Tests HCFR Blu-ray & 4K Ultra HD par le loup celeste – 01/2020

Tests HCFR Blu-ray & 4K Ultra HD par le loup celeste – 01/2020

Godzilla II – Roi des Monstres

Image

Note artistique : 7
Qualité vidéo : 9.5
Qualité audio : 10

Spécifications techniques (4K Ultra HD – France – Warner Bros. – 02 octobre 2019)
– Format vidéo : 3840×2160 / 24p – HDR10+ / Dolby Vision / BT.2020 – YCbCr 4:2:0 / 12 bit – Encodage HEVC – Format 2.39 – Master intermédiaire 2K
– Pistes sonores : Anglais et Français Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Anglais et Français DTS-HD MA 5.1
– Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants

Film : Un divertissement de destruction massive de tous les instants où la colère des Titans écrase l’épaisseur des personnages. Nous nous retrouvons donc avec plus d’action, de monstres et de fracas au sein d’un blockbuster visuellement majestueux mais scénaristiquement creux. Impressionnant même si moins inspiré que le précédent Godzilla.

Image : Solide comme un roc, ce transfert UHD Dolby Vision (et HDR10+) délivre des prestations visuelles robustes. Extrêmement sombres et chargées d’éléments climatiques et/ou de particules en suspension, les images « chaotiques » de l’œuvre n’ont plus à souffrir des problèmes de compression du Blu-ray (comme lors du final sous une pluie battante) et profitent d’une définition accrue, d’un piqué sensiblement amélioré (les vêtements, les décors, la texture des monstres), de couleurs plus subtiles (surtout les bleus et les oranges), de contrastes sublimés (la richesse supplémentaire accordée aux noirs permet une meilleure lisibilité des scènes sous-éclairées) et de sources lumineuses toutes fraîches (les spots, l’énergie émanant des Kaijus, les flammes, les écrans de contrôle, etc.) qui redonnent des détails aux hautes luminances (cf. les éclairs de foudre crachés par King Ghidorah).

Son : Ultra-enveloppantes et pourvues de basses titanesques, ces pistes sonores Dolby Atmos qui secouent méchamment nous plongent en plein cœur de l’action. Les voix (qui peuvent se déplacer dans la scène sonore) sont claires, la partition de Bear McCreary est très aérée, toutes les enceintes sont généreusement exploitées avec des canaux surround débordants d’effets/ambiances et une scène aérienne fantastiquement omniprésente (des hélicoptères, des débris, des monstres, des avions, des orages, des déflagrations d’énergie), et la dynamique fait preuve d’une grande ardeur. De l’intense et du lourd !

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l’image Dolby Vision lumineux)
Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference (YCbCr 4:2:0 / 12 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Mode d’écoute Dolby Atmos), Emotiva XPA-3 Gen3
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

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