La Grande Crise !

[Keron]

c'est vrai qu'il ne parle cplus de ses performances seskuelles ni de ses femmes....

inquietant!

Il n'ose pas le dire mais il vient de conclure avec son collègue gay. C'était annoncé. C'est arrivé. Il cherche ses mots depuis

J'ignore si nous serons invité au mariage.
En tout cas, je ne porterais pas les ring cock... euh les alliances, sur le petit coussin

[Betekaa]

J'ignore si nous serons invité au carnage.

[Joich]

Un peuple,une constitution ...roule ma poule ...on leur renvoie leur peuple vivant sur le continent ...et ils se demerdent ...
Phil

Encore plus efficace que le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite

[Joich]

Tu parles. La Corse avait une Constitution avant que la bourgeoisie française ne fasse sa révolution

Ce sont les idées des Lumières qui ont changé le monde. Et on oublie un peu souvent que les Lumières, c'est un courant européen. C'est pas que Voltaire et Montesquieu...

Mais quel autre pays l'a mis en application?

A peu près tous les pays d'Europe ont suivi le mouvement des Lumières et se sont transformés. Que la France ait fait ensuite une révolution n'a à mon avis pas grand-chose à voir avec les Lumières. Juste avec la faim et la ras le cul fiscal d'une part devenue majoritaire de la population.

[adpcol]

Un peuple,une constitution ...roule ma poule ...on leur renvoie leur peuple vivant sur le continent ...et ils se demerdent ...
Phil

Encore plus efficace que le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite

Surtout si c'est les insulaires qui doivent lever l'impôt pour les payer ...
Phil,passe port et droit de travail pour les corses sur le continent...on est est un peuple ....ou pas

[rmsk]

Jusque dans les années 80, la Corse exportait des fonctionnaires (dans les douanes et l'administration ex-coloniale, notamment) et importait des retraités.
Depuis qu'il y existe une Université ("volem rien foutre al païs", comme disent les habitants du Languedoc), les corses s'emmerdent depuis la naissance jusqu'à la mort.
Et ils font des conneries, forcément.

Remy

[adpcol]

Sauf qu'ils veulent pas naître français mais corses ...no soucis tant que je raque pas pour leur pseudo peuple.
Et si les corses importés veulent rentrer dans leur " patrie " encore no soucis ...mais qu'ils viennent pas faire chier.
S'ils veulent redevenir ritals ! Pareil...
Phil,plein le cul des pseudos révolutionnaires et accessoirement mafieux assistés .

[Analogeek]

Sauf qu'ils veulent pas naître français mais corses ...no soucis tant que je raque pas pour leur pseudo peuple.
Et si les corses importés veulent rentrer dans leur " patrie " encore no soucis ...mais qu'ils viennent pas faire chier.
S'ils veulent redevenir ritals ! Pareil...
Phil,plein le cul des pseudos révolutionnaires et accessoirement mafieux assistés .

+1. Les dom tom avec. Et bon débarras.

[astrorock]

donc on largue l'ardeche?

[Analogeek]

donc on largue l'ardeche?

on n'a jamais revendiqué l'indépendance nous. Mais les bretons, les corses, les basques, les domtom, hop, dehors. Sans regret.

[Betekaa]

https://www.facebook.com/IndependancedelArdeche07/

dehors les ânes

[Betekaa]

http://www.jeuxvideo.com/forums/1-50-89 ... rdeche.htm

Mes Frayres, je vous présentes , le P.A.S.T.I.S. :

Le Parti Ardéchois Séparatiste Travaillant à une Indépendance Salutaire :hap:

Le P.A.S.T.I.S a pour but de fonder une république Ardéchoise à part entière, non membre de l'Union Européenne, aux frontières fermées.

Notre gouvernement sera constitué de personnes originaires d'Ardèche, ou ayant acquis un patriotisme Ardéchois avancé depuis leur installation dans notre magnifique pays. Il en sera de même pour tous nos citoyens.

Notre économie sera essentiellement basée sur l'exportation de la crème de marron (dont les fabriques seront reprises de gré ou de force aux multinationales ayant eu le culot de les racheter), de saucisson pur sanglier élevé en garrigue, et de cannabis (qui sera bien sur légalisé).

Notre politique intérieure visera à ce que tous les Ardéchois vivent en harmonie. Tout différent sera réglé sous la surveillance des autorités, et d'un arbitre de free-fight compétent.

Le port d'arme sera autorisé à partir de l'obtention de la majorité pour nos citoyens, il faut bien pouvoir chasser, et agir en cas de pénétration d'un quelconque étranger sur notre territoire.

L'alcoolémie au volant sera autorisée jusqu'à 2.5g/L, on n'est pas des tapettes ici.

Il sera enfin officiellement déclaré que c'est le Rhône qui se jette dans l'Ardèche et non le contraire, l'Ardèche est un fleuve, le plus beau du monde.

Toute transgression des règles sera sévèrement punie, les contrevenants se verront interdits de crème de marron pour une durée relative à la gravité de leur faute.

Notre politique extérieure tendra vers une entente commerciale et militaire avec les grandes puissances de notre monde, tout en nous hissant à leur niveau d'influence géopolitique, sinon plus haut.

Nous invitons tous les Ardéchois de cœur à faire connaître nos ambitions, et à regrouper toutes nos brebis perdues, habitant dans des contrées sauvages et mal fréquentées, comme paris ou marseille.

Bientôt notre pays sera reconnu grâce à notre action incessante et à votre aide, et notre slogan sera mondialement respecté !

=> A.A.A
L'Ardèche Aux Ardéchois !!!

[Analogeek]

tu cites jeuxvideos.com?

[Betekaa]

j'ai encore plus drôle

http://www.hebdo-ardeche.fr/blog/2010/1 ... -la-drome/

Vendredi 3 décembre, les conseillers généraux de la Drôme (tous ne sont pas venus, certains pour des raisons climatiques d’autres pour des raisons de désaccord) se sont rendus à l’hôtel du département à Privas pour une cinquième rencontre bidépartementale avec leurs homologues ardéchois. Au programme des sujets* qui fédèrent même si dans l’hémicycle l’ordre du jour est vite abordé laissant davantage place aux discours des uns et des autres. Des discours politiques évidemment, le président du Conseil général de la Drôme, Didier Guillaume étant par ailleurs sénateur, et celui de l’Ardèche, Pascal Terrasse, député. La réforme des collectivités s’est évidemment invitée dans la discussion. Ce qui a amené les élus de tout bord à se poser la question d’un rapprochement plus fort entre les deux départements du sud Rhône Alpes dans la perspective de peser plus lourd dans cette région où de grandes métropoles se dessinent et risquent de se partager le gâteau ne laissant aux Dromardéchois que des miettes pour se sustenter. « L’union donne de la force » a rappelé Didier Guillaume dans son discours introductif à cette journée. Et de proposer avec cette bidépartementalité de faire « de deux départements administratifs, un territoire de projets ». Le chef de file de l’opposition drômoise, Jacques Ladegaillerie (conseiller général de Loriol) va même plus loin en proposant le mariage à son homologue ardéchois. Mais il semblerait que la fiancée ne soit pas disposée à dire oui.

Ardéchois cœur fidèle

En tout cas pas de manière si engageante. Pascal Terrasse, déclare tout de go, « je ne serai pas le président qui fusionnera nos deux départements ». Et de se lancer dans une explication historique de l’identité ardéchoise. « Nous existions bien avant le découpage de Napoléon, la Drôme non. Les Ardéchois détiennent une identité forte ». Pour autant, le président « Ardéchois cœur fidèle » ne prône pas un « nationalisme ardéchois ». « Nous pouvons travailler ensemble car 80 % de nos habitants Drôme Ardèche habitent ce territoire limitrophe. Et il ne faut pas laisser les autres départements mais peut-être travailler avec eux d’une autre manière. Nous sommes très regardés du côté de Paris. Les Savoie essaient de créer une Région, le Haut-Rhin et le Bas-Rhin aussi. Nous sommes les seuls à faire ce que nous faisons ». Didier Guillaume est persuadé que cette approche est bonne. « Ce qui s’écrit aujourd’hui en Sud Rhône Alpes est une réponse concertée à une réalité territoriale qui lie les Ardéchois et les Drômois. Un partenariat resserré entre deux départements qui va au-delà des liens légitimes et indispensables de deux départements limitrophes ». Pour autant « chaque département ne renie ni ses spécificités, ni son projet départemental, mais favorise les dynamiques d’efficacité dès que cela est possible, nécessaire ou facilitateur. En cinq ans, les actions, les évolutions, les coopérations auront été nombreuses. Qu’il s’agisse des personnes âgées, du logement, des sports, de la mobilité, des réseaux numériques, des grands projets d’infrastructures, elles ont pu voir le jour et progresser parce que Ardèche et Drôme les ont portés dans une perspective Sud Rhône Alpes ». Si le projet de vie commune est bien dessiné, il n’en reste pas moins qu’il faut du temps aux mentalités départementalistes pour avancer vers cette idée de fusion. « Il faut du temps pour apprendre à se connaître et à travailler ensemble. Et même si nos prédécesseurs s’entendaient déjà bien, aujourd’hui les structures ont changé. Et nous devons nous préparer à aller vers de nouvelles structures. La métropole Lyon Saint-Etienne Grenoble va changer le rapport de force avec la Région. Notre vision n’est pas conservatrice. Nous avons un avenir commun » s’enflamme le soupirant drômois, Didier Guillaume.

Haro sur la réforme

Si travailler ensemble semble être un des leitmotivs du patron de la Drôme, il n’entend pas pour autant se laisser conter fleurette avec la réforme des collectivités. Et s’insurge contre ce que la loi veut imposer aux départements notamment concernant le fond de taxe professionnelle qui devient régional. Un fond qui servait à alimenter l’aide aux communes. « C’est un scandale de piquer l’argent aux Drômois et aux Ardéchois au détriment d’autres pour une péréquation. Je ne suis pas pour le « ce qui est à moi est à moi » mais partageons le surplus et c’est là que les techniciens de Bercy n’ont rien compris. Il faut que tous, tous, tous on arrive à le faire péter parce que c’est mortifère pour nos départements ». Un constat qui pour une fois met tout le monde d’accord. Jacques Dubay, chef de file de l’opposition ardéchoise, conseiller général du canton de Saint-Péray rejoint Didier Guillaume sur certains aspects de cette réforme des collectivités : « il ne faut pas brader nos cantons. La ruralité n’est pas toujours bien perçue depuis Paris et la solidarité est plus facile à faire quand on est entre riches c’est plus difficile quand le rapport est déséquilibré. Mais pour autant nous ne pouvons pas faire n’importe quoi avec la dépense publique et il faut aussi l’inscrire aujourd’hui au regard de la crise économique internationale. On ne pourra pas continuer comme ça ». Pour Jacques Genest, conseiller général du canton de Coucouron, « il faut se battre pour qu’on puisse toucher ce qu’on a à toucher. J’ai 22 ans de présence dans cette noble assemblée et je me souviens que tous ont applaudi quand le RMI, l’APA, le RSA ont été mis en place. On a plombé les finances irrémédiablement. Aujourd’hui se profile le financement de la dépendance. Avec lui on ne roulera pas dans le mur, on n’avancera plus du tout. Et le problème du conseiller territorial ne se posera même plus, on n’existera plus ».

Une question de représentation

Revenir aux compétences strictes des départements risque pour autant de poser problème et là encore, tout le monde n’est pas du même avis. « Tout ce qui ne sera pas fait avant 2014 ne pourra plus l’être après » annonce Didier Guillaume. Et d’énumérer « la gare d’Allan, le pôle toxicologique Rovaltain… car nous n’aurons plus le droit de le faire ». Jacques Ladegaillerie se veut plus rassurant « l’association département région me paraît intéressante car le conseiller régional n’est pas perçu comme un élu du territoire, pourquoi pas cibler une seule personne représentante à la fois du département et de la région. On peut éviter un certain nombre de redondances. Mais il faudrait imaginer des possibilités pour que sur les grands projets, il y ait des possibilités de financements croisés. Il faut que nous allions plus loin aujourd’hui et réfléchissions à une fusion sérieuse Drôme Ardèche. Nous sommes déjà bien mariés ». Dans l’hémicycle, le vice-président de la région Rhône Alpes et conseiller général de Privas, Hervé Saulignac n’entend pas les choses de cette manière. « Plutôt que mariage je préfère un Pacs voire une union libre. On peut avoir des projets communs sans avoir à se marier. C’est en se mariant parfois qu’on déclenche des crises de couple et je préférerais autant qu’on fasse durer un peu plus longtemps notre concubinage pour faire vivre nos projets ». Alain Matheron, conseiller général du Diois, s’inquiète « avec la disparition d’un canton c’est la disparition d’un élu local. Je suis conseiller général d’un petit canton mais j’ai l’impression de travailler pour l’intérêt général ». Et le conseiller général de Saint-Vallier, Alain Genthon d’aller dans ce sens « le travail fait par les Départements est fait dans la proximité, il permet de faire dans la dentelle. On connaît les gens presque par leur nom. La solidarité est en danger aujourd’hui ».

Mariage, Pacs, union libre ? Fusion ? Les élus des deux départements n’ont pas tranché sauf sur l’utilité d’unir leurs forces pour avoir un vrai poids économique en sud Rhône-Alpes. La réforme des collectivités, qu’ils la souhaitent ou pas, aura au moins eu le mérite de forcer les élus à travailler ensemble et à se rassembler. Et contre un mariage d’amour, les deux départements pourraient bien faire un mariage de raison.

Nathalie Fabre

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[Kolian]

donc on largue l'ardeche?

L' ardeche ce n'est deja plus vriament la france de toute manièere