a réalisé avec des enceintes différentes, en comparaison avec un ampli différent.

Mais depuis ce jour, je n’arrête pas de penser à ces petites différences entendues avec l’ampli Purifi à la sauce BoXem, des petits riens objectifs certes, mais cette sensation de grande transparence, cette faculté de rendre la musique très présente et « interpellante », ces timbres qui semblent si vrais et palpables, si différenciés d’un disque à l’autre, d’un instant à l’autre selon la façon dont les instruments sont joués, ce silence qui fait qu’on perçoit des petits détails qui donnent de la vraisemblance à ce que l’on écoute, sont, rien à faire, présents dans mon esprit et j’en viens à imaginer comment sonnerait le disque que j’écoute en ce moment avec cet Arthur 4215 E/2 que j’ai bien envie de réécouter plus longuement encore, associé avec une paire d’enceintes HR à pavillon, en raison de son silence exceptionnel venant d’un rapport signal/bruit remarquablement bon.

 

Alain_haskil
HCFR – Mai 2021

 

– lien vers le sujet HCFR dédié au BOXEM AUDIO ARTHUR 4215/E2 : https://www.homecinema-fr.com/forum/amplificateurs-de-puissance-haute-fidelite/boxem-arthur-4215-e2-t30114011.html

 

 

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