Test_CR utilisateur HCFR : JVC DLA-RS3100 (NZ8), projecteur 4K laser, e-shiftX 8K

Test_CR utilisateur HCFR : JVC DLA-RS3100 (NZ8), projecteur 4K laser, e-shiftX 8K

Compte-rendu de Gérald_kaisen

 

Les technologies

 

EshiftX et son traitement d’image associé

Lors du test HCFR du JVC DLA-NZ9, j’avais particulièrement apprécié le rendu procuré par le système EshiftX 8K.

En fait, lors de ce test, nous avions rapidement remarqué que, quel que soit le contenu, il fallait toujours le laisser actif. Sur un film à l’image bruitée ou très propre, je trouve que ce système est très efficace.

Il a tendance à amener de la netteté/piqué dans l’image et, de plus, cela amène un meilleur détachement des plans.

Sur des scènes d’images bruitées, cela a aussi tendance à adoucir ce bruit d’image.

On peut donc en conclure que JVC a sans aucun doute utilisé un traitement d’image puissant pour arriver à ce résultat.

Entre les 3 algorithmes de traitement (Standard, High res1, High res2) et le réglage du paramètre « Enhance », il est clairement possible de trouver le réglage qui vous apportera le meilleur rendu.

J’ai personnellement fait des essais avec une platine OPPO 203 tweaké Coris et une platine Panasonic UB420 tweaké. La 203 a tendance à offrir une image légèrement plus propre, légèrement plus fluide, mais légèrement moins piquée que celle de l’UB420.

Bref, je trouve qu’un film à l’image bruitée rendra mieux avec l’OPPO 203. Sur un film très propre et piqué, l’UB420 peut amener un léger plus en termes de détails.

Par exemple, sur le BD de Batman The Darknight, j’ai plutôt tendance à préférer le rendu de l’OPPO 203.

Par contre sur certain BD UHD, qui ont une image très propre, mais pas forcément très piquée (certainement un upscalle 4K pour la réalisation du BD UHD), en jouant sur les paramètres de netteté de l’UB420, combiné à l’EshiftX, on arrive à un résultat époustouflant.

Un exemple, le BD UHD des Gardiens de la Galaxie N°2. Sur le BD UHD d’origine, on trouve énormément de scènes avec des couleurs bien saturées, mais un niveau de détail/piqué perfectible à mon goût. Le post traitement de l’UB420 combiné à l’EshiftX donne un résultat impressionnant à l’image.

Bref, quelle que soit la platine utilisée, en activant l’EshiftX, en choisissant le bon algo de traitement (Standard, High res1, High res2) et en réglant correctement le paramètre « Enhance », vous arriverez à optimiser le piqué/détail, sans que le rendu manque de naturel et tout cela en diminuant la perception du bruit.

C’est magique l’EshiftX. En fait, j’ai l’impression que ce système de diminution du bruit d’image fonctionne de manière dynamique. Je veux dire par là que si l’on met l’image sur pause, on perçoit la granularité dans l’image ; par contre, lorsque le film est en cours de fonctionnement, le bruit d’image naturel est diminué.

Si vous désactivez l’EshiftX, la perception du bruit d’image du film se fait plus présente. Bref, le rendu de l’efficacité de ce système est impossible à montrer en photo, il faut le tester en grandeur nature.

Il impacte également la perception de la fluidité d’image, et permet de garder une meilleure netteté sur un travelling.

Je n’ai pas « joué » avec les différents paramètres « NR » (Noise Reduction) du traitement d’image et ils sont restés en permanence sur 0.

Ce système EshiftX permet également d’amener un meilleur détachement des plans. Je l’avais remarqué lors du test du NZ9, c’est également vrai sur le NZ8.

 

L’optique 65mm

Il me semblait intéressant de m’attarder sur cette optique de 65mm du NZ8 pour les lecteurs de ce retour d’utilisateur.

Il faut savoir que cette optique a pour origine, la gamme X de JVC.

Ayant manipulé un X500 au quotidien ces 7 dernières années, j’ai acquis une certaine expérience avec cette optique.

Il est clairement évident qu’entre l’optique de mon X500 et celle du NZ8, il y a eu des améliorations, bien qu’en terme de dimensions, elles soient identiques.

Par exemple la granularité des différents réglages (Zoom, Lens Shift, mais aussi le focus) est beaucoup plus fine et plus précise que sur mon X500. Et pourtant, je la trouvais déjà très bien sur le X500, mais ici, cette optique va plus loin.

En désactivant le système EshiftX, il est possible de légèrement deviner l’espace interpixel en regardant attentivement. C’est cependant moins perceptible en comparaison des matrices 1080P de mon X500 (logique).

Le réglage du focus étant plus précis sur le NZ8, il est possible d’atteindre un niveau de netteté d’image qui m’a réellement surpris. En fait, je ne m’attendais pas forcément à atteindre cette netteté avec le NZ8.

Si je fais appel à ma mémoire visuelle, je m’attendais à plus de différence en termes de netteté entre le NZ9 et le NZ8. De mémoire visuelle, et en faisant la comparaison entre les deux, je ne dirais pas que la netteté du NZ8 est identique à celle du NZ9. Elle l’est un peu moins, mais de là à dire que la différence est énorme, j’ai un doute.

Pour rappel, je n’ai pas comparé le NZ8 et le NZ9 en même temps et sur la même installation.

Idéalement, il faudrait que je compare en même temps le NZ8 et le NZ9 pour être vraiment le plus objectif dans mon ressenti.

Bref, j’ai été surpris, dans le bon sens du terme par le niveau de piqué/détail que pouvait amener cette optique de 65mm issu de la génération X.

Je pense cependant que l’optique de 100mm du NZ9 permettra cependant d’exploiter le système EshiftX encore plus loin que celui du NZ8.

Le NZ8 va vraiment déjà très loin dans le rendu, le NZ9 poussera l’expérience encore un peu plus loin avec son optique de 100mm. Je ne dirais cependant pas que la différence est énorme.

Si je fais appel à ma mémoire visuel, j’ai la sensation d’avoir ressenti un encore meilleur « faux effet 3D » des textures de l’image du NZ9 en comparaison du NZ8.
C’est sur point qu’il me semble avoir détecté une légère différence entre le NZ9 et le NZ8, car pour le reste (détail/piqué/détachement des plans/propreté d’image), j’ai eu la sensation d’un résultat pour ainsi dire identique.

Donc à mes yeux, l’optique du NZ8 est vraiment déjà très bien et ce malgré mon immersion très importante (2M50 de largeur de toile pour 2M60 de recul).

Peut-être qu’avec un NZ9 je percevrais une différence à l’image sur mon installation, mais je pense que celle-ci serait relativement faible en termes de perception humaine au niveau de ma position de visionnage.

On précisera au passage que la gestion de l’Iris n’est que statique sur cette nouvelle gamme NZ, du moins avec le firmware actuel V1.20. On ne sait pas ce que l’avenir peut réserver.

Bref, l’optique du NZ9 a sans doute plus d’intérêt pour celui qui a des contraintes particulières de placement, ou un besoin de luminosité accru pour une grande base. Sur une installation similaire à la mienne (base d’image de 2M50), je ne suis pas convaincu du grand intérêt du NZ9, mais je ne dis pas que la différence serait nulle. Je serais curieux d’ailleurs de faire une confrontation du NZ8/NZ9 côte à côte sur une base de 2M50 de large.

La différence de prix entre le NZ9 et le NZ8 enfoncera également le clou… Donc oui, le NZ8 est un excellent compromis dans la gamme NZ. Il faut dire aussi que le prix est plus conséquent sur la gamme NZ que l’ancienne gamme N/NX.

 

Le laser

Une des grosses nouveautés de cette gamme NZ est l’apparition d’une source de lumière laser sur une gamme plus accessible financièrement en comparaison du Z1/RS4500.

Ce laser est annoncé par JVC comme fonctionnant autour d’une largeur d’onde bleu de 455nm. Sa puissance utile serait 105W. Le rendement de ce genre de laser dépend de sa longueur d’onde.

Si je ne dis pas de bêtise, ce sont les lasers fonctionnant dans la longueur d’onde bleue qui ont le meilleur rendement.

Pour information, ce genre de laser fournit une puissance lumineuse utile de 105W pour une consommation électrique de 240W environ (voir les spécifications du laser NUCHIA NUBM36, qui semble proche voir identique au laser utilisé par JVC sur la gamme NZ).

Le laser ne fournissant qu’une longueur d’onde bleue, une partie de son flux vient exciter une roue phosphorescente qui va permettre de créer d’autres longueurs d’onde afin de générer les autres couleurs.

Le laser peut être réglé sur 3 niveaux de puissance : Low, medium, high.

Je pense que la puissance du laser de la gamme NZ permet de générer un flux lumineux à même d’envisager d’être utilisée sur des grandes bases. Personnellement, sur mon installation, je n’ai même pas besoin d’activer le mode laser « High » pour du contenu HDR avec le filtre DCI activé.

Je peux donc envisager sereinement l’avenir en termes de vieillissement du laser (diminution de luminosité qui lui est associé à travers le temps).

Pour la gradation dynamique, à l’inverse de son concurrent Sony, JVC a fait le choix de l’appliquer uniquement sur le laser (et pas sur l’Iris dynamique de l’optique).

Il faut dire que le contraste natif des matrices de cette gamme JVC est déjà assez performant, et sans doute que JVC n’a pas trouvé utile d’activer une gradation dynamique au niveau de l’Iris.

Pour cette gradation, il y a 3 valeurs de réglages possibles : Off, mode 1, mode 2.

Personnellement, j’utilise beaucoup le mode 1 (pour ne pas dire toujours).

Le mode 2 en fait trop à mon goût.

Le contraste natif des matrices de cette gamme étant déjà suffisamment élevé (mais moins qu’un JVC X7900 par exemple), certains trouveront sans doute que le fait de désactiver la gradation dynamique est déjà très bien.

Je dois dire que dans le contexte de mon installation (avec une toile grise technique), l’image est tout à fait convenable et le noir relativement profond (moins qu’un génération X). Bref, je pense que cela conviendrait déjà à beaucoup.

Le fonctionnement de la gradation dynamique est discret durant la diffusion d’un film. À la limite, on perçoit son fonctionnement lors du générique de fin d’un film.

La gradation est donc efficace et les changements de puissance du laser ne sont pas perceptibles durant le visionnage d’un film. Cela permet de renforcer le contraste intra image et natif, surtout lorsque la luminosité d’une image diminue.

D’après ce que j’ai lu, la gradation du laser commence à fonctionner chez JVC lorsque la luminosité d’une image est inférieure à 10 % ADL.

 

J’ai pu lire différents avis sur AVS forum à ce sujet ; certains utilisateurs (comme Kris Deering) pensent que JVC aurait dû commencer sa gradation dynamique à une valeur plus faible que 10 % ADL.

ll me semble que Kris Deering a indiqué que le niveau de contraste Intra-image et natif est suffisamment important sur cette gamme pour envisager de commencer la gradation dynamique pour une image inférieure à 1 % ou 2 % ADL. Je crois d’ailleurs que Kris a suggéré ce point d’amélioration à JVC (un « mode 3») ; il est en étroite collaboration avec JVC pour la mise au point des vidéoprojecteurs.

En fait il pense que cela permettrait de garder une meilleure dynamique pour les images comprises entre 2 % et 10 % ADL.

Pour avoir fait différents essais en gradation dynamique sur « off » et en « mode1 », je comprends relativement bien ce qu’il veut dire.

Ce n’est pas que la gradation dynamique actuelle fonctionne mal, car je trouve qu’elle fonctionne vraiment bien. En fait, je pense que dans sa suggestion, il considère que cela améliorerait encore le rendu.

C’est plus une optimisation. Je n’ai pas son expérience (j’en suis très loin), mais je comprends et partage son avis.

Personnellement, j’ai plutôt tendance à utiliser le NZ8 avec la gradation dynamique activée en « mode1 », car cela amène des noirs profonds (plus profonds qu’avec un série X), même si cela sacrifie un peu de luminosité sur des images à faible ADL.

Je crois que Kris Deering utilise pour l’instant son NZ9 avec la gradation dynamique du laser sur « off ». Il espère que JVC accédera à sa demande de « mode 3 » dans un futur firmware. C’est l’avenir qui dira si cette fonctionnalité verra le jour ou non.

Je pense que, pour la plupart des utilisateurs, il y aura deux écoles, ceux qui utiliseront le « mode 1 » et ceux qui utiliseront la gradation sur « off » .

Je ne vois pas trop l’intérêt du « mode 2 » de la gradation dynamique. Ceci est valable avec le firmware V1.20. Ce sera peut-être différent si un nouveau firmware sort.

Même si la combinaison de réglage des trois puissances de laser avec l’Iris statique (15 positions) suffit à régler le NZ à la bonne luminosité quel que soit le contexte (SDR, HDR, type de toile, …), je pense que JVC aurait dû proposer un peu plus de niveau de réglage de puissance laser (5 à 10 niveaux, pas besoin d’une gradation à 100 positions).

Le gain de cette meilleure gradation ne serait pas sur l’image (qui est au top), mais sur l’optimisation de la durée de vie du laser, du niveau sonore de ventilation, et de la consommation électrique.

Mais encore une fois, ce n’est pas vraiment un défaut, c’est plus un axe d’optimisation. C’est peut-être une chose que l’on verra apparaître (ou pas) dans un futur firmware.

 

Les modes d’image (SDR, HDR, …)

J’ai personnellement utilisé le mode SDR, HDR10 et HDR10+.

Il faut savoir que le mode « HDR10+ » est relativement verrouillé, et vous ne pourrez agir sur aucun paramètre.

Je ne vais pas m’attarder sur le paramétrage SDR, mais je vais plutôt concentrer mon ressenti sur le HDR10 et mon avis concernant le rendu grâce à son paramétrage.

Pour le SDR, je dirais juste que l’image est vraiment très bien, la gradation dynamique du laser amène un plus par rapport aux images sombres. Comme je l’avais remarqué lors du test du NZ9, je trouve que l’EshiftX permet vraiment d’améliorer le rendu des sources SDR (et HDR), d’autant plus si elles sont de qualité.

Pour le HDR10, j’ai pu regarder pas mal d’extraits de film et je dois dire que le DTM de JVC m’a vraiment convaincu.

Je n’ai pas fait l’essai avec un DTM externe, mais j’ai lu que l’intérêt d’un DTM externe (Lumagen, Madvr) devient assez limité sur cette génération de vidéoprojecteur pour les deux raisons suivante :

Le DTM de JVC est déjà bien performant (sans atteindre le niveau de celui du Lumagen ou du Madvr), mais la puissance lumineuse accrue sur la série NZ, en comparaison de la série N/NX, permet de compenser cette « sous performance » du DTM JVC face à Lumagen ou Madvr.

Même si je n’ai pas fait d’essai dans ce sens, je dois dire qu’à l’utilisation et malgré de nombreux essais sur différents films, j’ai toujours trouvé le rendu très convaincant, à la condition de jouer avec le paramètre « HDR » du vidéoprojecteur.

Ce paramètre contient plusieurs valeurs possibles de réglage : « Auto, -2,-1,0,1,2 ».

J’ai vraiment fait beaucoup d’essais autour de cela et j’ai toujours trouvé rapidement en tout début de film le réglage adéquat. Dans la plupart des films, je le laisse sur « 1 ». Sur quelques films, je le mets sur « 0 » ou sur « 2 ».

Le paramètre « Auto » s’adapte en fonction du film (et au final, il se cale automatiquement sur les cinq valeurs possibles en fonction des films/scènes) ; mais dans le cadre de mon installation, j’ai remarqué qu’en le réglant sur « Auto », j’avais un rendu trop sombre de manière générale à mon gout. Est-ce dû au fait que je projette sur une toile grise technique? peut-être.

Le système fonctionne vraiment très bien, mais pour aller plus loin, en axe d’amélioration, un peu plus de gradations dans ce réglage aurait été un plus (10 paliers par exemple au lieu de 5).

Concernant ce que je constate avec le mode « Auto », je ne sais pas si quelqu’un qui utilise une toile blanche aura ce même ressenti. C’est une interrogation.

Il ne faut pas oublier non plus, que dans le cadre de diffusion « HDR », j’ai calibré le VP à 27Fl (filtre DCI activé, laser sur middle), car j’ai cru comprendre que c’est la valeur en général préconisée pour faire du HDR en vidéoprotection.

En passant le laser sur « High » et en augmentant la luminosité (en dépassant ces 27Fl), il n’est pas exclu que le mode « auto » du HDR fonctionnera mieux sur mon installation. À tester.

Ne voyez pas ce que je dis comme un défaut du vidéoprojecteur, car je trouve ce NZ8 exceptionnel, c’est simplement un axe d’amélioration (pour pousser l’expérience visuelle encore plus loin) que l’on pourrait éventuellement voir arriver (ou pas) avec la sortie de nouveau firmware.

Le mode HDR10+ est vraiment très verrouillé, on ne peut toucher pour ainsi dire à aucun réglage. Je crois que je n’ai regardé qu’un seul film dans ce mode. Le rendu était très bien.

Dans ce mode, on peut quand même, de mémoire, activer ou désactiver l’EshiftX et jouer sur le type d’algorithme (Standard, High res1, High res 2). Je ne me souviens plus du titre du film que j’ai regardé, mais j’ai vraiment apprécié son rendu.

Je ne pense pas avoir testé le mode HLG.

 

Le bloc High Contrast et l’impact sur le contraste Intra-image

Il est assez difficile pour moi de faire une comparaison qui soit réellement juste à ce sujet.

Cependant, ce que je peux dire, c’est que le NZ8 a un contraste intra-image meilleur que celui de mon X500 et c’est visible, même en pièce de vie sur une toile grise technique.

Il faut savoir que sur la même journée, j’ai pu voir des extraits du film Ready Player One sur un N5 chez Cinemotion et sur le NZ8 chez moi.

Il est assez évident à mes yeux que le contraste intra image a progressé.

Cependant, je ne dirais pas que cela change réellement beaucoup le rendu de l’image. Donc oui, c’est une progression.

 

Le filtre DCI

D’une manière générale, je pense que l’intérêt de ce filtre ne se fait que pour quelques films, au prix d’une diminution de la luminosité assez importante (25%).

Et pourtant, pour l’instant, je le laisse en permanence actif sur mon installation pour les contenus HDR.

J’ai pu faire quelques essais avec des films présentant des couleurs bien saturées. Par exemple, en comparant le film John Wick2 en Blu-ray puis en UHD Blu-ray  (filtre DCI actif et inactif).

Si la version Bluray est déjà très belle, le fait de passer sur le Bluray UHD amène un plus en netteté, mais aussi en coloration.

Bref, le rendu des couleurs (rouge, vert) va un peu plus loin avec le filtre activé.

Cela peut être appréciable sur certains films. En fonction de l’exigence de chacun, on peut penser que son utilisation est indispensable ou non.

Personnellement et même si je l’utilise, je ne considère pas qu’il soit vraiment indispensable.

Cela peut ainsi donner une idée aux éventuels personnes intéressées par un NZ7.

Bref, même avec le filtre DCI désactivé, je trouve que sur des films utilisant des couleurs bien saturées, on arrive déjà à un rendu colorimétrique suffisamment étendu visuellement parlant.

Après, oui, il amène un plus et sur certains films, on peut vraiment apprécier son apport. Bref, on est déjà très bien sans le filtre, on va plus loin sur certains films avec le filtre, mais au prix d’une diminution de luminosité de 25%.

 

 

– lien vers le sujet HCFR dédié au projecteur JVC DLA-RS3100 (NZ8) : https://www.homecinema-fr.com/forum/projecteurs-uhd-4k/2021-jvc-dla-nz7-nz8-rs2100-rs3100-voir-post-1-t30116417.html

 

 

 

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