Balade HCFR : PAVS 2023, des écoutes… mais pas que…

Balade HCFR : PAVS 2023, des écoutes… mais pas que…

Balade HCFR

PAVS 2023

des écoutes

… mais pas que…

Par

François_Fafa

 

Samedi 21 octobre, c’est le grand départ pour le PAVS. Grand, pas tant que ça puisque j’habite en région parisienne. Mais grand car il s’agit de la grand messe de la hi-fi et du HC, reproduite tous les ans.

Et c’est toujours une belle occasion pour voir (et même écouter) du bon matériel et surtout une très bonne occasion pour retrouver les copains.

Départ de la maison à 9h, arrivée vers 10h15. Je rejoins mon ami de longue date, Ludo… Et nous sommes effarés de constater l’immense double queue pour pénétrer dans le salon. Elle fait le tour complet du centre commercial du Palais des Congrés.

C’en est totalement décourageant et nous décidons de rebrousser chemin. Mais pas n’importe où. Un bref coup de métro plus tard, nous voilà arrivés à la Gare de Lyon, et plus particulièrement chez

 

Elecson. C’était une belle occasion pour passer dire bonjour à Ronan, Fred et Alain.

Et ils n’ont pas eu à nous supplier longtemps pour nous faire accepter une petite démonstration des MBL (marque découverte il y a 2 ans au PAVS, justement). Ici, ce sont les 111F (modèle intermédiaire dans la gamme MBL) qui sonorisent ce bel auditorium.

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Ne nous éloignons pas de l’essentiel cependant. Nous étions venus pour le PAVS…

… 14h au Palais des Congrès, il n’y a plus aucune queue. Ludo et moi retrouvons également Pascal 15 et la visite du salon peut commencer.

Tout comme l’année dernière, il est difficile de s’y retrouver.
Si le plan est simple à étudier, il en est tout autrement lorsque nous sommes dans les différentes zones.


Aussi, on s’attache à la première (et finalement unique) étape obligatoire de ce salon : trouver le stand HCFR afin de saluer les copains et notamment notre cher Président d’Association : Hugo.

S’il n’y avait plus de queue à l’entrée, il y a bien une raison : c’est que les visiteurs sont maintenant à l’intérieur.
La circulation est assez difficile et ajoute une difficulté supplémentaire à la compréhension du plan.
Aussi, on décide de se balader sans objectif particulier.

Avant toute chose, je précise que les écoutes ne sont pas intéressantes que pour juger le matériel (car souvent cela se fait dans des conditions d’écoute difficiles), mais également pour découvrir de nouvelles musiques.

Aussi, je remercie Ragnarsson pour le travail de compilation qu’il a effectué sur ce post :

https://www.homecinema-fr.com/forum/post181252381.html#p181252381

 

Tout d’abord, nous avons visité les allées du hall central, où se concentrent les gros stands

tels que celui de Yamaha ou de Sony.

 

Nous y avons croisé également notre confrère PP Garcia,

avec qui il est toujours super sympa de discuter. Mais nous n’aurons pas réussi à savoir quelle raison a motivé Klipsch à ne pas être présent sur ce salon… 😉

 

Passage chez Pier Audio,

avec en écoute les très connus, Chris Jones – No Sanctuary Here et
Eric Clapton – Tears in Heaven.
Sont à l’honneur des enceintes bibliothèques « Full Range Speaker ». Elles disposent donc d’un HP large bande, néanmoins soutenu par un tweeter plus classique en position inférieure.
Les pieds sont magnifiques et de par leur conception, on imagine très bien qu’ils participent à la qualité de restitution de l’enceinte en lui offrant stabilité et inertie. La forme même du piétement doit intervenir dans la diffusion du son.

Paradoxalement, je ne peux m’empêcher de trouver cela dommage.
Car finalement, le principe d’une bibliothèque, comme son nom l’indique, est d’être possiblement posée sur un meuble.
Que penser d’une enceinte bibliothèque dont la présence d’un pied est nécessaire à la bonne restitution du son. Ne serait-il pas plus judicieux de prendre une enceinte colonne ?
Cela dit, nécessaire ne veut pas dire obligatoire.

 

On pouvait également découvrir les électroniques Pier Audio,

fort logiquement utilisées pour alimenter les enceintes éponymes.

 

La pièce suivante nous permet de découvrir de bien belles électroniques

Jadis attaquant une belle ébénisterie de la marque Davis Acoustic.

 

Si l’ébénisterie des « The Wall » est belle, cela reste néanmoins un objet imposant dont le design est discutable.

En revanche, ce qui est moins discutable, c’est la qualité de restitution sonore : une très belle transparence, de la dynamique, des attaques de notes précises, une écoute vivante comme cela me plait.
J’ai pu le constater sur TakéDaké – Japanese Roots (feat. John Kaizan Neptune) et sur l’excellente dynamique de l’intro de Bernard Lavilliers – Rafales.

 

En statique, sont exposées les magnifiques enceintes Stellar et leur peinture « graphiti ».

 

Cela ne se voit pas sur la photo, mais la peinture est en relief. C’est très original, mais j’apprécie pleinement.

 

Les amplis Jadis ont eu droit au même traitement. Sur l’ampli, c’est nettement moins exubérant que sur les enceintes.

 

Passage rapide par la pièce Octavio

qui propose de petites enceintes actives connectées : les Maestro.

On peut les utiliser en solo ou en stéréo.
L’esthétique tranche radicalement avec la pièce précédente et la restitution sonore également.
Le dicton « comparaison n’est pas raison » prend tout son sens. On passe d’une enceinte où le compromis laisse peu de place à l’esthétique et à l’encombrement à une enceinte où il s’agit clairement de la qualité principale.
Cependant, cette sobriété esthétique s’accompagne néanmoins d’une belle qualité de fabrication et d’une restitution sonore tout à fait correcte au regard de la taille.
Ce sont des enceintes vraiment mignonnes, bien finies et qui savent également jouer de la musique.
Octavio propose toute une gamme de matériels électroniques ainsi qu’une application de streaming (Octavia Virutose, compatible Androïd et Ios) intégrant nativement Deezer et Qobuz.

 

Changement radical d’ambiance avec Atohm.

On reste sur des enceintes relativement compactes puisqu’Athom nous présente sa gamme GT Series, composées d’une paire de bibliothèques (GT1-HD) et de 2 paires de colonnes (GT2-HD et GT3-HD), le tout amplifié par leur amplificateur RS 700 GT.
L’écoute des petites bibliothèques est impressionnante dans la restitution du grave.
A l’oreille, je pensais écouter les colonnes.
C’est visuellement qu’on se rend compte que c’est la petite bibliothèque qui est en route : son petit boomer de 150mm, à forte élongation, fait réellement dans le démonstratif visuel. On a l’impression qu’on va devoir le rattraper en plein vol.
Et pourtant, ça fonctionne. Il reste bien accroché à son enceinte et il restitue les graves de manière convaincante.

L’écoute suivante s’est faite sur la colonne milieu de gamme, équipée de 2 boomers 150mm. Le grave gagne en extension dans le bas du spectre.
Il aurait été intéressant d’écouter la colonne GT3-HD, avec ses 2 gros boomers de 180mm et son médium de 150mm, mais j’ai poursuivi ma balade avant la fin de la démonstration, afin de me rendre dans la pièce Gryphon.

 

Chez Gryphon,

nous pouvions découvrir l’enceinte colonne EOS2, au design très travaillé, amplifiée par le mastodonte intégré 333.

Le design des colonnes EOS2 est assez original et je comprends que ça ne puisse pas plaire à tout le monde. Pour ma part, j’aime beaucoup, surtout de face, avec ces cordes qui font penser à un instrument de musique.

Succédant au réputé 300, l’ampli intégré 333 ajoute 33w portant donc la puissance totale à… 333w.

En source, on pouvait écouter la platine vinyle Brinkmann Taurus, impressionnante à regarder et magnifique à contempler.
En statique, on pouvait y trouver de l’électronique nettement plus classique, de la marque Ideon Audio, que je ne connaissais pas, et de Meitner.

 

Poursuite de la balade par une brève incursion chez Q Acoustic

où nous étaient présentées 2 colonnes, très bien finies.

La Concept 500 propose une finition en satin blanc sur les 2/3 avant, et en bois traditionnel sur le 1/3 arrière, le tout posé sur un pied en métal. L’ensemble est vraiment classe.
La colonne 5040 a un design plus traditionnel, mais ses bords arrondis et son pied arrière en boomerang sont très réussis.
Je n’ai hélas pas pu les écouter, la priorité étant alors donnée à la salle à côté.

 

Salle à côté qui fait la part belle au jaune pour les enceintes Horns FP12 mkII.

De grosses bibliothèques posées sur leur pied dédié, aussi disponibles dans d’autres coloris.

Alimentées par de l’électronique EERA, on a pu y écouter Valery Gergiev & LondonSymphonic Orchestra – Romeo & Juliette, Op. 64 Act I: Scene V, The Quarrel.
Le qualificatif d’enceinte bibliothèque est quelque peu usurpée, car clairement, Horns n’a pas  cherché le compromis « restitution sonore / encombrement ». On a donc à faire à une enceinte de bonnes dimensions.
Cependant, son pied est optionnel et elle en est donc indépendante.
A noter que Horns fabrique également des meubles audio. Ainsi, on peut assortir le mobilier audio à l’enceinte.

 

Jolie exposition des enceintes Fyne Audio,

et leur suspension de HP reconnaissable entre toutes.

 

Mention spéciale à l’enceinte la Vintage 12,

qui s’inspire ouvertement du design des vieilles enceintes et notamment de Tannoy, mais dans un style un peu moins « rococo ».

Ne pas s’y tromper cependant, il ne s’agit pas d’un modèle ancien mais bien d’un modèle actuel, avec la technologie Fyne Audio moderne pour la conception des HP.

On y trouvait également des enceintes plus en rapport avec notre époque, avec les modèles de la série F1. La F1-10, et surtout la F1-12 présentées en tant que fleuron de cette gamme, sont magnifiques, avec une très belle ébénisterie laquée.

 

A noter la présence de deux potards de réglages en position basse, dont les annotations sont peu explicites.
Le potard « Presence » semble agir sur les aigus.
Celui concernant l’ « Energy » agirait-il sur les basses ? Je n’ai pas trouvé l’information.

 

Le tout est alimenté par des électroniques Accuphase,

dont j’approuve pleinement le choix, étant moi-même un amateur de cette marque (je dispose d’un ancien amplificateur E550).

Si cette marque ne fait pas de compromis sur les qualités techniques de restitution audio, il est cependant dommage que le streamer propose une interface datée. Ca me rappelle l’interface de ma première Pronto.
Cela dit, c’est anecdotique car ça n’empêche aucunement de bénéficier d’une belle interface sur sa tablette ou son smartphone, via l’application de streaming.

 

On poursuit avec la salle suivante, mettant bien en avant

une autre marque que j’affectionne : Chord Electronics (dont je possède un DAC Hugo TT).

Le design de ces électroniques est quand même… spécial. Et je n’approuve absolument pas.

Cependant, ça marche vraiment bien et c’est bien le plus important.
Chord alimentait des enceintes ATC.

L’année dernière, on avait pu écouter les SCM-200ASLT, de très grosses enceintes assez disgracieuses, qui proposaient de très bonnes performances audiophiles.
Cette année, ATC a mis en avant des enceintes plus abordables mais dont on retrouve néanmoins les qualités propres à la marque en termes de musicalité.

 

En tant que fan de B&W pour le Home Cinema,

passage obligé par cette marque, alimentée comme souvent par de l’électronique Classé Audio.

Hélas, je n’aurais pas pu faire d’écoute, ce qui est dommage car c’est toujours un plaisir d’écouter les 800 D4. Je me serais consolé en les regardant, notamment la boule medium, somptueuse, et accueillant sur le dessus le fameux tweeter Nautilus.

 

Passage rapide par le stand Audioquest,

dont les câbles mettaient en avant les enceintes Goldenear T66 alimentées par de l’électronique Moon.
De bien beaux câbles et de bien belles enceintes…

 

Passage obligé par le stand Magico,

présentant fièrement ses enceintes S3. C’était l’une des écoutes phares du salon, où on a pu écouter notamment Mark Knopfler – Privateering

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Le rendu est étonnant compte tenu de la fabrication de ces enceintes, impliquant un châssis interne en aluminium.
Etonnant car jusqu’ici, je n’aurais pas prêté de grandes vertus acoustiques à l’alu, métal souple et vibrant comme une casserole dans les murs en placo.
Force est de constater que Magico ne s’est pas arrêté à cela et a su en tirer le meilleur pour ses enceintes.

 

Cela m’a permis de découvrir l’électronique Pilium,

que je ne connaissais que de nom. Le bloc mono est impressionnant par ses dimensions.

 

Faute de places, je n’aurais pas pu me rendre dans le stand Cabasse, surpeuplé.

C’est dommage car l’écoute des « Sphere » me tentait vraiment.
J’aurais néanmoins pu admirer la sphère en coupe, exposée près de l’entrée de la salle.
Cela permet de pleinement se rendre compte du travail d’ingénierie nécessaire pour concevoir et produire une telle enceinte.

 

Chez Martin Logan, on a pu voir les magnifiques panneaux Neolith.

Je les avais écoutées l’année dernière et j’apprécie beaucoup ce rendu sonore, certes un peu spécial.
A noter que la partie basse est active (et lourdement amplifiée) et dont les HP sont placés dans un caisson de très grandes dimensions. Et pour en ajouter encore, elle est égalisée par le système DIRAC.

 

Tannoy présentait une bonne partie de sa gamme.

J’ai toujours un peu de mal avec ce design très daté et fortement connoté « rococo ».
Cependant, il faut reconnaitre que ça sonne très bien, notamment grâce à la conception des HP concentriques.

On pouvait compter sur des électroniques Western Electric et AudioResearch l/50 pour alimenter les « grand-mères ».

 

On poursuit dans le vintage, tendance 70’s avec les enceintes Bellame,

dont l’esthétique semble parfaitement assumée par ses concepteurs.

Je trouve néanmoins dommage de devoir accorder son intérieur à ses enceintes, surtout qu’il s’agit d’un « buffet ».
Je ne m’imagine absolument pas avec de telles enceintes dans mon salon.
Cependant, le constructeur pense à tout puisqu’il propose également le mobilier audio s’accordant avec les enceintes.

Et toujours sur un registre esthétique, ça s’accorde finalement assez mal avec les électroniques Advance Paris dont le design est clairement moderne (et gagnerait à être plus sobre, à mon goût).
Néanmoins, que ce soit pour Advance Paris ou Bellame, on ne peut que saluer la qualité de finition, et notamment la qualité de l’ébénisterie des enceintes et du meuble assorti.

 

Toujours dans la famille vintage des 70’s, je demande maintenant les pères Bang & Olufsen.

C’est néanmoins plus sobre, et donc plus intégrable dans un salon, que les enceintes Bellame.

 

Divatech nous a proposé son traditionnel mur d’enceintes.

Il est dommage que sur ce salon, les capacités d’intégration n’aient pas été plus mises en valeur. Car les modules Divatech sont justement prévus pour se fondre dans la décoration, avec différents habillages et dimensions, à la manière de ce que peut proposer un cuisiniste. Cela peut même être « invisible », en quelque sorte, encastré au sein d’un grand mur d’étagères.

Le système présenté ici était relativement petit. Divatech est capable de bien « pire », pour le plaisir de nos oreilles et de notre thorax, qui vibrent au gré de la musique ou du film.
Je me suis promis qu’un jour, j’aurais un mur Divatech.

 

Pour revenir à de l’esthétique plus traditionnelle (quoique), Wilson Audio

nous a permis d’écouter un morceau très difficile à passer : Czech Film Orchestra – Dacoit duel.

A noter que j’ai découvert ce puissant morceau « Dacoit Duel » lors de la démonstration MBL, il y a 2 ans et c’était très spectaculaire.
Les Wilson Audio ne sont pas aussi démonstratives, mais elles sont toujours aussi majestueuses dans leur restitution.

Fidèle allié de la marque, Dan d’Agostino s’occupait de l’amplification.

 

Elipson proposait ses traditionnelles enceintes sphériques Supravox.

Le choix musical était assez audacieux puisqu’il s’agissait d’un morceau d’electro certainement assez élitiste : Röyksopp – Control. Ca m’a fait penser à du Kraftwerk sur un certain passage.

 

En statique, étaient bien mises en avant les sphères W35+, ainsi qu’un système plus classique, de la gamme Horus utilisée ici dans un cadre Home Cinema

 

Mais le clou du spectacle pour moi fut

la découverte du mur VisionR de Xtrem Screen.

D’une part, j’ai découvert l’image micro-LED. A l’instar de l’OLED, il s’agit de pixels auto-émissifs. Chaque pixel émet donc sa propre lumière. En s’approchant, on voit d’ailleurs clairement ces petites LED qui changent de couleurs.

La taille est impressionnante, ainsi que le format en 21/9.

L’écran est composé de plusieurs petites dalles d’une quinzaine de cm.

Je suppose donc que c’est relativement modulable dans la taille et le format. Et il est possible que l’écran soit monté dans la pièce même du client… A moins de construire la maison autour de l’écran (ce qui peut être envisageable, vu le prix de cet écran…)

La qualité de restitution est assez incroyable. La puissance lumineuse est impressionnante et permettait vraiment de profiter du HDR alors qu’on était dans un environnement très lumineux.

De près, et de manière inévitable, les pixels sont visibles.

Et foule oblige, cela nous incitait justement à être près. Ce n’était alors pas exploitable. Non pas uniquement à cause de l’effet de moirage des pixels, mais aussi et tout simplement parce que l’image était trop grande et que je n’en voyais pas les bords.Idéal pour une immersion dans un JV… Mais pas pour visionner un film.

En fin de journée, j’y suis revenu. Il y avait moins de monde et j’ai pu prendre le recul nécessaire. Et le spectacle est alors exceptionnel. Une immersion par la taille comme on peut la trouver au cinéma, mais avec une qualité d’affichage digne des meilleurs téléviseurs du moment. Ca m’a clairement fait rêver.

 

Ce fut la fin de cet après-midi et il est temps d’en faire un bilan.

Par rapport à l’année dernière, je note que quelques marques ont brillé par leur absence et c’est dommage.
Je pense notamment à la marque JMR et son représentant Jean-Claude Reynaud, avec qui j’apprécie toujours discuter.  Klipsch n’était pas non plus présent alors qu’ils savent créer de sacrées animations.

De même, l’audiomobile et le mini-salon de l’auto n’ont pas été reconduits.

Cependant, avec pourtant moins d’exposants, je n’ai pas réussi à tout voir. Il faut dire qu’il y avait beaucoup de monde. Et si c’est bien sûr un inconvénient pour profiter des différents stands, je ne peux que saluer l’engouement du grand public pour notre domaine de prédilection.

Puis fin du salon, mais pas fin des festivités pour autant… puisque nous étions en route pour le restaurant où avait lieu le dîner de l’Association HCFR.

 

A table !

 

Puis après le discours de notre Président de l’Association HCFR que nous remercions pleinement pour son engagement.

… le Menu :

 

François_Fafa
HCFR – Octobre 2023

 

– lien vers le sujet HCFR dédié au PAVS 2023 : https://www.homecinema-fr.com/forum/event-officiel/2023-paris-audio-video-show-sa-21-di-22-pro-lu-23-oct-t30127229.html

 

 

 

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