Hé Hé Hé...... .
Tu aurais du demander à les écouter sur les Audience 72.....
Quand je suis passé écouter le JD100, étaient installées une paire de Jamo.....vraiment très mauvaises et les Divatech, donc j'ai demandé autre chose.
En tout cas c'est un vrai bonheur de lecteur .
Stamper.
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Les Lecteurs CD & SACD
A vrai dire y avait que ces Jamo ou Divatech, donc....
- fwar
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J'ai aussi "bénéficier" des Divatech et des Jamo, et les Diva étaient bien supérieures. Leurs caractéristiques permettaient de bien mettre en évidence les différences entre les lecteurs en amont, et c'était bien le but de la manoeuvre.
Je vais tenter jeudi une comparaison Jolida jd 100, Vecteur 4.2 (auquel j'ai gouté samedi dernier, ça m'a donné envie d'appronfondir) et le nouveau Musical Fidelity 3.2
Je vais tenter jeudi une comparaison Jolida jd 100, Vecteur 4.2 (auquel j'ai gouté samedi dernier, ça m'a donné envie d'appronfondir) et le nouveau Musical Fidelity 3.2
- JohnTChance
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JohnTChance a écrit:J'ai aussi "bénéficier" des Divatech et des Jamo, et les Diva étaient bien supérieures. Leurs caractéristiques permettaient de bien mettre en évidence les différences entre les lecteurs en amont, et c'était bien le but de la manoeuvre.
Je vais tenter jeudi une comparaison Jolida jd 100, Vecteur 4.2 (auquel j'ai gouté samedi dernier, ça m'a donné envie d'appronfondir) et le nouveau Musical Fidelity 3.2
Où ça?
- fwar
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Cinemania à Chelles (77)
à 20 mn de la gare de l'est, 30mn de St Lazare
à 20 mn de la gare de l'est, 30mn de St Lazare
- JohnTChance
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JohnTChance a écrit:Cinemania à Chelles (77)
à 20 mn de la gare de l'est, 30mn de St Lazare
Bon ben dans l'attente d'un CR vendredi
- fwar
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Bon, voilà j’ai passé une heure à écouter le Jolida jd 100, le Vecteur 4.2 et le Musical Fidelity 3.2.
Pour faire simple, commençons par le cas du Musical. A mon avis cette machine est nettement surclassée par les deux autres (mais elle est moins chère). Sur le 1er extraits (sonate de piano de Beethoven) le timbre du piano ne me satisfaisait pas pleinement, la résonance des accords manquait un peu de richesse. L’écoute suivante sur le Jolida apportait immédiatement tout ce qui me manquait, dès les premières notes. Le passage au Vecteur confirmait le diagnostic. Sur le deuxième extrait (Bartoli chantant Rossini accompagnée au piano) le timbre de la voix, l’articulation, la poussée des notes sur les crescendos n’ont fait tiquer un peu, surtout par rapport aux deux autres concurrents.
Je n’ai donc pas poursuivi l’écoute du MF car sur tous les critères il était en dessous.
Les deux autres sont plus difficiles à départager car ils n’ont pas les mêmes qualités.
Sur le1er extrait (piano de Beethoven) on sent une vivacité plus aiguisée du Vecteur / Jolida, ce dernier étant plus doux mais très dynamique néanmoins.
Sur l’extrait Bartoli-Rossini les différences se marquent plus facilement. Le positionnement physique de la chanteuse dans l’espace d’écoute étaient nettement plus net avec le Vecteur, tout comme le suivi mélodique et rythmique. Le timbre de voix était plus « blanc » avec le Vecteur et plus chaleureux et harmonique avec le Jolida (est ce l’effet des tubes ?).
Ensuite j’ai écouté un quintette à cordes. L’effet globalisant du son du Jolida et l’effet « spatialisant » du Vecteur est apparu dans toute sa splendeur : avec le Jolida on entend les 4 instruments, certes parfaitement localisés dans l’espace, mais se recouvrant pour former un tout, avec le Vecteur ils se détachent les uns des autres de façon plus marquée. Et toujours une vivacité plus marqué du Vecteur. Par contre le Jolida produit par moment un son au charme irrésistible ; sur le quintette, l’alto sonnait merveilleusement bien.
Remarquons au passage que le niveau de sortie des deux appareils n’est pas le même, il faut ajuster le niveau à la hausse en passant sur le Jolida.
Puis j’ai écouté des extraits symphoniques. Bon je ne vais pas tout détailer car en fait la personnalité des deux appareils vue sur les 3 extraits précédents s’est complètement confirmée ensuite. Que ce soit dans le pianissimo (extrait de la symphonie avec orgue de Saint-Saens) ou le fortissimo (scherzo de la symphonie n°5 de Bruckner) ou le classique et difficile Haydn (symphonie 82). Par exemple le Bruckner était typique. Avec le Jolida on entend tout l’ensemble de la philharmonie de Berlin parfaitement en place, le rythme est bien marqué, mais on entend un son un peu fusionné. Donc sur un grand crescendo typiquement Brucknerien on voit le bloc des musiciens se soulever d’un seul morceau. Avec le Vecteur, c’est comme si on voyait séparément les 100 musiciens se lever d’un coup et se précipiter vers vous ! c’est nettement plus impressionnant. Sur les extraits symphoniques, la capacité du Vecteur à séparer les voix, à leur donner une vie propre, à les localiser dans l’espace, est supérieure au Jolida, rendant l’écoute plus vivante.
En synthèse :
Le Jolida : un son aux timbres chaux et doux mais réalistes, avec énormément de charme, une écoute moins typée que le Vecteur et sans doute plus facile à marier avec tout type de chaîne, qui n’engendrera aucune fatigue à l’écoute prolongée. Ceux qui veulent un son « confortable » avec une écoute à volume « réduit », sur des petites formations seront sans doute comblés. Et de toute façon il faut être difficile pour ne pas aimer le rendu sonore de cet appareil.
Le vecteur : un son d’une animation, d’une vivacité extrême, un suivi mélodique et rythmique supérieur, une dynamique plus vivante, bref ennui interdit avec cet appareil. Des timbres légèrement plus « blancs » que le Jolida. Une capacité à séparer les voix supérieure, alliée à une dynamique « à décorner les bœufs » le favorise sur les grandes formations orchestrales. Ceux qui cherchent une écoute plus proche du live ou de ce que les bons vieux LP 33 tours (pour ne pas parler des 78 tours) pouvaient donner d’écoute vivante avec les bonnes cellules à bobine mobile, préféreront sans doute le Vecteur. Attention toutefois, si la chaîne est un poil trop vive ou agressive, le Vecteur risque d’accentuer ces défauts alors que le Jolida s’en tirera sans doute mieux. Le Vecteur est fait pour les chaînes très équilibrées.
En tous cas, deux beaux appareils, je suis plus réservé pour le Musical Fidelity.
Pour faire simple, commençons par le cas du Musical. A mon avis cette machine est nettement surclassée par les deux autres (mais elle est moins chère). Sur le 1er extraits (sonate de piano de Beethoven) le timbre du piano ne me satisfaisait pas pleinement, la résonance des accords manquait un peu de richesse. L’écoute suivante sur le Jolida apportait immédiatement tout ce qui me manquait, dès les premières notes. Le passage au Vecteur confirmait le diagnostic. Sur le deuxième extrait (Bartoli chantant Rossini accompagnée au piano) le timbre de la voix, l’articulation, la poussée des notes sur les crescendos n’ont fait tiquer un peu, surtout par rapport aux deux autres concurrents.
Je n’ai donc pas poursuivi l’écoute du MF car sur tous les critères il était en dessous.
Les deux autres sont plus difficiles à départager car ils n’ont pas les mêmes qualités.
Sur le1er extrait (piano de Beethoven) on sent une vivacité plus aiguisée du Vecteur / Jolida, ce dernier étant plus doux mais très dynamique néanmoins.
Sur l’extrait Bartoli-Rossini les différences se marquent plus facilement. Le positionnement physique de la chanteuse dans l’espace d’écoute étaient nettement plus net avec le Vecteur, tout comme le suivi mélodique et rythmique. Le timbre de voix était plus « blanc » avec le Vecteur et plus chaleureux et harmonique avec le Jolida (est ce l’effet des tubes ?).
Ensuite j’ai écouté un quintette à cordes. L’effet globalisant du son du Jolida et l’effet « spatialisant » du Vecteur est apparu dans toute sa splendeur : avec le Jolida on entend les 4 instruments, certes parfaitement localisés dans l’espace, mais se recouvrant pour former un tout, avec le Vecteur ils se détachent les uns des autres de façon plus marquée. Et toujours une vivacité plus marqué du Vecteur. Par contre le Jolida produit par moment un son au charme irrésistible ; sur le quintette, l’alto sonnait merveilleusement bien.
Remarquons au passage que le niveau de sortie des deux appareils n’est pas le même, il faut ajuster le niveau à la hausse en passant sur le Jolida.
Puis j’ai écouté des extraits symphoniques. Bon je ne vais pas tout détailer car en fait la personnalité des deux appareils vue sur les 3 extraits précédents s’est complètement confirmée ensuite. Que ce soit dans le pianissimo (extrait de la symphonie avec orgue de Saint-Saens) ou le fortissimo (scherzo de la symphonie n°5 de Bruckner) ou le classique et difficile Haydn (symphonie 82). Par exemple le Bruckner était typique. Avec le Jolida on entend tout l’ensemble de la philharmonie de Berlin parfaitement en place, le rythme est bien marqué, mais on entend un son un peu fusionné. Donc sur un grand crescendo typiquement Brucknerien on voit le bloc des musiciens se soulever d’un seul morceau. Avec le Vecteur, c’est comme si on voyait séparément les 100 musiciens se lever d’un coup et se précipiter vers vous ! c’est nettement plus impressionnant. Sur les extraits symphoniques, la capacité du Vecteur à séparer les voix, à leur donner une vie propre, à les localiser dans l’espace, est supérieure au Jolida, rendant l’écoute plus vivante.
En synthèse :
Le Jolida : un son aux timbres chaux et doux mais réalistes, avec énormément de charme, une écoute moins typée que le Vecteur et sans doute plus facile à marier avec tout type de chaîne, qui n’engendrera aucune fatigue à l’écoute prolongée. Ceux qui veulent un son « confortable » avec une écoute à volume « réduit », sur des petites formations seront sans doute comblés. Et de toute façon il faut être difficile pour ne pas aimer le rendu sonore de cet appareil.
Le vecteur : un son d’une animation, d’une vivacité extrême, un suivi mélodique et rythmique supérieur, une dynamique plus vivante, bref ennui interdit avec cet appareil. Des timbres légèrement plus « blancs » que le Jolida. Une capacité à séparer les voix supérieure, alliée à une dynamique « à décorner les bœufs » le favorise sur les grandes formations orchestrales. Ceux qui cherchent une écoute plus proche du live ou de ce que les bons vieux LP 33 tours (pour ne pas parler des 78 tours) pouvaient donner d’écoute vivante avec les bonnes cellules à bobine mobile, préféreront sans doute le Vecteur. Attention toutefois, si la chaîne est un poil trop vive ou agressive, le Vecteur risque d’accentuer ces défauts alors que le Jolida s’en tirera sans doute mieux. Le Vecteur est fait pour les chaînes très équilibrées.
En tous cas, deux beaux appareils, je suis plus réservé pour le Musical Fidelity.
- JohnTChance
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Fort belle comparaison ma foi
Le reste du système c'était quoi en amplification et enceintes ?
Le reste du système c'était quoi en amplification et enceintes ?
- fwar
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L'amplification était faite par un magnifique intégré Musical Fidelity (à un peu moins de 3000€) boustant des Klipsh RF7 (102db 3900€).
Ce système met bien en évidence les différences entre les appareils.
Ce système met bien en évidence les différences entre les appareils.
- JohnTChance
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Il est beau ton Vecteur François
- fwar
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félicitations pour le jolie CRJohnTChance a écrit:L'amplification était faite par un magnifique intégré Musical Fidelity (à un peu moins de 3000€) boustant des Klipsh RF7 (102db 3900€).
Ce système met bien en évidence les différences entre les appareils.
- bornert
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François H. a écrit:fwar a écrit:Il est beau ton Vecteur François
--> c'est juste du second degré.... ou du 87542 ème degré ??
C'est du 4.2ème degré tout simplement
- fwar
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JohnTChance a écrit:Bon, voilà j’ai passé une heure à écouter le Jolida jd 100, le Vecteur 4.2 et le Musical Fidelity 3.2.
Pour faire simple, commençons par le cas du Musical. A mon avis cette machine est nettement surclassée par les deux autres (mais elle est moins chère). Sur le 1er extraits (sonate de piano de Beethoven) le timbre du piano ne me satisfaisait pas pleinement, la résonance des accords manquait un peu de richesse. L’écoute suivante sur le Jolida apportait immédiatement tout ce qui me manquait, dès les premières notes. Le passage au Vecteur confirmait le diagnostic. Sur le deuxième extrait (Bartoli chantant Rossini accompagnée au piano) le timbre de la voix, l’articulation, la poussée des notes sur les crescendos n’ont fait tiquer un peu, surtout par rapport aux deux autres concurrents.
Je n’ai donc pas poursuivi l’écoute du MF car sur tous les critères il était en dessous.
Les deux autres sont plus difficiles à départager car ils n’ont pas les mêmes qualités.
Sur le1er extrait (piano de Beethoven) on sent une vivacité plus aiguisée du Vecteur / Jolida, ce dernier étant plus doux mais très dynamique néanmoins.
Sur l’extrait Bartoli-Rossini les différences se marquent plus facilement. Le positionnement physique de la chanteuse dans l’espace d’écoute étaient nettement plus net avec le Vecteur, tout comme le suivi mélodique et rythmique. Le timbre de voix était plus « blanc » avec le Vecteur et plus chaleureux et harmonique avec le Jolida (est ce l’effet des tubes ?).
Ensuite j’ai écouté un quintette à cordes. L’effet globalisant du son du Jolida et l’effet « spatialisant » du Vecteur est apparu dans toute sa splendeur : avec le Jolida on entend les 4 instruments, certes parfaitement localisés dans l’espace, mais se recouvrant pour former un tout, avec le Vecteur ils se détachent les uns des autres de façon plus marquée. Et toujours une vivacité plus marqué du Vecteur. Par contre le Jolida produit par moment un son au charme irrésistible ; sur le quintette, l’alto sonnait merveilleusement bien.
Remarquons au passage que le niveau de sortie des deux appareils n’est pas le même, il faut ajuster le niveau à la hausse en passant sur le Jolida.
Puis j’ai écouté des extraits symphoniques. Bon je ne vais pas tout détailer car en fait la personnalité des deux appareils vue sur les 3 extraits précédents s’est complètement confirmée ensuite. Que ce soit dans le pianissimo (extrait de la symphonie avec orgue de Saint-Saens) ou le fortissimo (scherzo de la symphonie n°5 de Bruckner) ou le classique et difficile Haydn (symphonie 82). Par exemple le Bruckner était typique. Avec le Jolida on entend tout l’ensemble de la philharmonie de Berlin parfaitement en place, le rythme est bien marqué, mais on entend un son un peu fusionné. Donc sur un grand crescendo typiquement Brucknerien on voit le bloc des musiciens se soulever d’un seul morceau. Avec le Vecteur, c’est comme si on voyait séparément les 100 musiciens se lever d’un coup et se précipiter vers vous ! c’est nettement plus impressionnant. Sur les extraits symphoniques, la capacité du Vecteur à séparer les voix, à leur donner une vie propre, à les localiser dans l’espace, est supérieure au Jolida, rendant l’écoute plus vivante.
En synthèse :
Le Jolida : un son aux timbres chaux et doux mais réalistes, avec énormément de charme, une écoute moins typée que le Vecteur et sans doute plus facile à marier avec tout type de chaîne, qui n’engendrera aucune fatigue à l’écoute prolongée. Ceux qui veulent un son « confortable » avec une écoute à volume « réduit », sur des petites formations seront sans doute comblés. Et de toute façon il faut être difficile pour ne pas aimer le rendu sonore de cet appareil.
Le vecteur : un son d’une animation, d’une vivacité extrême, un suivi mélodique et rythmique supérieur, une dynamique plus vivante, bref ennui interdit avec cet appareil. Des timbres légèrement plus « blancs » que le Jolida. Une capacité à séparer les voix supérieure, alliée à une dynamique « à décorner les bœufs » le favorise sur les grandes formations orchestrales. Ceux qui cherchent une écoute plus proche du live ou de ce que les bons vieux LP 33 tours (pour ne pas parler des 78 tours) pouvaient donner d’écoute vivante avec les bonnes cellules à bobine mobile, préféreront sans doute le Vecteur. Attention toutefois, si la chaîne est un poil trop vive ou agressive, le Vecteur risque d’accentuer ces défauts alors que le Jolida s’en tirera sans doute mieux. Le Vecteur est fait pour les chaînes très équilibrées.
En tous cas, deux beaux appareils, je suis plus réservé pour le Musical Fidelity.
Ouais je retouve bien le 4.2 dans ton CR. J'aime bien ton expression son "blanc" très imagée et qui permet de bien comprendre le type de sonorité....
Merci
Mav
- Maverick
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