nico- a écrit:Suffit d' entendre un excellent enregistrement pour se rendre compte que ce n' est pas le format le facteur limitant de toute facon...
Je sais pas si le format est limitant, théoriquement un 16/44.1 est suffisant, or dans la pratique, on se rends compte qu'un format plus "précis" en temporel et en quantification est perçu comme moins "numérique" (et donc plus "analogique")
Quand je passe des enregistrements (effectués sans aucun "traficotage", en 2 ou 5 canaux natifs) de 24/96 (format natif) en 16/44.1, je perçois des "pertes" en terme de transparence, d'équilibre spectral dynamique.... (quand on passe de 16/44.1 en 24/48, le bond semble énorme, l'augmentation de la fréquence d'échantillonage est ensuite moins flagrante quand on passe en 96 kHZ, puis plus que subtile quand on passe en 192 kHz...)
Peut-être est-ce dû à un meilleurs respect des phases, des micro-infrmations, d'une meilleure linéarité dans les faibles niveaux, etc...
Il est à noter également que convertir un signal DSD en analogique est plus facile que pour un PCM... le DSD a donc un avantage dans ce domaine sur le PCM (faire un convertisseur PCM qui merche aussi bien qu'un DSD est plus "difficile", ce qui peut expliquer une certaine préférence pour le DSD)
jacques
PS : autrement pour commencer à comparer le DSD au PCM il est au minimum nécéssaire d'avoir les mêmes enregistrement en DVDA (PCM) et en SACD (DSD), en sachant que les masterings seront néanmoins différents...
