Le chien

» 17 Juin 2011 19:51

putain de tondeuse !

» 17 Juin 2011 21:37

Bon, je viens de voir ton explication, danieln70850, que je ne conteste pas et peut-être as-tu raison. Cependant, reste le ressenti de ce que j'ai vu. L'ensemble homme-chien ne me semblait pas découler d'une osmose agréable mais peut-être que je me trompe. J'ai eu 2 chiens totalement différent : un york (16 ans), un border-coolie (15 ans) alors peut-être que ce sont des chiens faciles mais je n'ai jamais eu à utiliser ce genre de dressage, la voix suffisait avec des intensités que les chiens savaient percevoir. La complicité, le respect réciproque a fait qu'ils comprenaient ce que je souhaitais qu'ils ne fassent pas et je n'ai jamais eu de problème. Des animaux attachants (sans pour autant n'avoir jamais été attachés) sans soucis à qui nous avons apporté ce qu'ils étaient en droit d'attendre... de l'attention, de l'affection et de la communication. En tout cas, ton intervention est sans doute très utile pour comprendre qu'il ne suffit pas d'acheter un chien, encore faut-il s'en occuper jusqu'au bout. :wink:

» 17 Juin 2011 22:22

bonsoir
tu as eu le privilège de vivre avec un border qui si ma mémoire est bonne rentre dans le top five du classement des chiens en terme de capacité pour ne pas dire d'intelligence au travail avec le golden retriever , le berger allemand ....et même le beagle pour la douane canadienne.
il faut avoir vu travailler ce chien sur des canards pour comprendre .
il faut retenir que plus le chien est réceptif et plus l'éducation s'en trouve facilitée , il en est autrement avec un bouvier des flandres , un schnauzer géant ou un beauceron de caractère fort (( le chien pensant selon Colette ) .
c'est alors qu'il faut être ferme mais non violent au risque de le payer content et pour toujours car il est facile de casser un chien sans mode d'emploi.
la laisse est le moyen de communication pour les deux à trois premières années du chien selon la race , il est ensuite facile de l'oublier lorsque l'on aborde la marche au pied avec un bout de laine ...
ensuite , la parole devient même superflue , le geste minimaliste suffit ...
au plaisir de parler chien
dn

» 18 Juin 2011 19:00

Lorsque j'avais 11 ans, nous avions un chien qui s'appelait Ulysse (oui en rapport avec Ulysse 31

). C'était un Groendal croisé bas rouge. Mon père avait été le chercher dans un refuge. Il avait été mal traité. Cela faisait trois ans que nous l'avions, mais nous le laissions que dans une seule partie de la maison.
Un soir je suis allé le voir, je me suis accroupie, et je lui ai dit Ulysse, fait un bisou. Il s'est mis a grogner. Je l'ai regardé et je lui ai répété, Ulysse, fait un bisou. Il a grogné, mais cette fois plus fort. Je me suis levée, fait demi tour, il m'a sauté dessus, et attrapant au passage, dans sa gueule, mon oreille.
Il avait arraché le pavillon de l’oreille, celui-ci ne tenait que par le lobe.
Je suis tombé sur un très bon chirurgien plastique, qui avec 36 points de sutures, a ressoudé le tout, ne laissant qu’une légère cicatrice.
Pendant 2h30, allongée sur cette table, sentant un par un les points, je ne pensais qu’a une seule chose : je ne voulais qu'on pique MON chien.
Mon père m'a dit l'voir donné a quelqu'un qui cherchait un chien de garde pour une grande propriété. Je n'ai jamais cherché a savoir si c'était vrai. Je préfère penser que oui !
Aujourd’hui, je ne m’approche pas des gros chiens, comme tout le monde d’ailleurs, mais je n’en ai pas peur pour autant.
Et la moral, c’est qu’il n’y a pas de mauvais chiens, il n’y a que de mauvais maîtres. :wink:

» 18 Juin 2011 19:41

hé ben on en apprend des choses

» 18 Juin 2011 19:43

» 18 Juin 2011 19:53

Un nouveau modele de caisson ? :mdr:

Et oui Nono !!!! Et tu sais pas tout encore :ane:

» 18 Juin 2011 20:01

Madame B a écrit:Un nouveau modele de caisson ?

Et oui Nono !!!! Et tu sais pas tout encore

Aie !! serais tu un homme caché dans un corps de femme :hehe:

» 19 Juin 2011 8:32

Voici une copie conforme du dernier chien que j'ai eu (dcd en 2006) : une femelle Cocker.
A la différence près que la mienne avait le poitrail tout blanc.
Un sacré numéro, une superbe frimousse (là, la prédisposition des cockers anglais à la comédie n'est pas usurpée... ah, les fameux yeux de Cocker) et une humeur toujours égale. Bref, une compagnie que je n'oublierai jamais