Test HCFR Panasonic TX-65GZ2000, TV OLED

Test HCFR Panasonic TX-65GZ2000, TV OLED

Compte-rendu d’utilisateur de David_David555

Voici donc le test HCFR du tant attendu Panasonic 65GZ2000, pour lequel je vais notamment m’attarder à détailler la calibration et ses résultats chiffrées.

Pour mémoire, il vient chez moi remplacer une longue liste d’OLED de toutes marques et succède au 65AG9 de chez Sony.

Intéressant, ce n’est pas moins de trois exemplaires que nous avons pu tester. Deux chez Fafa (puisqu’il en a acheté un suite au test du modèle de prêt) et le mien. Pour vérifier l’uniformité d’un diffuseur, difficile de faire mieux !

Alors pourquoi tant attendu ?

Tout simplement car le constructeur japonais a annoncé enfin une amélioration notable de la luminosité, talon d’Achille des OLED. Avec un mystérieux +30% sans qu’il soit possible de savoir si Panasonic parlait du pic de luminosité ou de l’ABL…ou des deux ! Et si vous avez lu mon CR de l’AF9,  ma conclusion était « un AF10 @1000nits : je saute littéralement dessus ! »…

De plus, la compensation de mouvement qui laissait apparaître un stutter prononcé et visible sur la gamme 2018 a été revu entièrement.

1) PRESENTATION :

Pour commencer, surprise ! Le carton pèse bien plus lourd que tous les autres écrans OLED de taille similaire. On apprendra qu’une plaque derrière la dalle est présente uniquement sur cette série, plaque qui a son importance comme on le verra plus tard. Attention à l’installation murale notamment dans du placo. Il faut prévoir une fixation solide.

Esthétiquement, pas de folie chez Panasonic, toujours sobre et sans aucune prise de risque. Seule la barre de son Technics vient rappeler que l’on est bien sur un GZ2000, comparativement à la série 2018.

On retrouve également toujours ce cache en plastique destiné à masquer la connectique arrière… mais qui ne peut être placé avec des câbles branchés. Petit coucou aux ingénieurs lol !

L’OS est toujours sous Firefox OS My Home Screen en version 4.0, sans changement particulier par rapport à la précédente série FZ. Austère, l’interface graphique est digne des années 90. Quel dommage que Panasonic persiste alors que cela fait maintenant trois ans que cette interface est décriée à juste titre dans tous les tests. Très peu d’applications intéressantes en dehors de Plex et des indispensables Netflix, Amazon Video. Ici, pas de Mycanal ni de Kodi. Dommage !

Heureusement, il est cependant très réactif et fonctionnel des l’allumage de la TV. Aucun bogue à signaler.

La télécommande ne change pas non plus, livrée dans sa version aluminium et rétroéclairée. La même depuis longtemps. Aucune raison objective d’en changer, elle fonctionne parfaitement.

L’écran est bien compatible Google Home, je peux le contrôler à la voix sans problème.

Le filtre antireflet ne laisse apparaître aucun reflet magenta, et c’est certainement une première sur un écran OLED.

Par ailleurs, HDR10+ et Dolby Vision sont de la partie. Terminé, de pester sur l’absence de l’un ou l’autre.

2) UNIFORMITE :

Il s’agit de l’un des critères les plus importants à mes yeux pour un diffuseur, toutes technologies confondues. En effet, comment profiter d’un écran, aussi bon soit-il, si du banding, du clouding, du DSE ou autres cochonneries viennent perturber et finalement gâcher un l’image diffusée.

Panasonic a annoncé (enfin) utiliser la correction « Mura » afin d’éliminer tous défauts, notamment sur les gris.

Cela fonctionne parfaitement ! Mon exemplaire est absolument remarquable. Après l’AG9 qui utilise également ce procédé, mon GZ2000 est encore mieux loti. Aucune trace de DSE, aucun banding, je peux oublier ces désagréments pour me concentrer totalement sur l’image !

100 et 10 IRE :

Pour la 5ire, elle est volontairement surexposée. Impossible de la shooter correctement. Si j’arrive à voir la mire sur mon téléphone, elle est en revanche indécelable sur mon écran de PC : écran noir. Les taches roses, vertes ou jaunes sont le fait de mon smartphone, pas de la dalle.

3) CALIBRATION :

Matériels en présence :

Sonde i1 Display Pro, Calman for Panasonic et Enthusiast 2019, générateur de mires intégrés au GZ2000 et MadVr. UHD BD Benchmarks Spears and Munsil.

Source PCHC, M9702V3 (box compatible HDR 10+ et Dolby Vision).

A noter que les résultats obtenus par Calman For Panasonic en Autocal sont supérieurs en termes de précisions à Enthusiast sans que je puisse l’expliquer ! Cependant, ce dernier est bien plus complet.

Petite vidéo montrant une calibration automatique :

 

 

On commence en SDR. Je me suis calé à 126 nits avant calibration.

On lance une série de mesures :

Ajustement des 30 et 100IRE mode Professionnel 2, ces deux points affinent pratiquement toute l’échelle de gris.

Autocal :

Le CIE :

Les Saturations :

La vérification :

Puis le « Avant/Après » comparaison :

La calibration SDR se fait très rapidement et sans difficulté. Pour être franc, ne regardant pratiquement plus que des films en HDR, je n’ai pas cherché à aller plus loin.

Notons également que les modes les plus proches des normes sont les Professionnel, Vrai Cinéma et THX Cinéma. En sortie de boite, il reste un excès de rouge sur la balance des blancs mais cela est tout de même très correct.

Toutefois, dire que le Panasonic GZ2000 est calibré d’usine est une légende urbaine ! Petit tour des différents modes censés l’être :

Cinema :

Vrai Cinema :

THX Cinema : (le plus proche, dixit Chkops « les yeux bioniques » lol)

Personnalisé :

Passons maintenant à celle en HDR10.

Petite surprise, à l’allumage je ne relève qu’entre 810 et 840 nits en mode Professionnel 1. Nous allons voir que pour exploiter le plein potentiel lumineux du GZ2000, il faudra passer obligatoirement par une calibration ! La cause ? L’échelle de gris et la luminance de vert !

J’ai donc ajusté manuellement l’échelle de gris et 940 Nits sur un OLED, du jamais vu ! Chapeau Panasonic ! Ils ont réussi à repousser les limites de la technologie.

Également, il est intéressant de mesurer les progrès de l’ABL par rapport aux séries 2018. Pour des raisons de consommation électrique, ce procédé vient diminuer la luminosité lorsque l’image est « trop blanche ». Pour ma part, je ne l’ai jamais vu en action mais j’avoue ne pas y être très sensible.

Mires à l’appui, comme on peut le voir sur ce graphique, avec une image à 25% de blanc, nous avons plus de 500nits. A mettre en valeur comparativement aux 570nits d’un Sony AG9… lorsqu’il affiche une image à 10% de blanc !

Panasonic @10IRE offre 370 nits de plus, ce qui est foncièrement énorme.

Pas de surprise cependant : sur une mire à 100% de blanc, nous restons autour des 160nits, c’est certainement lié aux limites de consommation imposées.

De plus, nous pouvons constater aussi que le GZ2000 frôle les 1000nits lorsque les effets HDR « perdurent » dans le temps. Mieux, la luminosité a même tendance à monter.

Comme en SDR, la calibration HDR ne pose aucun problème. La courbe EOTF est parfaitement linéaire et l’échelle de gris parfaite. En revanche, aucun mode n’est parfaitement aux normes et cela nécessite donc une calibration.

Je n’ai pas voulu trop toucher au CMS car tous les OLED Panasonic embarques des tables de corrections internes 3DLUT sans possibilité de les modifier.

Par ailleurs, veuillez m’en excuser, mais je n’ai pas réinitialisé les modes Professionnel 1 et 2, d’où le peu de différence avant/après.

En sortie de boite, ça donne  :

4) MON AVIS PERSONNEL :

Cette fois-ci, je vais faire plus court. Tout simplement car Fafa a parfaitement détaillé les qualités du GZ2000. Mais comme nous avons chacun des goûts et attentes qui différent, je vais donner mon ressenti sur les items suivants :

La fluidité : gros gap annoncé par Panasonic sur les GZ. Le constructeur Japonais a entendu nos remarques sur les FZ, à savoir le stutter très/trop prononcé notamment en HDR. Il est toujours présent, mais réellement et largement moindre que sur son prédécesseur. C’est bien simple, je ne suis plus gêné DU TOUT ! Si vous voulez, on devine le stutter sans qu’il ne soit vraiment « visible ».

De même, des progrès ont été réalisés sur la netteté en mouvement, les travelling sont par exemple plus nets que chez Sony.

Nous ne sommes vraiment plus très loin du Motion Flow de Sony ! Bravo à l’IFC de Panasonic.

Et pour finir, il se paye même le luxe de lui être supérieur en 50hz avec bien moins d’artefacts mais également aucun stutter à cette fréquence.

Reste à l’éradiquer totalement @23.976 sur les futurs « HZ » afin de lui damner le pion.

De plus, l’avantage de l’IFC est de proposer un réglage très progressif, il permet de rester bien naturel ou complètement « Fafa Touch » (en d’autres termes, avec un effet soap opera ou camescope).

Les « fameuses » éoliennes, vidéo de Spears and Munsil : https://youtu.be/G8tGauAvIWM

Le traitement vidéo : pas de révolution par rapport aux modelés de l‘année dernière. Pour les habitués, on reste sur une image typée cinéma, pas « au scalpel » ou de « super résolution de la mort » qui pour moi dénature plus l’image qu’autre chose.

Si on reste de très peu en dessous de Sony, notamment grâce à l’excellence de son Reality Création, Panasonic fait partie des ténors dans le domaine du post-processing.

L’upscaling est toujours excellent, du niveau des meilleures platines du constructeur.

Cependant, il y a quand même une amélioration patente de la netteté « de base » par rapport à la précédent série FZ.

Attention à ne pas monter trop haut sur ce réglage. Il y a un seuil à 56. Au-delà, du double contour fait son apparition.

A 30 en netteté :

A 55 :

A 56 :

J’ai également le sentiment d’un effet 3D plus prononcé que sur les séries 800 et 950. Contrairement à ce que j’ai pu lire sur le forum, je ne constate aucun problème de solarisation ou postérisation imputable à l’écran. Si Sony fait sans aucun doute mieux là-dessus, c’est au prix d’une petite perte de netteté lié au dégradé lissé.

Boire ou conduire, il faut choisir !

Mire trop difficile pour mon APN (Trump Mate 20 Pro), sorry !

Par ailleurs, Panasonic est le seul à pouvoir se vanter de maîtriser les noirs clignotants touchant les modèles OLED comme chez LG et Sony (dans une moindre mesure).

La gestion du bruit vidéo dans les bas IRE est également un des points forts des GZ, comme des FZ de l’année passée. Nous savons que les OLED sont moins tolérants là-dessus. En gros, vous n’aurez pas de macroblocking disgracieux et aucun filtre n’est à actionner en prime.

La lisibilité des zones sombres : ici aussi, Panasonic a réalisé un véritable exploit ! C’est tout bonnement le meilleur OLED sur ce critère ! Nous sommes du niveau des meilleurs LCD. Même l’AG9 ne peut lutter. Aucun détail ne passe à la trappe, les micro-détails sont bien présents, les ombres, les fines particules, les fumées… tout est intégralement retranscrit ! C’est un sans-faute ! Les ingénieurs ont effectué un travail d’orfèvre. Il ne fait désormais plus aucun doute, c’est certainement le fabricant qui maitrise le mieux ce domaine.

La colorimétrie : idem aux modèles de l’année dernière, déjà parfaite, je ne constate pas de changement. Juste comme à son habitude, c’est la marque de fabrique de Panasonic. Le « skin tone » n’a pas bougé, toujours excellent.

La TNT/Box : un petit mot là-dessus car il y a des choses à souligner. D’abord, cette réserve lumineuse dont dispose le GZ profite en premier lieu au visionnage de la TNT. Pourquoi ?

Généralement ce contenu dispense d’imagerie avec une luminance bien plus élevée qu’en film. Et c’est là que l’on mesure l’importance de l’ABL. Dès les premières minutes en sa compagnie, j’ai été surpris de trouver une telle dynamique d’image pour un OLED. J’ai eu l’impression de me retrouver parfois avec un LCD,c’est dire ! Mais un LCD avec un contraste infini. Toute la différence est là avec un AG9. Même mon épouse et mes enfants, gourmands en dessins animés (Gulli, Tfou, DBZ super…) m’ont dit texto : « Ah ça y est, on revoit quelque chose !! ». Il est vrai qu’en pleine journée et ayant un salon bien lumineux, avec le Sony il fallait bien souvent baisser les volets. Le « blanc » est d’une tout autre intensité sur le Pana.

Le rendu HDR : avec 940nits sous le pied et un contraste « OLEDien », vous imaginez bien que l’HDR est de haute volée. Les effets prennent une dimension nouvelle. Je pense même que sur certaines scènes, on doit monter au-dessus des 1000nits. Cette réserve profite en premier lieu…aux scènes lumineuses ! Cette gouache est incroyable. Comme sur la tnt, il y a des moments où j’ai l’impression d’avoir un LCD. J’ai commencé mes extraits par le traditionnel Aquaman. Les passages où il s’entraine sur la plage ou dans le désert sont à couper le souffle !

Dans le Roi Lion 2019, la scène du début où Mufassa arrive pour reprocher à son frère son absence lors de la présentation de Simba est énorme ! Le soleil arrache la rétine ! Et cela passe avec une facilité déconcertante !

Dans les scènes sombres, c’est aussi magistral avec un niveau de détails et une lisibilité jamais vue ! John Wick 3, la pluie ressort comme jamais !

« L’amour brille sous les étoiles » : ça n’a jamais été aussi vraie ! lol

Petit reproche, et j’étais passé à côté (merci V.Theo) sur les films encodés à 1000nits, il peut y avoir du color banding sur certaines scènes. Et bizarrement, pas sur toutes. C’est même très rare. Etrange ! Espérons une mise à jour du firmware pour l’éradiquer.

En baissant la lum à 80 plus rien.

Rendu Dolby Vision : pas emballé du tout par le rendu DV du Sony qui se payait le luxe d’être moins bon qu’en HDR10 car trop sombre. Je n’espérais pas grand-chose de ce côté.

Erreur ! Il est bien meilleur sur le GZ2000. L’explication supposée est cette différence de luminosité qui existe entre les deux diffuseurs. Je mesure maintenant le gap qu’il y a entre un excellent tone mapping et des vraies métadonnées dynamiques.

Ainsi, et je ne vais pas remettre les photos Spears and Munsil postées sur le topic comparant HDR10/10+/DV :https://www.homecinema-fr.com/forum/ecrans-uhd-4k/oled-panasonic-2019-gz2000-hdr10-et-dv-test-hcfr-post-1-t30093041-5700.html

Mais je constate qu’il n’y a pas ou peu de différences entre 10+ et 10 avec un tone mapping efficace comme en dispose ce téléviseur Panasonic. Ce qui est incroyable, c’est cette colorimétrie sur le cheval… Laquelle est correcte ? Mystère !

L’image DV est réellement et totalement « retravaillée », et cela se voit : plus piqué, plus de détails en arrière-plan.

Les trois modes d’images Sombre/Lumineux/Eclatant sont une sorte de Calibré/Lumineux/Dynamique. Je reste pour ma part en sombre.

Le Son : simple ! Lire le CR de Fafa dont je suis en phase totale ! Inutile de surcharger le compte rendu. Précision, j’ai essayé en branchant mon Velodyne SPL1200U dessus, le son prend encore une autre ampleur.

Indispensable à mon humble avis pour celui qui ne dispose pas de système dédié.

Nous sommes sur une qualité plus proche d’une bonne barre de son, surtout depuis la dernière mise à jour résolvant les problèmes de craquements. Si on n’a pas les effets de l’Acoustic Surface de Sony (dalle auto émettrice du son), le système Technics n’est pas en reste et a d’autres qualités. La première, sa tessiture sonore plus mat, plus cinéma jusqu’à un volume 50. C’est foncièrement très bon. Ensuite, à très haut volume, le système peut se montrer irritant, notamment sur les aigus. D’ailleurs, je trouve que le son change radicalement. J’ai donc trouvé la parade en paramétrant l’égaliseur intégré.

Les HP « Atmos » ne sont pas là que pour la « photo » où, notamment en jeu vidéo sur Gears 5, j’ai ressenti clairement l’hélicoptère au-dessus de ma tête. Bluffant !

Le Marquage : Pourquoi parler du marquage ? Vincent Theo dans sa review qualifiant le GZ2000 de « pinacle » de l’OLED, a expliqué qu’une plaque était présente derrière la dalle ayant pour but « d’aspirer » tous les défauts inhérents à la technologie et plus particulièrement le marquage. Evidemment, je n’ai pas démonté l’écran pour vérifier ses dires. Malgré tout, deux choses : le téléviseur est vraiment lourd comparativement aux autres. Deuxièmement, lors de mes nombreuses séances de calibration sur divers écrans, les mires fenêtrées HDR ont toujours marquées temporairement la dalle. Inconsciemment, le fait d’avoir vu cela, les PS4/Xbox One/Switch avaient toutes déménagées sur le LCD de mon fils.

Depuis l’achat de mon GZ2000, la One S est revenue ! Car je n’ai constaté aucun marquage sur le GZ2000. J’ai pu finir Gears 5 et en ce moment, je joue Red Dead Redemption 2 (avec le radar incrusté en permanence en bas à gauche). RAS !

Pour les gamers c’est tout de même une vraie avancée.

Pour finir, je dirai même que cette avancée technique est aussi importante que la luminosité supérieure ou l’amélioration de l’IFC.

4) CONCLUSION :

Vous l’aurez compris, je suis TOTALEMENT conquis par ce GZ2000. Si nous ne sommes pas encore sur le diffuseur ultime, on s’en approche furieusement. Pour ce faire, il lui faudrait supporter la norme HDMI 2.1, un support total EARC (Messieurs de chez Panasonic, si vous nous lisez, ne pas décoder du DTS est une absurdité totale ! surtout qu’il gère parfaitement le Dolby Atmos…) et enfin, un OS plus « léché ».

Pour l’année prochaine ?

POINTS FORTS :

– le rendu HDR à 940nits
– la dynamique d’image
– la colorimétrie de rêve comme toujours avec Panasonic
– l’amélioration notable de l’IFC, son efficacité
– le non- marquage de la dalle
– l’ABL supérieur
– le son (après MAJ)
– la réactivité de l’OS
– la sortie subwoofer
– la télécommande rétroéclairée

POINTS FAIBLES :

– le (très rare) color banding @1000nits
– le (très) léger stutter en HDR
– l’absence de décodage du DTS
– l’interface graphique de l’OS digne des années 90

 

David_David555
HCFR – Novembre 2019

 

 

MES RÉGLAGES

HDR10 en Professionnel 1

Niveau de Lum :100
Contraste 100
Luminosité 0
Couleur 50
Teinte 0
Netteté 30
Temperature de Couleur Chaud 2
Couleur Vive Non
Remast Couleur rec 2020 Non
Dynamic HDR Effect Activé
Lum auto hdr Desactivé
Hdr Brightness Enhancer 0
IFC : 10/3
Rec 2020
Balance des Blancs :
Gain rouge – 7 Gain Bleu – 3, tout le reste 0
Ajustement plus détaillé :
2.5/5/10/20/30/40/50 IRE R- 2, le reste à 0
60IRE R+1/Bleu +2
70IRE R+12/V+8/B+11
80IRE R+25 /V+18/B+21
90IRE R+37/V+29/B+3
100IRE R+46/V+41/B+41
Gestion des Couleurs :
Rouge : T+12/S+36/L+31
Vert : T+43/S+25/L- 25
Bleu : T+1/S+5/L+25
Cyan : T+15/S- 5/L- 5
Magenta : T+7/S- 8/L+9
Jaune : T- 5/S+4/L+25
Gamma 2.2
Ajustement plus detaillé :
2.5IRE/5/10/20/30/40/50/60 : +6
70IRE : – 2
80IRE : – 10
90IRE : – 17
100IRE : – 23

SDR en Professionnel 2 :

Niveau de lum 35
Contraste 90
Lum 0
Couleur 50
Teinte 0
Netteté 30
Temp Couleur Chaud 2
Tout les reste sur Désactivé
Contrôle Contraste Désactivé
Gamme couleur rec 709
Balance des Blancs
GR- 7 B- 3 LR- 1 LB- 1 reste 0
Ajustement détaillé :
2.5IRE/5/10/20 : – 3/- 1/0
30IRE : – 3/- 2/- 1
40IRE : – 4/- 1/- 1
50IRE : – 3/- 1/0
60IRE : – 4/- 1 /0
70IRE : – 5/- 1/0
80IRE : – 3/- 1/0
90IRE : – 2/- 1/0
100IRE : 0/- 1/0
Gestion de couleur (Dans l’ordre): +3/+11/+26/+3/+3/- 3/- 2/- 4/+4
Ajustement plus détaillé : +7/+6/+3/+8/+4/+13/- 16/+4/+25
Gamma : BT1886
Ajustement plus détaillé :
2.5IRE à 50IRE :0
60IRE : +1
70IRE : +2
Le reste à 0

 

– lien vers le sujet HCFR dédié aux TV OLED Panasonic GZ2000 : https://www.homecinema-fr.com/forum/ecrans-uhd-4k/oled-panasonic-2019-gz2000-hdr10-et-dolby-vision-t30093041.html

 

 

 

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